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Becca PramhedaBecca PramhedaPramheda
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#8




Camp médical ★

Trois tentes de soin ont été installées non loin du champ de bataille afin de prendre en charge les blessés le plus rapidement possible. Les natifs et les Skaikrus vont devoir se serrer les coudes afin de sauver un maximum des leurs. Chacun devra apprendre à utiliser les techniques de l’autre sous la pression et les courts délais. Aucun repos ne sera autorisé, chaque seconde est importante.

Personnages présents :


  • Eric Jackson (PNJ)
  • Personnels soignants et guérisseurs (PNJ)


(c) quake ; pour Epicode
# Jeu 23 Avr - 3:19
LaskaLaskaExilé
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Évent n°3 : Arrêter Sheitan
Tu as participé à la guerre contre Sheitan












Évent n°2

feat Everyone









De nombreux souvenirs, plus mauvais que bons, se bousculaient dans l'esprit de la brune. Par le passé, et même si elle détestait ça, elle avait accompagné à de nombreuses reprises son peuple non loin des champs de bataille. Pas pour combattre, mais bien pour soigner les blessés dans l'urgence. Elle avait toujours détesté ça, son oncle menant les siens dans des batailles qui n'étaient pas toujours nécessaires. Laska n'était pas utopiste. Elle savait que certains conflits ne pouvaient être résolus pacifiquement, et c'est pourquoi elle s'était portée volontaire pour aider au soin des blessés de cette grande bataille, qu'ils soient natifs ou Skaikru. L'important était de sauver un maximum de monde, et que la montagne tombe bien sûr. Le monstre qui les vidait de leur sang depuis des décennies méritait d'être arrêté, même si la guérisseuse espérait qu'un compromis pourrait être trouvé et que tout cela ne se transformerait pas en un bain de sang. Il était facile de régler tout problème par la guerre, par jus drein jus daun, mais la Coalition ainsi que cette alliance avec les hommes du ciel prouvaient bien qu'il était possible de faire autrement, de faire mieux.

Les tambours de guerre rugissaient depuis quelques minutes à présent, et bien qu'elle était relativement en sécurité auprès des guérisseurs, Laska ne pouvait s'empêcher de ressentir une certaine appréhension. Le destin de leur peuple allait se jouer ici, et dans les prochaines heures. Plus encore, elle s'inquiétait pour ceux qu'elle connaissait, et un certain guerrier imprudent n'était jamais bien loin de ses pensées. Après ce qui s'était passé au camp commun, elle ne pouvait que l'imaginer en train de se mettre dans les pires situations possibles, et si ça l'avait mise en colère la première fois, ce n'était ici pas le cas. Elle était juste inquiète, mais se changeait les idées en préparant tout ce qui pourrait être utile au soin des blessés. Le combat n'avait pas encore réellement commencé, mais elle savait par expérience qu'il valait mieux être prête à l'avance. Depuis la mise en marche de l'armée, la construction du camp avait été rapide et organisée. Il y avait quelques tentes, mais surtout de lits et du matériel médical. Leurs peuples se mélangeaient bien, et Laska espérait que les siens accepteraient aussi les soins de Skaikru, ce qui n'était pas forcément gagné d'avance. De plus, ils n'étaient apparemment pas tous des soignants, ici, mais ce n'était pas grave. Bien au contraire, tout aide serait la bienvenue, les personnes formées risquant d'être rapidement débordées en fonction de la tournure des événements. Il y avait bien longtemps que Laska ne s'était pas trouvée embarquée dans quelque chose d'aussi important, et elle ne devait pas être la seule. L'important pour chacun serait de garder son sang froid et de faire de son mieux.

Le camp était au plus en arrière du camp de bataille, couvert par le début de la forêt, ce qui permettait à la brune d'y jeter un oeil de temps à autre. Elle ne voyait pas grand chose d'autre que les dernières lignes, mais elle avait besoin de se sentir au courant de ce qui était en train de se passer. La brune ne connaissait pas exactement le plan, n'étant pas une cheffe de guerre ou de clan, et ne pouvait donc que l'imaginer. Dans tous les cas, cela ne pourrait se finir bien pour tout le monde.... Elle finit par souffler, se détachant de ce spectacle pour préparer un peu de matériel tout en marmonnant. « Stupide montagne...  » Si la pression ne la faisait pas trembler, elle amplifiait sa mauvaise humeur. Relevant les yeux, elle interpella la première jeune femme (HRP : qui vous voulez, si ça peut vous aider à vous lancer) qu'elle vit et lui tendit un sac remplis de matériel médical.  « Aide-moi à trier ceci, s'il te plait.. ce qui se ressemble va avec ce qui se ressemble. » Elle préférait ne pas avoir à fouiller dans un sac le moment venu, une action rapide pouvant parfois faire la différence entre la vie et la mort !


Pour faire court : Laska est présente au camp médical, et aide aux préparations malgré son inquiétude et les nombreux mauvais souvenirs qui ont refait surface ! Bien sûr, elle est de charmante humeur ! Elle demande également un peu d'aide pour sortir le matériel, ça peut être un PNJ comme l'une de vous, si ça peut vous aider Wink


« halloween »
# Jeu 23 Avr - 19:27
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Event n°2
Ft Everyone  

Alice n'était clairement pas dans son élément ici, dans se camp médical et ça l'angoissait un peu, elle préférait bien largement l'infirmerie du camp, qu'elle trouvait plus sûr, là elle était en pleine nature, et elle était sur un camp médical non loin d'un champ de bataille, prête a gérer les blessés qui allaient arriver durant la guerre, et elle le savait elle n'allait pas chômer, cela allait être sûrement sportif, sur l'Arche elle n'était pas habituée a un tel flux mais elle c'était préparer dans sa tête, elle pouvait le faire, il fallait juste qu'elle reste concentrée, et surtout qu'elle ne pense pas à son mari qui était sur le champ de bataille, si non elle allait perdre tout ses moyens...  Avec l'équipe médicale venue d'Arkadia ils avaient pris un maximum de choses, mais ils ne pouvaient pas tout transporter, il avait donc fallu faire des choix et prendre le plus essentiel. Alice avait dans son sac pas mal de bandages, après tout elle était infirmière donc pas en capacité de faire des opérations, mais elle se doutait qu'elle allait faire des bandages a la chaîne... Alice essayait tant bien que mal de prendre ses repères, elle avait besoin d'être organisée, mais cela allait sûrement être difficile, parce que cela allait sûrement être la folie a un moment, mais il fallait qu'elle respire, qu'elle se calme, parce que personne n'allait avoir besoin d'une infirmière en panique, mais malgré tout ses mains tremblaient un peu alors qu'elle mettait en place certaines choses rapporter par son clan.

Pour Alice c'était la première fois qu'elle allait être autant en contact avec les natifs, certes elle en avait déjà aperçu, mais là il allait falloir travailler ensemble, c'était tout autre chose, et elle n'était pas sûr qu'un natif veuille se faire soigner par un Skaikru, ils n'avaient pas vraiment les même méthodes, et inversement d'ailleurs, surtout que certains membres de son peuple étaient très réticents aux méthodes des natifs alors qu'elle ne voulait que apprendre d'eux, c'était une occasion comme une autre, mais elle espérait qu'après cela il y en ai d'autres, parce que là ça allait être sûrement très compliqué et qu'ils allaient devoir tous coopérer. Au loin Alice apercevait des gens qu'elle connaissait, Aron et Kelio notamment et cela avait quelque chose de rassurant, elle leur adressa un petit sourire un peu crispé. « Tout est en place, j'espère qu'on ne manquera de rien. » dit-elle en regardant Jackson qui était à côté qu'elle, alors que sa main tremblante arrangeait quelque peut le matériel devant elle pour que tout soit carré et a sa place, c'était comme ça parce que personne n'avait besoin de prendre le mauvais matériel au moment de sauver la vie de quelqu'un.

En résumé : Alice ce prépare et aide au dernière mise en place. Son mari est sur le champ de bataille donc ce n'est pas facile pour elle, cela la stresse et elle essaye de se calmer, mais son stress la rend un tout petit peu maniaque.
PS : Si cela peut vous aider pour une éventuelle interaction j'ai mentionnée Aron et Kelio dans mon RP, en disant qu'elle les voyait et leur souriait
.
# Ven 24 Avr - 14:58
AnonymousInvitéInvité
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event #2 - camp médical
Ft. All - Extérieur de Mount Whether

Le champ de bataille, cette fois tu y étais, cette fois tu ne resterais pas en arrière pendant que d'autres risquaient leurs vies, ou dans les faits... peut-être bien que si ? Tu n'étais pas une guerrière Kleiò, même si petit à petit tu apprenais à te défendre, tu n'avais jamais tué et tu n'avais guère l'envie de devoir t'y essayer même si tu te doutais bien qu'un ennemi ne te demanderais pas forcément ton avis. Tu étais là pour ça aussi oui, parce que cette montagne était un ennemi, et que s'ils t'avaient rendu Aron ce n'était pas le cas de tellement d'autres encore coincés là-bas. Et puis Aron, Aron était là et tu n'aurais voulu être nul part si ce n'est à ses côtés, pour la surveiller, la protéger, comme tu n'avais pas pu le faire ni sur l'arche ni à son arrivée sur terre. Tu allais te rattraper. Lâchant un instant Aron du regard tu balayas les environs d'un mouvement de tête, t'arrêtant un instant sur ce que tu ne voyais pas, sur cette montagne que tu savais là-bas, cet endroit d'où bientôt arriveraient sans doute les premiers blessés. Tu ne l'espérais pas non, évidemment, mais tu étais assez lucide pour savoir qu'il ne pouvait pas vraiment en être autrement. Non, la seule chose que tu espérais c'était que ce camp soit suffisamment éloigné, suffisamment protégé, que lorsque vous seriez occupé à tenter de garder des hommes et des femmes en vie vous ne seriez pas attaqué.

