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#5 : InfirmerieAscende Superius :: Who are you ? :: Missions & Intrigues :: Intrigues :: Événements :: Event n°2
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# Dim 12 Avr - 14:29
Becca PramhedaPramheda
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#5
Infirmerie ★
Les tests se sont avérés positifs, la moelle osseuse des Skaikrus fonctionne sur les gens de la montagne. Ils ont enfin trouvé leur billet vers l’extérieur. Un à un, les gens du ciel ont été déplacés à l’infirmerie où ils se retrouvent menottés au mur. À tour de rôle, ils sont prélevés de leur moelle dans d’atroce souffrance et jusqu’à ce que mort s’en suive. Chacun est témoin, impuissant, de la douleur des autres et du manque de compassion des hommes de la montagne.
Personnages présents :
- Abigail Griffin
- Echo
- Nyssa Thorsen
- Laska
- Roan
- Des dizaines d'autres Skaikrus, dont les enfants enlevés (PNJ)
(c) quake ; pour Epicode
# Ven 24 Avr - 18:09
Carl EmersonCompte PNJ
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Event 2 :: Attaque contre la Montagne
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Évent n°2
Everyone
Ils avaient été trop confiants, voilà quelle était leur erreur. Ils auraient du tuer Clarke lorsqu'ils en avaient l'occasion, lors de sa fuite du bunker. Non seulement l'adolescente avait survécu à leur attaque sur le camp commun, mais elle était parvenue à maintenir en place l'alliance nouée avec les sauvages... et à présent, une armée se tenait à leurs portes, le brouillard ne pouvant plus les protéger. Sous estimer la technologie de ce peuple du ciel, et l'aide pouvant être apportée par leurs alliés à l'intérieur était aussi ce qui les avait mis dans cette situation. Toutefois, le combat n'était pas terminé. Ils détenaient encore les prisonniers du Ciel, et la porte était toujours fermée. Rien n'était perdu. Emerson ne pouvait concevoir une défaite face à une gamine et un groupe de sauvages ! Néanmoins, il prenait désormais au sérieux cet ennemi, imaginant qu'il avait encore quelques tours dans son sac pour espérer pénétrer dans le bunker. Mais pour cela, il faudrait passer sur les corps de nombreux soldats lourdement armés. Dans la salle de contrôles, il se trouvait auprès de son président, qui était tout aussi désemparé que lui. Le soldat hocha la tête suite à la question de son supérieur.
Le regard du brun se porta sur les écrans lorsque Cage mentionna Clarke, pouvant à peine distinguer sa silhouette parmi celles des natifs, puis croisa celui de l'autre montagnard. Un fin sourire étira ses lèvres en repensant à la femme qui partageait le même sang que la Griffin, et qu'ils détenaient depuis leur intervention au camp commun. Il avait pris un certain plaisir à échanger avec elle, mais la prisonnière serait en effet tout aussi utile pour déstabiliser sa fille et reprendre l'avantage.
Emerson quitte la salle de contrôles et se dirige vers l'infirmerie avec Cage.
L'infirmerie s'était depuis quelques jours transformée en une seconde salle de récolte. Pas de sang cette fois, mais bien de moelle. Le traitement fonctionnait à merveille, et les deux acolytes avaient été les premiers à en profiter. Les suivants avaient été leurs soldats d'élites, qui risqueraient bientôt de faire face aux radiations. L'important était de sauver un maximum des leurs, tous méritant de pouvoir un jour respirer l'air extérieur. Et ni Clarke, ni le Commandant ne les en empêcheraient.
Pour faire court : Emerson observe l'armée native depuis les écrans de la salle de contrôles aux côtés de Cage, puis lui assure que tous leurs hommes sont en place. Ils sont rapidement d'accords sur l'idée d'exploiter Abby afin de déconcentrer Clarke. Pour ce faire, ils se dirigent tous deux vers l'infirmerie. Après avoir malicieusement salué les prisonniers, il se dirige vers Abigail et lui adresse quelques paroles, avant de proposer à Cage de lancer les hostilités.