Un soupir s'échappa de tes lèvres alors que ton regard reprenait son lent balayement circulaire, captant Alice du coin de l’œil. Un sourire de sa part en fit naître un autre sur ton visage et sans vraiment y prêter attention tu levas la main pour la saluer. Le mieux était peut-être d'aller la retrouver. « Hum !? » Une native semblait avoir besoin d'aide et tu baissas les yeux vers le sac qu'elle te tendait. « Bien sûr, je vais m'en occuper. » Ce qui se ressemble va avec ce qui se ressemble... est-ce qu'elle la prenait pour une demeurée ? C'est un froncement de sourcils que tu lui adressas, attrapant le sac avec un geste sans doute un peu brusque mais commençant néanmoins à te mettre à trier. « Si tu veux aller voir si Alice à besoin d'un coup de main je vous rejoins dès que j'ai finis ici. » Tu t'étais retournée, vers Aron à tes côtés. Aron qui pouvait aussi rester si elle le souhaitait, en aucun cas tu ne voulais pas la chasser même si au fond de toi tu aurais préféré qu'elle soit très loin de là. Tu faisais ce que tu pouvais en tout cas pour garder un ton naturel, un air relativement détaché, intérieurement tu te rassurais comme tu le pouvais.


En résumé : tente de ne pas laisser l'inquiétude prendre le dessus et de garder un air détaché, pour elle et pour Aron surtout - salue Alice avant d'être interpellé par Laska qu'elle aide à trier de plus ou moins bonne volonté - propose à Aron de rejoindre Alice en promettant qu'elle arrive dès que possible

# Sam 25 Avr - 10:59
AnonymousInvitéInvité
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event 2 : Le camps médical
Remember, remember, this is now, and now, and now. Live it, feel it, cling to it. I want to become acutely aware of all I’ve taken for granted. (s. plath) — exterieur de mont weather — camps médical .

Tu n’as jamais été une soigneuse Aron, tu n’as jamais vraiment compris comment on pouvait dédier sa vie à vouloir soigner les autres. Et si en toute honnêteté peut être que tu aurais voulu être sur le champs de bataille, tu n’y es pas, et ce n’est probablement pas si mal. Tu ne sais pas si tu es à ta place ici, mais tu es aux cotés de Kleiò et tu ne voudrais être nulle part ailleurs. Parce qu’il y’a deux choses qu’il te faut reconnaitre Aròn. La première est simple, ce n’est pas parce que tu as appris un peu à manier un baton que tu seras utilie au milieu d’une armée. Et la seconde, plus importante encore est que tu vas beaucoup quand la blonde est à portée de vue, ou même à portée de main. Oui. A portée de main, toi qui n’est pas orientée sur le contact, tu aimes pouvoir poser ta main sur son bras, ou son épaule. Et peut être d’ailleurs que tu es un peu trop près d’elle pour le moment mais ça te semble naturel d’être comme une ombre finalement. Ça te soulage. Ça te donne cette impression que tu es en sécurité, dans un espace où les mauvaises pensées ne peuvent pas t’atteindre.

Ça ne dure pas. Rien ne dure jamais, tu es si bien placé pour le savoir. Et finalement tu prends un peu plus connaissance de cet endroit qui t’entoure, renvoyant un sourire à Alice alors qu’une terrienne vient vous demander de l’aide ? Elle est belle, ça c’est quelque chose que tu ne peux nier, et elle semble… gentille ? Et tu supposes que si elle donne une consigne un peu simpliste c’est simplement parce qu’elle aussi elle est stressée. Alors tu laisses Kleiò se proposer et tu reflechis un peu. « Je vais voir oui. » Tu ne sais pas vraiment si elle a vraiment besoin que tu sois loin d’elle, mais tu supposes que si elle te donne ce presque conseil c’est que ce n’est pas une aussi mauvaise chose ? En toute honneteté tu le sais, tu seras plus utile la bas, plutôt que de rester à faire ce que deux personnes font déjà. « Bonjour.» Ce n’est qu’un murmure à l’égard de la terrienne, et puis tu passe tes doigts sur l’avant bras de K. « Je ne suis pas loin. » C’est un murmure ça aussi et tu t’accroches quelques instants à son poignet, avant de finalement aller vers Alice.

« Alice ? Tout va bien ?» Tu n’es pas sure que tout aille bien non, tu n’as pas vu son mari et tu supposes qu’il est la bas sur le champs de bataille ? Alors pour le nombre de fois où Alice a été aussi celle qui t’a aidé, peut être que tu peux faire un effort ? « Je peux t’aider ? »

En résumé Aron est la avec les autres dans le camps médical, elle dit timidement bonjour à Laska, pas parce que c'est une native, mais parce qu'elle est toujours un peu bloquée avec les gens, et elle reste assez accrochée à Kleiò, cependant, elle finit par aller voir Alice et lui demander si tout va bien et si elle a besoin d'aide.
code by bat'phanie
# Jeu 30 Avr - 2:36
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Communication radio


(Audible sur toutes les radios Skaikru...)

[Cage Wallace] : L’homme attrapa la radio qu’il porta à ses lèvres et sans aucune hésitation, il s’exprima : « Bonjour Clarke. Nous avons avec nous une personne à qui tu tiens particulièrement. Il serait vraiment dommage qu’on soit dans l’obligation de lui faire du mal, car nous n’arrivons pas à nous entendre, n’est-ce pas ? » Avait-il réellement l’intention de négocier ? Peut-être. Il était en train d’improviser et il laissait son instinct le guider. « Demande à ton armée et à celle des sauvages de partir et nous pourrons négocier. Ils ont 5 minutes pour s’éloigner. Je veux voir uniquement tes dirigeants et la Commandante native. » L’homme se pencha vers la Chancelière qu’il observa un court moment avant de faire signe aux médecins. Entre temps, il n’avait pas lâché le bouton du talkie-walkie ne donnant pas la chance à Clarke ou tout autre de s’exprimer. Les différents sons dans la pièce étaient bien perceptibles dans la radio. « 5 minutes Clarke. » ajouta-t-il en approchant la radio de la Chancelière, mais le seul son qui sortit de sa bouche fut un cri d’horreur et de douleur tandis que l’instrument de ses scientifiques transperçait à froid sa cuisse droite. Lorsqu’il fut certain que Clarke et les autres eurent bien compris ce qui se passait, il relâcha finalement le bouton de communication.





(c) quake ; pour Epicode
# Jeu 30 Avr - 20:02
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Event n°2
Ft Everyone  

Alice essayait de masquer son mal être, son angoisse, il fallait qu'elle reste concentrer sur le travail qu'elle avait a faire, parce que si elle était perturbée, elle le ferait mal, mais son esprit vagabondait principalement vers son mari, qui était sur le terrain mais aussi vers Abby et tout les autres membre de son peuple qu'elle savait prisonniers de cette horrible montagne. Ses mains tremblent légèrement mais elle fait en sorte que Jackson ne voit rien, alors que son regard se perd un peu au loin.

L'infirmière voit les deux jeunes femmes lui sourire et quelque part cela la rassure un peu, qu'elles soient là, c'est une forme de normalité non ? Elle voit Kelio aider une native alors que Aron se dirige vers elle. De nouveau elle regarde les outils médicaux posés devant elle et machinalement elle les arrange de nouveau alors qu'Aron arrive a son niveau, lui demandant si tout va bien. Alice hésite un instant a lui mentir franchement, a lui dire que tout va bien, qu'elle va bien et qu'elle n'angoisse pas, mais c'est totalement faux et elle ne fait absolument pas confiance a sa voix pour ne pas trembler quand elle va parler. « Ca va. Il le faut, on va avoir besoin de moi. Mais je suis un peu angoissé. » Ce n'ai qu'un demi mensonge après tout, oui elle est angoissée, enfin non elle est morte d'inquiétude mais elle ne veut pas le montrer. Ses vieux démons ne sont pas loin du tout et aujourd'hui la tentation d'attraper un scalpel est plus tentante que d'habitude, mais elle va gérer, quel autre choix elle a après tout ?

Elle remarque, au loin dans la tente un sac qui semble plein, elle qui croyait que tout était près, enfin c'était reposant pour son esprit de penser cela, mais non, il restait un sac et l'aide d'Aron allait être la bienvenue, car au moins elle aurai quelqu'un a qui parler. « Je pensais que tout était près mais visiblement il reste un sac. Tu m'aides a le vider ? » Au moins comme cela elle ne penserait pas a toutes ses peurs qui sont entrain de venir la hanter...

Alors qu'elle se dirige vers le sac la radio présente dans la tente se déclenche, elle ne connaît pas cette voix, mais elle suppose que c'est quelqu'un d'important, mais son sang se glace presque immédiatement... Les paroles qu'elle entend lui glace le sang, ils allaient faire du mal a Abby... Elle savait que c'était d'elle dont il parlait, il ne fallait pas être devin, et quand elle entendit ce qu'il disait elle eu limite une descente d'organes, elle avait la trouille pour son amie, pour sa meilleure amie... Et le fait que Clarke n'est que 5 minutes lui faisait encore plus peur, elle était figée sur place et ne bougeait plus tétanisée par la peur et dans sa tête elle pouvait entendre comme un tic tac...  

En résumé : Alice angoisse de plus en plus, et ses vieux démons reviennent, mais elle essaye de se maîtriser parce que on va avoir besoin d'elle et pas d'une infirmière qui fait un breakdown. Elle est très contente de voir Aron venir la rejoindre, mais elle lui ment un peu sur son état parce que elle ne veut pas l'admettre car elle pense que cela rendrait la chose pire. Elle remarque que finalement un sac n'avait pas été vidé, elle demande donc a Aron de l'aider. Seulement la radio se déclenche et elle se fige complètement, terrorisée elle est incapable de bouger.
# Sam 2 Mai - 16:07
LaskaLaskaExilé
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Évent n°3 : Arrêter Sheitan
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Évent n°2

feat Everyone









Du monde commençait à s'activer dans le camp dans le camp médical, le stress le gagnant à mesure que les minutes s'écoulaient. Il y avait encore beaucoup de choses à faire, tandis que leur armée semblait déjà bien en place. L'attente pourrait être longue pour eux, comme pour la brune et les autres personnes présentes au camp médical. Laska ne savait pas si Skaikru avait déjà fait la guerre auparavant, mais son peuple à elle y était habitué. Parfois, il fallait attendre des heures tapis dans la forêt, avant de se lancer d'une seconde à l'autre dans une violente bataille. Ce n'était jamais agréable, mais il était possible de s'y habituer d'une certaine façon. C'est pour cela que l'exilée était relativement calme, bien que d'une humeur peu charmante. Si une chose l'inquiétait, c'était de voir une personne à qui elle tenait plus qu'elle ne se l'avouait être blessée —ou pire, ou qu'un membre de son ancien clan lui tombe dessus et vienne perturber ses soins. Elle était ici clandestinement, étant censée fuir les siens, comme toujours. Cette guerre aurait pu être l'occasion de les semer définitivement, mais Laska ne pouvait partir ou rester les bras croisés alors que des personnes blessées pourraient avoir besoin d'aide. Un jour, sa bonne morale la perdrait, mais elle préférait cela que d'être prise de remords par la suite.

Elle chassa ses doutes pour se focaliser sur son travail. Tout devait être prêt en temps et en heure. Tant les brancards, que les lits et les remèdes à portée de main. Une bonne organisation était nécessaire et heureusement, les guérisseurs natifs et les médecins Skaikru semblaient tous décidés à collaborer pour la bonne cause, et ce malgré leurs différences. C'était quelque chose que Laska n'aurait jamais cru voir, quelques mois plus tôt. Les douze clans se supportaient, et acceptaient étonnement de travailler avec le Peuple du Ciel. Pour Laska qui était persuadée que les siens étaient des causes perdues lorsqu'il s'agissait d'union, c'était une agréable surprise. En revanche, elle n'était pas dupe et savait qu'un fois cet ennemi commun abattu, les tensions feraient leur grand retour. Non pas qu'elles étaient totalement absentes pour le moment, surtout depuis l'attaque du camp commun, mais sur le champ de bataille la focalisation de tous était sur l'ennemi. S'occupant de défaire quelques sacs pour préparer des remèdes, elle interpella une femme Skaikru aux longs cheveux blonds pour l'y aider. Il lui semblait que cette jeune femme n'était pas soigneuse, et n'avait donc certainement rien de mieux à faire pour le moment. Elle accepta volontiers de l'aider, bien que ne semblant pas trop apprécier les consignes données par la native. Cela pouvait sembler un peu stupide, mais Laska préférait largement donner des indications plutôt que d'avoir à refaire le travail. « Merci.. » sourit-elle légèrement, bien qu'une partie d'elle était agacée par le comportement de l'autre femme. Elle devait garder en tête que tous étaient sous pression, et que cela pouvait influencer d'autres humeurs que la sienne. De son côté, elle ne perdait pas de temps et s'occupait de son propre sac. Elle ne relevait les yeux vers l'autre femme que de temps en temps, demandant finalement. « Je m'appelle Laska. Et toi ? » Il serait plus facile de communiquer en connaissant le prénom de l'une et de l'autre.

Elle entendit le son de ce qu'elle avait appris à reconnaître comme une radio. À priori, l'ennemi tentait de les faire plier avec ses otages, et cela en faisait stresser plus d'une. L'enfer semblait régner à l'intérieur de cette montagne, et il lui tardait que tout cela se termine. Suffisamment de personnes avaient souffert de leurs méfaits. Pour l'heure, toutefois, ils ne pouvaient que faire leur travail pour espérer vaincre cet ennemi. Laska était une pacifiste, mais se rendait bien compte que cet ennemi là ne pliait pas, ni ne négociait. Un souffle quitta ses lèvres.  « Il essaie de vous manipuler, ne lui offrez pas satisfaction.  » Des personnes souffraient peut être, mais les faits étaient là, et il s'agissait d'une des bases de la prise d'otage.


Pour faire court : Laska continue de préparer ses remèdes en prévision de la bataille à venir. Elle essuie la mauvaise humeur de Kleiò en essayant de ne pas l'aggraver, et lui demande finalement son prénom. Lorsque Cage parle à la radio, elle n'est pas réellement surprise et invite les autres à rester calmes.  


« halloween »
# Dim 3 Mai - 9:27
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event #2 - camp médical
Ft. All - Extérieur de Mount Whether

Ta mauvaise humeur n'est sans doute que le reflet le plus visible de ta peur, celle qui crispe chacun de tes muscles et que tu tentes pourtant de laisser enfouie, de ne pas montrer, pour toi et pour Aron, que tu te dois de protéger. Pourquoi êtes-vous ici ? Vous n'êtes pas des guerrières, vous n'êtes pas des soigneuses, vous êtes juste... des bras ? Est-ce que finalement vous n'encombrez pas ? Ce sont les pensées d'une lâche peut-être, ou juste celles d'une femme qui n'a pas l'habitude des combats et qui craint pour sa vie et celle de ses proches. Celles d'une femme qui reste là malgré tout et qui tente de paraître plus forte qu'elle ne l'est, quitte à être désagréable peut-être, la tension à fleur de peau. Tu ne t'enfuiras pas Kleiò, tu n'es pas comme ça, et c'est finalement en compagnie d'une terrienne que tu te mets à agir, même si l'activité n'occupe pas assez ton esprit peut-être pour l'empêcher de divaguer. Même si tes mains bougent sans que tu les surveille alors que ton regard suit Aron qui s'éloigne, cette boule dans le creux de ta gorge que tu es incapable de faire disparaître. « Kleiò. » C'est ton nom que tu lui offres alors que la voix de la terrienne te ramène à votre activité, et lorsque tes yeux se posent sur ce que tes mains sont en train de trier tu constates que le dernier objet déposé n'a rien à faire là où il est. C'est un soupir alors qui s'échappe de tes lèvres et dans ta tête tu sermonnes pour ce manque flagrant de concentration. Elle n'avait pas tord peut-être de te prendre pour une demeurée et c'est maintenant après toi-même que tu es énervée. « De quel clan fais-tu partis ? » Elle a fait l'effort de te parler et tu le fais aussi, ce sont peut-être des banalités sans importance mais c'est un début après tout, et tu es loin de pouvoir te douter que la question est moins anodine qu'il n'y paraît.

Quoi qu'il en soit vous êtes bientôt coupées par le grésillement d'une radio et tu stoppes immédiatement tes mouvements pour écouter. C'est... ta main se sert sur ce flacon que tu tiens et c'est un sursaut qui te prend lorsque le cri d'Abby retentit. Tes yeux ne peuvent plus masquer ta peur désormais, et s'il brille aussi au fond d'eux une étincelle de colère elle semble pour le moment comme assommée par la dure réalité. « C'est sa mère... » Et tu sais qu'entre les deux femmes les relations ont pu être compliquées, et que tu ne peux pas vraiment comprendre probablement puisque tu n'as pas eu de mère toi, mais tu imagines ce que peut ressentir Clarke en entendant cela. Ou peut-être que tu n'en sais rien finalement, tu ne la connais pas. « Ils ne vont pas la tuer. » Tu hoches la tête finalement tentant de t'en convaincre plus qu'autre chose. « Elle est leur meilleur moyen de pression. Clarke doit le savoir aussi. » Tu tentes de trouver la force d'étirer tes lèvres en un semblant de sourire et tu baisses tes yeux vers ta main serrant encore fortement un flacon heureusement toujours intact, décrispant un peu tes doigts. « On ferait mieux de se dépêcher d'être près. » Une fois de plus les habitants de la montagne prouvaient qu'ils ne plaisantaient pas et tu craignais de voir bien trop vite les blessés affluer.