« halloween »
# Sam 25 Avr - 18:16
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EVENT N°2 - WEYLAN BARTON
La vision d'un corps souffrant le martyre et se tortillant sur une table médicalisée, hurlant d'un désespoir affligeant sous l'effet de la douleur qui ne cesse de croître d'instant en instant, baignant la pièce d'une atmosphère horrifique et oppressante. Le bruit strident de la perceuse médicale sifflant et perforant la peau ainsi que les os, sans la moindre interruption. Arrachant un sentiment d'effroi à l'ensemble des Skaikru assistant à la scène. Voilà la vision effroyable se déroulant sous les yeux de Barton, retenu comme les autres depuis plusieurs longues minutes maintenant en position attachée contre les parois froides et inconfortables formant l'infirmerie. Agglutiné les un contre les autres comme de vulgaires sacs de viandes suspendus en attente d'être conditionné et utilisé. Eux, les captifs venues du ciel, choisi dans le seul but d'approvisionner leurs geôliers avec leurs moelles respectives, seul billet de sortie pour ces gens en quête d'une vie loin de la menace constituée par les radiations. Avec de la négociation et surtout du dialogue, les choses auraient pu être tellement différente, mais malheureusement, ce n'est pas la voie pacifique choisie par les hommes de la montagne. Ces derniers semblant devoir agir dans une urgence qui dépasse l'entendement, laissant croire à Weylan que quelque chose pouvait se tramer en arrière-plan. Pourtant, il ne sait rien, ne se doute de rien et pour lui, personne ne viendra les tirer d’affaire. L’alliance avec les natifs n’étant plus qu’une histoire à mettre au passé, une idée à enfouir définitivement dans les cendres devant former présentement les anciennes fondations du camp commun. Hors de ses murs, il se serait sans doute réjoui d’une telle vision d’anarchie, mais devant la situation dans laquelle il ne se trouve, rien ne peut venir rehausser son humeur massacrante.
Son sang se glace devant la vision de ses collègues passant un à un entre les mains des bouchers en voulant à leur précieuse moelle. Ayant conscience que son tour ou celui des autres viendrait bien assez tôt. Il jette donc un regard aux Skaikru pouvant l'entourer, ne retenant pas une flaupée de juron alors qu'un autre de ses collègues et choisi pour prendre la place du précédent maintenant totalement refroidis et vidé. La vie s'étant envolée autant que la moelle de son organisme. « Bordel, mais arrêtez ce massacre ! On donnera notre moelle volontairement s’il le faut ! Ça ne sert à rien de nous vider comme des porcs ! » Il s'époumone depuis un moment, sa gorge commençant à lui faire défaut sous l'effet de la crispation qu'il ressent à la fois dans sa mâchoire et dans sa gorge. Ne souhaitant pourtant pas se laisser envahir par le sentiment de totale frustration pouvant le saisir. Il faut qu'ils sortent d'ici, mais comment ? Se tournant à l'attention de ses collègues les plus proches afin de leur lancer un regard plein de sens. Il fallait que le prochain à passer sur la table tente quelques choses pour retourner la situation, n'importe quoi. Rester de pauvres victimes en attente de la mort n'étant pas une situation qu'il voulait envisager pour lui comme pour le moindre Skaikru dans cette pièce.