En résumé : Kleiò continue d'aider Laska à trier le contenu du sac - elles échangent quelques banalités avant que la radio ne lâche son message - Kleiò se crispe et tente de se convaincre que Clarke est capable de gérer, le calme de Laska l'aidant à ne pas trop paniquer - elle mesure la détermination de la montagne et craint une arrivée rapide des premiers blessés

# Mar 5 Mai - 19:12
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Cela faisait des jours qu'ils étaient en chemin en directement d'une ville nommée Polis. Ils avaient beaucoup entendus parler d'elle ces derniers mois et cela les avaient rendus plus curieux que jamais. Mais Liwen, elle, n'était pas certaine que l'idée de se rendre dans une ville avec autant de clans réunit n'était pas bonne à prendre. Pas seulement parce qu'elle était certainement recherchée sur tout le continent et ce qui était appelé à présent "terres de la coalition" mais elle ne voulais pas que sa famille ait des soucis pour leur désertion et fuites. Car tous étaient des exilés et Polis était donc certes une ville pleine d'attraits mais aussi emplie de dangers. Cependant, bien qu'encore loin de la dite capitale, la petite troupe avait croisé beaucoup de personnes en direction du Nord-Est, beaucoup de bagages sur le dos ou dans les chariots. De nombreux guerriers semblaient voyagé aussi. Le porteur de flamme avait-il appelé ses armées pour une guerre sur le point d'éclater? Mais qui était l'ennemi? Liwen l'ignorait mais voir tout ce monde sur les routes l'inquiétait plus qu'autre chose. En tant qu'Azgeda, elle savait son ancien peuple était sauvage et ne vivait qu'en faisant couler le sang de ses ennemis ou des siens s'ils n'étaient pas assez forts aux yeux du clan.

Sur sa jument avec son enfant, Liwen était stressée, si bien que son mari tenta tant bien que mal de la rassurer, lui proposant même de changer de direction pour les terres du Sud. Cependant la belle brune ne voulait pas décevoir ses amis et compagnons de route qui rêvaient de voir la plus grande tour encore debout. "Continuons." Une simple réponse avant de demander à son cheval de reprendre la route. Peut de temps après, Liwen aux côtés de son époux purent apercevoir ce qui ressemblait à un campement. Un grand campement, ainsi que de nombreuses silhouettes s’affairant tout autour. Le petit groupe s'avança jusqu'au campement et seule Liwen comprit ce qui était entrain de se passer. Une guerre était bien au programme, les tentes médicinales devant lesquelles elle se trouvait l'indiquaient. Elle demanda alors à ses compagnons d'établir leur campement un peu plus loin et qu'on aurait besoin d'elle, bien que cela ne plaise point à son époux.
La brunette pied à terre, prit son sac remplis d'onguents et d'autres herbes ou tissus et entra dans la première tente venue.
"Puis-je vous aider?" Il y avait beaucoup de femmes si bien qu'elle s'adressait à toutes en même temps, attendant que l'une d'elle lui réponde.
# Mar 5 Mai - 20:25
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event 2 : Le camps médical
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C’est fou cet espèce de sixieme sens que tu as et qui te pousses à ne pas lacher Kleiò du regard comme si tu étais sa protectrice. Ce n’est pas vraiment ce que tu es, au mieux c’est elle qui te protège, mais tu as appris à te battre et tu ne laches pas ce baton avec le quel tu as appris. Enfin, disons qu’il est posé non loin, tu es rassurée avec, c’est un peu comme un doudou, avec le quel tu ne dors pas. Soit, tu finis par t’approcher d’Alice et tu t’inquiètes aussi pour elle. Tu sais que toute cette opération assaut sur la montagne la stresse, tu en as parlé avec elle, et tu essayes d’être forte parce que tu veux lui donner ce réconfort qu’elle t’a quelques fois donné. C’est à toi d’être forte pour elle, pour elles, pour tout le monde. « C’est comprehensible. Mais ne t’en fais pas, je vais t’aider okay ? l’angoisse c’est quelque chose que je maitrise bien. » Et ouais okay, c’est stupide mais t’arrives bien à plaisanter sur toi-même et tes terreurs, ce qui n’est pas si mal non ? Alors tu lui offres un de tes sourires mysterieux, rare, et assez lumineux. T’essayes. Tu fais de ton mieux c’est tout ! C’est pas si mal tu penses ?

Et tu proposes ton aide pour autre chose, alors qu’elle te parle de vider un sac. « Ça me va ! » Tu la suis doucement alors qu’elle va vers le sac, et puis soudain la radio se déclenche, parlant à Clarke, de quelqu’un … qui tu n’as pas de mal à l’imaginer doit être Abby Griffin. L’amie d’Alice. La meilleure amie d’Alice. Alice qui est en train de figer dans une posture que tu ne connais que trop. Qu’est ce que tu peux faire toi ? T’es pas un héros Aron, t’es juste une gamine perdue, une gamine pleine de doutes, de peur, et qui ne connait que trop les crises de panique.

Alors tu prends ta respiration, tu cherches du regard si quelqu’un peut t‘aider, mais vous etes seules dans la tente, et tu t’avances de quelques pas pour poser ta main sur l’avant bras d’Alice et la ramener à la réalité. « Alice. Alice écoute moi. Je sais que ce n’est pas facile, mais concentres toi sur ma voix okay ? Tu es dans la tente du camp de secours. On a le pire role au niveau des nerfs, parce que c’est celui d’attendre, mais on doit être forte okay ? Tu peux faire ça pour moi ? Respire. » Tu reflechis Aron, tu reflechis encore et puis tu continue de parler. « Est-ce que tu peux faire quelque chose pour moi ? Concentre toi autour de toi, et nomme moi cinq choses que tu vois. » Et si une autre terrienne arrive non loin à ce moment la, tu la vois à peine, toute ton attention est focalisée sur Alice pour l'instant.

En résumé Vient aider Alice, et quand elles entendent le message et que celle ci fige elle commence à essayer de lui faire appliquer la méthode 5 4 3 2 1 pour les crises d'angoisse. Appercevant Liwen, elle ne se concentre pas trop sur elle pour l'instant.
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# Jeu 7 Mai - 16:42
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#8 : Camp médical  85102903d1077b3873c80f4262d1fdf8

Évent #2 ▬ Camp médical

La guerre, pour régler un conflit. Le sang, pour faire passer un message. Une seule alliance, pour aider les deux peuples. Le peuple du ciel et nous, les natifs. Contre qui battions-nous ? Ces montagnards qui avaient kidnappé nos gens, dont Nika. Une guerrière aguerri que j’avais connu il y a un moment. Elle avait disparue et j’ai appris qu’elle s’était faite enlever par ces hommes dans les montagnes pour leur faire quelque chose. Je n’en savais pas davantage. J’avais encore un peu de difficulté à parler leur langue, au peuple du ciel. Mon peuple était sur les lieux et je les avais accompagné. Je voulais prêter main forte au camp médicale, mais si exceptionnellement je voulais faire parti de la bataille, mais comme à l’habitude je n’en faisais pas tout un cas. Je me taisais. Je voyais les guerriers de mon clan partir rejoindre les autres clans ainsi que Skaikru. Un soupir s’échappait entre mes lèvres.

Je m’approchais du camp médical, on était tout de même beaucoup à veiller sur nos peuples. L’entraide. C’était presque beau à voir. Je voyais des visages que je ne connaissais pas encore, j’entrais dans une tente qui me semblait moins occupée que les deux autres. Je posais mon sac qui contenait mes outils pour soigner le plus de blessé possible lorsque la guerre sera lancée. J’étais prête. J’étais d’ailleurs très calme, beaucoup trop calme. Certains paniquent, mais moi…J’étais là bien sagement assise à attendre. J’aurais préféré participer et entrer à l’intérieur afin des les aider, mais mon aide était requis au camp médical. Au cas où, j’avais en ma possession mon arc.  

Lorsque nous préparions tous, on pouvait entendre un message émanant d’une... radio ? Dans tous les cas, un message s’était transmis, menaçant Clarke. Pourquoi ce nom m’était familier ? Un haussement d’épaule à cette réflexion, puis mon corps se raidit en entendant un cris de douleur de l’autre côté de la radio. Un cris de douleur, d’une femme. Je fronçais les sourcils, un moment. Je relevais mon regard voyant que certains étaient paniqués par cette menace.


Je pouvais bien jugée les hommes dans les montagnes, mais mon clan avait été barbare dans un temps afin de survivre. C’était selon les dires de nos dieux et de les rendre hommages. Depuis quelques années, nous commettions plus d'atrocité, mais tout de même, personne ne peut oublier ce que mon clan a fait… D’ailleurs mon amie Nika, ses parents étaient morts durant la guerre et c’était les gens de mon clan qui s’étaient occupés d’eux. Grâce à l’alliance, on a pu mettre nos différences de côté. Ma première vraie amie en dehors du clan. Oui. Rien qu’à cette pensée, un sourire se glissait sur mes lèvres.

Ne cédons pas à la peur, c’est ce qu’ils veulent…

Soufflais-je tandis que je mettais de côté mon sac. Que pouvons-nous faire d’autre ?  Mise à part d’attendre ? Je priais intérieurement, souhaitant le bien à mon clan ainsi qu’aux autres clans. Que nous réussissons cette guerre. C’était mon souhait et j'espérais qu’il allait se réaliser. Pas beaucoup de mort surtout. Et que Nika aille bien… Je voulais la revoir…


En résumé:
# Dim 10 Mai - 18:32
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Event n°2
Ft Everyone  

L'angoisse d'Alice vient surtout du fait qu'elle ai peur de voir un être cher être blessé, elle sait qu'elle peut se maîtriser mais parfois la peur prend le dessus, et quand c'est comme cela elle a des mécanismes bien particulier comme mettre de l'ordre dans un peu tout comme si cela mettait aussi de l'ordre dans son esprit, et en plus avec Aron a ses côtés cela la calmait un peu plus, parce qu'elle la connaissait et que cela avait quelque chose de rassurant d'avoir quelqu'un qui connaissait bien l'angoisse. «  Ca va aller. Il faut juste que j'occupe mon esprit avec autre chose que des pensées angoissantes et négatives. » Elle respire calmement pour essayer de se vider l'esprit et ça marche un peu, elle se calme, et c'est la meilleure façon de faire son travail, être calme.

Aron accepte de l'aider seulement la radio en décide autrement, et les angoisses d'Alice remontent en flèches encore plus en entendant les cris d'Abby, c'est horrible d'entendre sa meilleure amie souffrir et de ne rien pouvoir faire. Mais heureusement il y a quelqu'un pour l'aider, elle se concentre sur la voix d'Aron et commence doucement a se calmer appliquant ses conseils, doucement l'angoisse sans vas, mais elle ne peut s'empêcher de penser a Abby et a sa souffrance. « Cinq choses que je vois ? Euh Le sac de matériel, des lits, des bandages, des branches et cette foutue radio  » Elle ferme les yeux et les ouvrent de nouveau dix secondes après, elle va mieux, elle va se concentrer et faire son travail pour que tout ce passe bien, elle craquera après, quand tout sera fini. « Merci Aron, merci pour ton aide. Je vais m'en sortir, ça m'a juste beaucoup perturbé. » Elle lui sourit posant une main sur son bras pour le serrer. « Il faudrait vider ce sac tout de même on pourrait avoir besoin de ce qu'il y a dedans » Alice fait comme si de rien n'était, mais au fond elle pense encore a la souffrance d'Abby.

Elle revient complètement dans la tente et remarque les deux nouvelles natives qu'elle n'avait pas vu avant. Elle réalise après qu'une a parlé, demandant si elles avaient besoin d'aide. Elle sourit donc a celle qu'elle ne connait pas encore. « Il nous reste un sac de matériel a vider, on allait le faire avant que la radio se déclenche. On pourrait utiliser un peu d'aide » L'autre native parle et même si cela semble soufflé aux yeux d'Alice elle comprend ce qu'elle dit, oui elle avait cédé a la panique un peu, mais c'était les cris de sa meilleure amie qu'elle entendait. « Ils savent appuyer la où ça fait mal » Finalement elle va cherche le sac qui lui semble bien remplis, ils avaient prit pas mal de choses mais il valait mieux être prévoyant. « Je sais qu'il y a pas mal de choses mais on a voulu être prévoyant. » dit-elle alors qu'elle sortait des bandages du sac et de les ranger de façon plutôt organisée.

En résumé : Alice angoisse d'un coup mais Aron fini par la calmer, elle suit sa méthode et sort les 5 choses qu'elle voit en premier. Complètement revenue elle fini par remarquer Liwen et Arzhela a qui elle parle. Elle essaye de se recentrer sur son travail, elle lâchera tout plus tard. Elle prend le fameux sac qu'elle avait vu avant et commence a le vider de son contenu et essaye de ranger de façon méthodique comme si elle rangeait également son esprit.
# Ven 15 Mai - 2:11
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Évent n°3 : Arrêter Sheitan
Tu as participé à la guerre contre Sheitan












Évent n°2

feat Everyone









Un sourire étira finalement ses lèvres. Kleiò donc, semblait au moins contenir sa mauvaise humeur, se concentrant plus ou moins sur le travail donné d'après ce que Laska pouvait voir. Le stress avait pour don de faire perdre leurs moyens à ceux qui n'y étaient pas habitués, après tout. La guérisseuse se passa de faire un commentaire, se concentrant sur ce qu'elle faisait pour ne pas non plus commettre d'erreur. Malgré ce qu'elle pouvait laisser penser, la brune était aussi tendue, bien qu'elle se contrôlait par habitude. Lorsque la bataille commencerait et que la panique s'installerait, son sang froid serait des plus utiles. Ce qui l'inquiétait un peu était seulement le comportement des Skaikrus. Contrairement aux natifs ce peuple n'avait jamais fait face à ce genre de situations, et pourrait mal réagir. Ce furent les paroles de la blonde qui la sortirent de ses pensées, la questionnant sur son clan d'origine. Une curiosité innocente, à priori, mais Laska ne pouvait la satisfaire. Même au sein des soigneurs, il n'était pas préférable qu'elle en dévoile plus que son prénom. C'est alors qu'elle s'apprêtait à inventer un beau mensonge que la voix à la radio se fit entendre, surprenant toutes les personnes présentes dans la tente. L'ennemi attaquait donc le premier avec ces menaces, qui semblaient futiles aux yeux de Laska, mais suffirent pour faire paniquer l'une des infirmières présentes et emplir de terreur les regards des autres, du moins les Skaikru. Aux côtés d'une autre native, Laska avait tenté de leur faire comprendre que ce n'était qu'un piège de l'ennemi visant à les déstabiliser, et à faire céder leur meneuse. Décidément, si les hommes du ciel commençaient déjà à paniquer pour si peu, il y avait de quoi craindre la suite.

Heureusement, la plupart parvint à se raisonner, Kleiò la première. Si cette femme était la mère de Clarke, elle représentait en effet une otage importante, que l'ennemi devrait conserver pour un peu plus tard. Elle souffrirait sans doute, mais l'essentiel était d'en réchapper. « Exactement. » sourit-elle légèrement suite aux dernières paroles de la blonde en face d'elle, tout en se remettant au travail. Actuellement, elles ne pouvaient aider qu'en se tenant prêtes à intervenir. Un guérisseur devait savoir se maîtriser autant, si ce n'était plus, qu'un combattant.  « Laissons ces préoccupations à nos meneurs, tout se passera bien tant que chacun fait sa part du travail. » Elle ne connaissait pas le plan d'attaque, mais ils étaient une équipe, et devaient avancer ensemble selon leurs assignations. L'attente risquait d'être longue et désagréable, mais elles ne pourraient rien y faire, si ce n'était de se distraire un peu en travaillant ou en discutant. C'est dans ce but de détendre l'atmosphère que la brune reprit plus légèrement.« Première bataille, hein ? » Et pas des moindres... elle même n'en avait jamais vue de telle. Pour une première, Skaikru allait assurément être servit.


Pour faire court : Laska garde son calme face aux menaces de Cage, et tente de faire entendre raison aux autres. Pendant ce temps, elle continue de se préparer à la bataille à venir, puis tente de détendre l'atmosphère. 


« halloween »
# Ven 15 Mai - 2:14
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Azylis porte assistance !

Camp Médical, Février 2150

Le Camp médical, enfin. Bienvenue la retardataire ! Oui, ça ne fait pas partie de tes habitudes. Mais tu avais des choses à prendre. Analyse de la situation. Trois tentes et toute l'aide disponible. Skaikru et natifs, unis pour faire front commun sur ce fichu Mont Weather. Très bien ! Où se trouve Jackson ? Aucune idée pour l'instant, tu vas devoir inspecter chaque tente. Les natifs... Parler leur langue ne sera pas si simple, mais peut-être qu'avec des gestes tu y arriveras.

Se comporter comme un robot en situation de crise ? Ce n'est pas toi ça. Mais sans ton père ni Abby, tu pars un peu à la dérive. Sur l'Arche, tu te sentais seule mais avec la certitude de voir ton paternel revenir. Là... c'est autre chose. Tu as du mal à réfléchir alors qu'on attend de toi la perfection. Toi la petite jeunette de même pas dix-sept ans qui se prend pour une grande. Tu le voulais ce moment non ? Celui où on allait te reconnaître comme une personne responsable ? Tu y es Azylis. Ce n'est pas le moment de flancher. Alors tu t'avances d'un pas rapide vers la première tente. Ton sac à dos est rempli de tout un arsenal divers et varié. Tu passes à côté des groupes, tu te présentes pour celles et ceux qui ne te connaissent pas et tu poses la question.

Azylis. J'suis une Skaikru. Vous avez besoin de quelque chose ?

À l'heure d'aujourd'hui, tu ne peux rien faire de plus, si ce n'est t'assurer qu'il ne manque rien. Comme Abby et Jackson te l'ont appris. Comme Alice te l'a radoté aussi. Personne n'est encore sorti, tu n'as aucune idée de l'ampleur des dégâts au Mont Weather, ni du nombre de sinistrés qu'il vous faudra soigner dans un temps record. Mais tu es prête ! Enfin... en théorie quoi. Et si c'est ton père qu'on amène sur une civière ? Sérieux, il va falloir oublier ta rancœur là. Tu veux qu'il crève ou bien ? T'as pas le temps de ressasser le passé okay ? Une chose après l'autre. D'abord tu lui sauves la vie. Après tu le défonces.

Tente numéro une. Tout à l'air bon. Tu fonces vers la tente numéro deux. Même procédé. Là encore, tu ne reconnais pas grand monde, si ce n'est quelques Skaikrus par ci par là. Tu prends le temps qu'il faut, toujours, retournes à la tente précédente et procèdes à quelques échanges. Tant que tu peux aider, tu te fous de savoir combien d'allers-retours tu vas te taper. Quand enfin su parviens à la dernière tente, c'est un Jackson remonté à bloc que tu vois te fait signe de loin. Tu l'observes, comprenant qu'apparemment il avait la situation sous contrôle. Proche de lui, une tête connue. Miss Moore en personne. Une bonne chose. Une autre jeune femme est là également. Arzhela, la native Ouskejonkru qui a eu la délicatesse de te ramener à Arkadia le mois dernier alors que tu t'étais amusée à fuguer... Pas très malin quand tu y repenses. Mais tu avais besoin de prendre l'air. Tu hausses les épaules. À quoi bon ? Tu décides finalement de rejoindre celles que tu apprécies mais... Un message retentit des radios. Tu te figes, et tu tends l'oreille. Il est adressé à Clarke. Merde... Ce qui suit te glace le sang. Ces hurlements... Ce sont ceux de la Chancelière. Abby est torturée en direct et toi... Tu es là, béate, à la limite de crier à ton tour tellement sa détresse te déchire le cœur. Tu ne reconnais pas la voix de l'homme qui propage ces menaces. Mais à la seconde où il termine, tu sens le stress te prendre de court.

Putain ! Faut pas que j'panique... faut pas que j'panique...

Tu parles dans ta barbe. Inutile de te faire entendre, ça n'aidera personne. Tes bras se serrent sous ta poitrine. Tu as envie de pleurer tout à coup, mais tu te retiens. Ton regard balaye de nouveau l'espace ambiant à la recherche d'Alice. Elle discute avec Arzhela et d'autres personnes. Parfait ! Tu as besoin de parler. Alors tu t'avances vers ce groupe. Et tu pries que les nouvelles soient meilleures dans les prochaines minutes.

------------------------

Petit résumé : Azylis fait le tour des trois tentes, histoire de s'assurer que tout le monde dispose du matériel nécessaire, quitte à faire des allers-retours pour leur procurer ce dont ils ont besoin. Elle arrive dans la tente où se trouvent Alice et Arzhela. Elle entend le message de Cage Wallace et les hurlements de Abby. Le stress la paralyse. Elle part voir les deux femmes pour se donner du courage.
# Jeu 21 Mai - 11:16
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event #2 - camp médical
Ft. All - Extérieur de Mount Whether

Régulièrement ton regard se relève, pour se porter dans la direction vers laquelle est partie Aron. Elle est avec Alice, tu sais qu'elle y sera en sécurité, bien entourée, tu n'es pas certaine cependant de savoir pourquoi tu l'as envoyée là-bas au lieu de la garder près de toi. Parce qu'il faut aider, sans doute, et que tu n'es pas sure toi-même de ton utilité. Tu tentes en tout cas, de trier, comme on te l'a demandé, et tu te reprends, tu essayes de te concentrer sur ce que tu fais, pour moins penser. Ça ne marche pas vraiment et finalement tu te décides à parler, à cette native qui vient de se présenter, tu tentes d'engager un semblant de conversation qui ne peut probablement pas vous faire de mal mais voilà que la radio grésille et que le peu de calme que tu avais réussi à rassembler vole en éclat alors que la peur envahi ton regard.

Ça ne dure qu'un moment, Laska est là, bien plus sereine que toi, en apparence au moins, et elle t'aide à ne pas totalement paniquer, à réfléchir, à comprendre que tu dois te calmer même s'il y a ce frisson qui continue d'électriser tes bras. Tu sais oui, qu'ils cherchent à vous manipuler, qu'ils ne reculeront devant rien pour vous faire lâcher. Mais tu sais aussi que vous ne pouvez pas lâcher, que vous ne pouvez pas vous offrir le luxe de reculer sans quoi tous vos prisonniers verront leur sort définitivement réglé. « Tu as raison. » C'est d'un hochement de tête que tu approuves les paroles de la native, que pouviez-vous faire d'autres ? Vous n'étiez que le camp médical, l'arrière garde, la zone de repli pour les blessés, quoi qu'il en soit ce n'était pas à vous d'agir, vous ne le pouviez juste pas et vous alliez devoir supporter encore cette longue attente dans ce camp où la tension était plus que palpable.

Une tension que Laska cherchait visiblement à apaiser et si sa question te surpris par sa tournure tu finis pourtant par hocher la tête, comprenant ce qu'elle cherchait à faire, la remerciant intérieurement pour ça. « Première bataille. » Un bref silence suivit tes mots avant que tu ne poursuives finalement. « Ce n'était pas vraiment ce à quoi on s'attendait quand on pensait au jour où on redescendrait enfin sur terre. » Tu secoues un peu la tête et une mèche de cheveux libérée passe devant tes yeux. « Je ne suis pas certaine d'avoir envie de m'y habituer. » Pour peu que l'on puisse réellement d'y habituer ? Oh sans doute que c'était le cas des guerriers, comment pourraient-ils autrement affronter la mort avec autant de facilité ? Mais tu n'étais pas une guerrière Kleiò, ton caractère pouvait créer des étincelles parfois et tu étais plutôt rancunière, mais il y avait un fossé entre les disputes, aussi violentes soient-elles, et la guerre.

En résumé : La préparation continue, la discussion avec Laska aussi.

# Jeu 21 Mai - 20:17
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Communication radio


(Audible sur toutes les radios Skaikru...)

[Cage Wallace] :  « Ton temps est écoulé Clarke. Tu ne peux plus rien pour ceux de ton peuple. Tu n’auras pas l’occasion de leur dire adieux. »



C'est l'heure de faire boom !


◊ De loin, vous entendez peut être la bombe exploser sur la porte, mais vous entendez surtout les bruits des tirs de l'ennemi qui suivent ! Les premiers blessés ne devraient plus tarder à arriver, même si les vôtres sont prudents. Tenez vous prêts !

Bon courage !






(c) quake ; pour Epicode
# Sam 23 Mai - 16:55
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Évent n°2

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Première bataille, donc, ça ne l'étonnait pas. Skaikru n'en avait pas vu beaucoup, et une grande partie de leur peuple n'était arrivé qu'après. Il était toujours difficile à croire que ces personnes étaient tombées du ciel, le géant bleu semblant à la fois si vide et infini. Ce peuple était clairement différent mais pour Laska, ce n'était pas une raison de considérer la paix entre eux impossible. La preuve, ils pouvaient ici travailler en équipe, et sans problème. « J'aimerais te dire que ce sera la dernière. » souffla t-elle, sachant que ce ne serait jamais le cas. Même si la trêve était maintenue, elle doutait que la paix puisse durer éternellement. Après tout, la vie était un combat. Un léger rire quitta ses lèvres à la réplique de la blonde, qui s'attendait apparemment à autre chose en venant sur terre. Ne l'avaient-ils pas quitté depuis un siècle, au moins ? Sans doute s'attendaient-ils à être les seuls survivants. S'il n'y avait qu'un peuple, les conflits seraient moins nombreux, mais là encore il s'agissait d'espérer ce qui ne pourrait jamais se produire. « Tu n'en as pas envie, mais t'y habituer est une question de survie. » Cela ne signifiait pas aimer la guerre, ou prendre des vies, mais il fallait se préparer à faire face à certaines situations pour les surmonter. Un constat fort pessimiste, mais bien réel. Laska avait tenté de fuir cette vie et ses aléas, mais tout cela l'avait bien vite rattrapé, et elle s'était rendue à l'évidence qu'elle devrait l'accepter. C'est pourquoi elle était ici, dans l'attente de soigner les premiers blessés de cette bataille. Elle ne pouvait changer le monde, mais pouvait le rendre un peu moins pire,  à son échelle ! « Pour information, je ne m'attendais pas non plus à ce que des humains vivent dans le ciel.  » De quoi retomber dans une atmosphère plus légère. Elle serait curieuse d'un jour entendre l'histoire de Skaikru, car elle n'avait jamais eu l'occasion de converser avec l'un d'eux avant ce jour, et encore moins d'en apprendre sur eux.

La radio retentit de nouveau, faisant soupirer la brune. Elle espérait que la panique ne reprendrait pas part du camp médical. L'intervention fut moins violente que la première, et plus puérile. L'ennemi n'avait pas obtenu ce qu'il voulait et ne pouvait de toute évidence pas se permettre de tuer cette otage en direct. La position de force qu'il prétendait avoir était loin d'être si solide. C'est d'ailleurs l'explosion de la bombe et le début des tirs à peine quelques minutes plus tard qui le lui confirmèrent. Cette porte pouvait être ouverte, bien qu'elle n'en avait jamais douté, si les siens avaient tout prévu. La brune se tourna vers l'entrée de la tente, plus sérieuse que lors de la conversation entamée précédemment. « Notre tour ne va plus tarder. » Elle se pressa un peu plus dans ses préparations, sachant que seules quelques minutes les séparaient de l'arrivée des premiers blessés. C'était bien sûr en admettant que ces tirs ne tuaient pas leurs victimes sur le coup, mais Laska préférait rester positive. Dans une bataille, il y avait toujours plus de blessés que de morts, et ce encore plus lorsque deux armées ne se rencontraient pas frontalement.


Pour faire court : Laska continue de discuter avec Kleio et entend les premiers tirs. Pour elle, ça signifie que le combat commence et que des blessés vont bientôt arriver.
 


« halloween »
# Lun 25 Mai - 11:32
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event 2 : Le camps médical
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C’est dur Aron, toute cette fichue situation est plus dure que tu ne l’aurais imaginé, et tu veux juste aller attraper la main de Kleio et faire comme si le monde n’était pas en train de s’effondrer autour de vous. Techniquement ici vous ne risquez rien, mais vous n’êtes pas à l’abri des attaques mentales ou des autres choses de ce genre, et tu essayes d’aider Alice comme tu peux. Elle est ton amie, et elle est importante, alors tu la regarde faire, et tu partage une technique avec elle. Il y’a d’autre chose après la vision, il y’a les autres sens, mais ça semble marcher un peu et tu es soulagée. « C’est compréhensible Alice, on est la, impuissants. Mais on est ensemble, et on va tout faire pour que ça aille okay ? » Tu lui dois bien ça, elle a toujours tant fait pour toi Alice que tu veux la protéger elle aussi. Et tu te jures qu’un jour tu vas devenir une guerrière et tu les protègeras toutes. ( C’est mal barré pour le moment, mais t’as de la détermination c’est tout ce qui compte. )

Mais déjà elle se concentre sur autre chose, et c’est probablement pas si mal, alors tu te concentres toi aussi, et tu offres un signe de tête aux deux autres femmes qui sont dans la tente maintenant. Tu es d’accord avec ce que dit la terrienne que tu ne connais pas vraiment, et tu finis par t’occuper du sac quand une autre femme rentre. C’est une fille de l’Arche, une infirmière aussi tu crois ? Tu les connais vaguement ces gens, tu commences à saturer parce qu’il y’a trop de monde.

Et c’est la que le message retenti. Que les derniers mots de Cage Wallace resonnent dans la tente, et tu fronces les sourcils, avant de grogner. Jasper est la bas. D’autres sont la bas aussi, et tu te sens tellement impuissante, que tu restes silencieuse maintenant. Tu restes figée un peu. Tu ne sais plus vraiment quoi dire ou quoi faire, parce que même si… il ment probablement pour se servir de ça comme d’un moyen de pression, c’est assez douloureux. Alors tu reste occupée avec ton sac.

En résumé Aron est plutot satisfaite d'avoir calmée Alice. Elle reste dans la tente qui commence à être etouffante. Elle ne fait rien de spécial, et vide le sac comme Alice le lui a indiqué. Elle salue les autres femmes qui rentrent. Et le message la secoue assez.
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# Lun 25 Mai - 18:22
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Event n°2
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Aron est vraiment adorable avec elle, c'est incroyable comment elle peut essayer d'avoir les épaules solides alors que c'est plutôt l'inverse qui devrait avoir lieu, mais Alice n'a pu contrôler la crise d'angoisse et Aron sait ça mieux que personne. Mais l'infirmière se calme, doucement mais surement, elle utilise des procédés qu'elle maîtrise parce que cela la met un peu plus à l'aise. « Notre rôle c'est de faire en sorte que les blessés aille bien, qu'on s'occupe bien d'eux. Pour le reste on ne peut pas faire grand chose malheureusement, mais au moins je vous ai vous pour me rassurer et comme repère. » C'était un moyen de fonctionner qu'elle avait trouvé dans cette situation d'angoisse, se rassurer avec les personnes qu'elle connaissait en plus de ranger méticuleusement le materiel parce que cela l'aidait aussi a organiser son cerveau.

Elle continue de vider le sac et de ranger, toujours aussi carré, c'est stupide de faire ça mais ça l'aide, elle ne pense plus à l'horrible message, mais elle pense bien a Abby, et surtout au fait qu'elle s'occupera bien d'elle quand tout cela serait fini, après tout elles avaient toujours été là l'une pour l'autre et cela n'était pas près de changer. Alors qu'elle vidait le sac elle remarqua Azylis qui était arrivé et elle lui offrit un chaleureux sourire, le jeune et future médecin était très compétente selon elle, mais tout comme elle il fallait qu'elle reste zen, ce qui ne pourrait pas être simple, Alice connait bien certains mécanismes de l'angoisse, et elle se fit une note mental, en la voyant aller voir d'autres personnes présentes dans la tente de vérifier plus tard comment elle va et d'essayer comme elle le peut de la rassurer.

Seulement il se pourrait que se ne soit pas le cas, la radio émet de nouveau un son et c'est bien dommage parce que elle avait fini par l'effacer de son esprit cette foutue radio, cet objet de l'enfer et surtout la voix atroce qui parlait a l'autre bout... Mon dieu elle détestait cette voix et encore plus l'homme a qui elle appartenait. Les nouveaux mots lui glaçait de nouveau le sang, non Abby n'allait pas mourir ce n'était pas possible, de plus elle savait que Clarke ne laisserai pas cela arriver. Elle serra les poings, elle voulait la balancer, l'exploser cette maudite radio pour que d'ou elle soit elle n'entende plus les horreurs qu'elle faisait. « J'espère pour cet homme qu'il ne croisera jamais ma route parce que si c'est le cas je lui arrache ses yeux et je lui fais bouffer. » grogna Alice entre ses dents, et il valait vraiment mieux qu'il ne croise pas sa route...

En résumé : RESTONS ZEN ! Alice continue son travail, plus calme mais ses angoisses sont toujours dans un petit coin. Quand la radio retenti elle a qu'une envie la balancer là où le soleil ne brille pas, et surtout elle s'énerve un peu contre la voix à l'autre bout, il vaudrait mieux qu'ils ne se croisent jamais.
# Lun 25 Mai - 19:21
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Azylis porte assistance !

Camp Médical, Février 2150

Ton corps tremble vraiment. Tu ne sais pas ce qui se trame au Mont Weather, mais rien ne t'inspire. Le message de cet homme n'est pas là pour te calmer. Mais pour te faire paniquer au point d'oublier ta fonction première. Secourir les blessés et les soigner. Natifs ou Skaikrus, tu ne feras pas de différence. Mais au fond de toi, tu pries que ton père ne soit pas dans le lot. Tu t'en voudras... parce que tu ne parviens pas à lui rouvrir ton cœur de glace. Parce que cet imbécile de John Murphy aura semé la zizanie au point de vouloir inconsciemment lui mettre une balle dans sa petite tête vide pour qu'il la ferme là ! Tu sais que ton paternel fait de son mieux, même si c'est loin d'être suffisant, mais ça ne doit pas être une excuse à ce qu'il se fasse tabasser là-bas. Tu soupires, rejoignant le groupe que tu viens de repérer. Alice et Arzhela, entourées d'autres visages connus ou pas. Il te semble reconnaître Aron d'ailleurs, même si tu ne la connais que de nom seulement. Polie malgré tout, tu souris à toutes en guise de salut. Ton stress est bien trop important pour te permettre d'ouvrir la bouche. Non... Le sourire t'est rendu par Alice en premier lieu, Arzhela étant occupée dans ses affaires. Pour les autres, tu préfères ne pas t'en préoccuper pour l'instant.

Jusqu'à ce qu'un nouveau message ne parvienne jusqu'aux radios disséminées sous la tente. Un nouveau frisson te glace le sang. Le temps imparti à Clarke est écoulé. Ce qui veut dire que... l'attaque va commencer ? Oh mon dieu ! penses-tu alors que tu te retournes vers Alice, le visage complètement affolé.. Garde ton calme Azylis... te murmure ta conscience alors que tu entends les premiers coups de feu au loin. C'est arrivé. Vous êtes en guerre en ce moment contre ces infâmes montagnards. Bientôt, les premiers blessés allaient débarquer sous cette tente et tu devras être au top de tes performances. Difficile à l'imaginer aux vues de ton état ! Mais par respect envers le Chancelière, et dans le but de prouver à ton paternel que tu t'y es préparée, tu ne comptes pas flancher. Les Barton ne plient pas le genou devant l'ennemi. Telle est votre devise.

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Petit résumé : Azylis rejoint le groupe et se réconforte au mieux. Le message de Cage Wallace la stresse d'autant plus, mais elle se convainc de ne pas fliper.
# Dim 7 Juin - 16:22
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Camp médical


◊ Les premiers blessés commencent à arriver, portés ou épaulés par d'autres guerriers. Leurs blessures sont plus ou moins graves, toutes par balles. Ce n'est que le début de la bataille, et une infime part des soins que vous devrez prodiguer au cours des prochaines heures, bon courage !






(c) quake ; pour Epicode
# Dim 14 Juin - 18:03
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Event n°2
Ft Everyone  

Pas le temps de souffler, une fois le camp médical près on peut déjà entendre des voix, les premiers blessés arrivaient et il allait falloir être efficace et traiter les blessures, le plus rapidement possible tout en étant perfectionniste, c'était que la première vague et a n'en douter qu'il y allait en avoir d'autres...

L'infirmière était sortit de la tente de façon a tout observer, les blessés arrivaient déjà en masse, cela allait vraiment être compliqué a gérer mais il allait falloir s'organiser, encore plus que d'habitude. Seulement voilà pas le temps, tout allait trop vite et elle allait déjà devoir s'occuper d'un grounder qui semblait beaucoup souffrir. Tant pis pour essayer de trier les blessés par priorité, elle essayerai de voir cela après.

Elle enfila une paire de gants et s'approcha du grounder, elle avait entendu que les guerriers parlaient leur langue ce qui devrait facilité la communication avec ses derniers car elle ne parlait pas un seul mot de la leur... Tout de suite Alice voyait d'où le sang venait, la cuisse, un des endroits qui saignait beaucoup, et c'était le cas de le dire, elle allait devoir faire un garrot pour arrêter au maximum le flux de sang. Elle expliqua au grounder sa démarche pour pas qu'il ne prenne peur, mais visiblement il était près a tout pour que la douleur s'arrête. Elle lui fit ensuite une injection pour calmer la douleur et pouvoir retirer la balle qui heureusement ne c'était pas logée très profondément. Elle termina ensuite de nettoyer la plaie et elle fit deux petits points de suture avant de mettre en pansement et de retirer le garrot, tout irait bien pour lui.

Le camp semblait être en effervescence impossible de savoir qui avait le plus besoin, et certain gémissaient plus fort que d'autres... Alice fini par identifier quelqu'un, un Skaikru qu'elle connaissait bien, un collègue de son mari, elle s'approcha de lui, il ne semblait pas gravement touché, en tout cas il n'y avait pas tant de sang que cela, mais cela ne voulait rien dire.   « Jordan ! Arrêtes de bouger dans tous les sens s'il te plait, il faut que je retire la balle de ton épaule. » Il grommela entre ses dents quelque chose qu'elle ne compris pas, mais elle retira tout de même la balle avant de soigner la plaie. « Voilà du repos pour toi, ton bras va devoir être immobilisé quelques temps » Elle 'éloigna ensuite, d'autres avaient besoin d'elle. L'infirmière ne demanda pas de nouvelles de son mari il fallait qu'elle reste concentrer le plus possible et qu'elle essaye d'occulter la possibilité qu'il soit lui aussi blessé...
# Jeu 18 Juin - 2:00
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Évent n°3 : Arrêter Sheitan
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Évent n°2

feat Everyone









Quelque part, la brune avait espéré que la bataille ne commencerait pas avant un certain temps. L'attente était certes stressante, mais leur permettait de se préparer correctement, tant sur le plan matériel que psychologique. À en voir les réactions que certains avaient eu suite au message du meneur montagnard, il y avait de quoi se demander s'ils seraient tous en mesure de supporter la pression. Celle-ci montait à toute allure, à mesure que les tirs se multipliaient. Peut-être aurait-il été plus rassurant de se trouver informés quant à l'évolution des choses sur le champ de bataille, mais il faudrait faire sans. Leur seul devoir était de soigner ceux qu'on leur apportait, et aucune de ces informations n'était nécessaire pour y parvenir ! Laska remit d'ailleurs ses doutes au placard, se focalisant sur son rôle, et rien que lui. Des bruits à l'extérieur lui firent rapidement comprendre que des blessés arrivaient, et après avoir jeté un regard encourageant à Kleiò, la guérisseuse quitta la tente pour les accueillir.

Ils n'étaient pas encore nombreux mais la brune savait qu'il ne s'agissait que du début. Des guérisseurs se précipitaient vers eux pour les examiner, rendant cette tâche bien plus compliquée qu'elle ne l'était auparavant ! Ça ne s'améliorerait pas en allant et l'exilée décida de prendre les devants pour instaurer un semblant d'organisation. Ainsi, elle tenta durant les premières minutes d'envoyer les blessés graves à un endroit où ils seraient examinés en priorité, et le reste attendrait un peu plus. « Emmenez-le par ici. » indiqua t-elle à deux hommes trainant un blessé grave, pointant du doigt un lit médical non loin de là. Puisque le reste semblait être pris en charge, la brune décida de s'occuper de son cas. Il saignait beaucoup, et la perte de sang engendrée lui causerait plus de tord que la position de sa blessure en réalité. Sachant déjà quoi faire, la guérisseuse s'y attela, s'estimant bien heureuse d'avoir commencé à tout déballer avant le début des festivités. Il était agréable d'avoir tous ses outils à portée de main, et dans une telle situation d'urgence cela pouvait tout à fait faire la différence ! Elle déchira le vêtement du blessé pour en libérer la plaie, la nettoya puis vérifia qu'aucun éclat de balle ne se trouvait à l'intérieur. Il avait de la chance, elle pourrait rapidement cautériser.

Son regard se porta en direction du champ de bataille, le souvenir d'un autre idiot malchanceux en tête, et avec l'espérance de ne pas le voir franchir les portes du camp médical ! Têtu comme il était toutefois, elle ne doutait pas qu'il se mettrait dans des situations compliquées ! Ne souhaitant pas s'exaspérer avant l'heure elle finit par se reconcentrer sur son blessé. La liste d'attente serait bientôt très longue !


Pour faire court : Laska comprend que les blessés vont continuer d'affluer jusqu'à la fin de la bataille, et qu'il ne s'agit là que d'un échauffement. Ainsi, elle quitte la tente pour arranger la répartition des blessés : ceux réclamant des soins d'urgence, et les autres. Elle prend ensuite en charge l'un d'eux et nettoie sa plaie.
 


« halloween »
# Jeu 25 Juin - 10:35
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event 2 : Le camps médical
Remember, remember, this is now, and now, and now. Live it, feel it, cling to it. I want to become acutely aware of all I’ve taken for granted. (s. plath) — exterieur de mont weather — camps médical .

Il est temps Aron que tu rendes au centuple ce que l’on t’a donné, et si il y’a quelqu’un que tu veux aider et protéger, quelqu’un qui merite ta douceur, c’est bien elle, c’est bien Alice. Alice et sa gentillesse, Alice qui a toujours été la pour toi depuis ce premier jour où tu es arrivée dans l’infirmerie, et qui ne t’a jamais traitée comme si tu étais inferieure, comme si tu étais moins, comme si tu étais bizarre. Alors tu fais de ton mieux, et tu lui offres ce que tu penses être un sourire après l’avoir rassurée, hochant la tête à ce qu’elle dit. Non, vous ne pouvez pas faire grand-chose, vous etes ici, vous etes coincées avec les blessés eventuels qui pourraient arriver ? Avec des ressources que vous ne connaissez pas vraiment ? Et il y’a a la fois des gens du ciel, et les peuples terrestres qui vous aident.

Ca devient vite peut être un peu trop peuplé par ici, et pourtant tu restes de marbre, tu essayes. Le message de Cage a la radio te fait figer sur place, et tu ne sais plus vraiment ce que tu dois faire, ce que tu dois dire ? Il y’a des gens que tu connais la bas dehors, il y’a des personnes a qui tu tiens un peu, meme si l’essentiel est la, dans la peripherie de ton regard, cette blonde dont tu ne semble pas pouvoir te passer. Alors oui, tu te décides peut être, et adressant un regard doux à Alice tu ne rajoute rien à ce qu’elle a dit, elle comprendra que tu la soutiens, tu es la pour ça après tout.

Et finalement tu te rapproches de Kleio parce que des blessés sont en train d’arriver et toi tu ne sais pas où te mettre, alors attrapant la main de la blonde sans la quelle tu es perdue, tu lui murmure en esperant que personne ne t’entende. « Je ne sais pas quoi faire.» elle te connait assez pour savoir que si tu as l’habitude de ton sang, tu n’aimes pas l’idée de toucher celui des autres, la saleté t’a toujours derangée.


En résumé Aron essaye de rassurer Alice d'un sourire – elle se rapproche de Kleio et elle ne sait pas quoi faire avec les blessés #chatonperdu
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