C'est précisément à ce moment-là que la porte de l'infirmerie s'ouvre. Laissant apparaître ce connard de Carl Emerson et un autre type que Weylan n'a jamais vu auparavant. L'air enjoué du premier - à savoir Emerson - déclenchant instinctivement la rage du garde Skaikru. Il connaît son nom parce qu'il le tient d'une autre Montagnarde, bien que la pensée entourant le fiasco de son évasion ratée ne lui procure aucun sentiment plus noble là encore. Weylan préférant les bouffer du regard afin de leur faire comprendre sa façon de penser, il reste cependant silencieux devant l’entrée des deux hommes. Emerson encore une fois, saluant de manière ironique les Skaikru retenu captifs. Ne perdant toutefois pas de temps en se dirigeant en direction d’Abigail à qui il adresse un sourire sordide. Bordel, ne pouvait-il pas la lâcher à la fin ! Ce qu’il lui dit n’est pas plus à son goût d’ailleurs, le garde soupçonnant fortement ce connard de lui avoir fait un truc particulièrement sordide. D’ailleurs, Abby n’était plus vraiment la même depuis ce jour, Weylan l’avait bien compris. C’est pourquoi il ne résiste pas plus longtemps à vouloir s’exprimer, laissant sa putain de langue de livrer ce qu’il avait sur le cœur. « Et pourquoi tu ne la laisses pas en paix espèce de grosse merde ! » Lance-t-il alors à Emerson tandis que ce dernier s’adresse malgré tout à l’autre en lui tendant un talkie-walkie. « Il n'y aura aucunes retrouvailles pour toi tête de con, quand tes putains de burnes seront réduites en bouillie ! Crois-moi, ça arrivera bien assez tôt ! »
Son sang se glace devant la vision de ses collègues passant un à un entre les mains des bouchers en voulant à leur précieuse moelle. Ayant conscience que son tour ou celui des autres viendrait bien assez tôt. Il jette donc un regard aux Skaikru pouvant l'entourer, ne retenant pas une flaupée de juron alors qu'un autre de ses collègues et choisi pour prendre la place du précédent maintenant totalement refroidis et vidé. La vie s'étant envolée autant que la moelle de son organisme. « Bordel, mais arrêtez ce massacre ! On donnera notre moelle volontairement s’il le faut ! Ça ne sert à rien de nous vider comme des porcs ! » Il s'époumone depuis un moment, sa gorge commençant à lui faire défaut sous l'effet de la crispation qu'il ressent à la fois dans sa mâchoire et dans sa gorge. Ne souhaitant pourtant pas se laisser envahir par le sentiment de totale frustration pouvant le saisir. Il faut qu'ils sortent d'ici, mais comment ? Se tournant à l'attention de ses collègues les plus proches afin de leur lancer un regard plein de sens. Il fallait que le prochain à passer sur la table tente quelques choses pour retourner la situation, n'importe quoi. Rester de pauvres victimes en attente de la mort n'étant pas une situation qu'il voulait envisager pour lui comme pour le moindre Skaikru dans cette pièce.
C'est précisément à ce moment-là que la porte de l'infirmerie s'ouvre. Laissant apparaître ce connard de Carl Emerson et un autre type que Weylan n'a jamais vu auparavant. L'air enjoué du premier - à savoir Emerson - déclenchant instinctivement la rage du garde Skaikru. Il connaît son nom parce qu'il le tient d'une autre Montagnarde, bien que la pensée entourant le fiasco de son évasion ratée ne lui procure aucun sentiment plus noble là encore. Weylan préférant les bouffer du regard afin de leur faire comprendre sa façon de penser, il reste cependant silencieux devant l’entrée des deux hommes. Emerson encore une fois, saluant de manière ironique les Skaikru retenu captifs. Ne perdant toutefois pas de temps en se dirigeant en direction d’Abigail à qui il adresse un sourire sordide. Bordel, ne pouvait-il pas la lâcher à la fin ! Ce qu’il lui dit n’est pas plus à son goût d’ailleurs, le garde soupçonnant fortement ce connard de lui avoir fait un truc particulièrement sordide. D’ailleurs, Abby n’était plus vraiment la même depuis ce jour, Weylan l’avait bien compris. C’est pourquoi il ne résiste pas plus longtemps à vouloir s’exprimer, laissant sa putain de langue de livrer ce qu’il avait sur le cœur. « Et pourquoi tu ne la laisses pas en paix espèce de grosse merde ! » Lance-t-il alors à Emerson tandis que ce dernier s’adresse malgré tout à l’autre en lui tendant un talkie-walkie. « Il n'y aura aucunes retrouvailles pour toi tête de con, quand tes putains de burnes seront réduites en bouillie ! Crois-moi, ça arrivera bien assez tôt ! »
Rien de bien particulier en ce qui concerne Weylan. Comme les autres il est attaché dans l'infirmerie en redoutant d'être le prochain à devoir y passer. Cependant, il ne peut retenir sa langue quand il le voit Emerson rappliquer. Le menaçant dans le seul but de le voir se détourner d'Abby.
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# Mar 28 Avr - 2:31
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# Mer 29 Avr - 18:27
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EVENT 2 : #5: Infirmerie
Difficile de dire depuis combien de temps nous étions tous enfermés dans cette putain de montagne, combien de temps passer en cage avant de s'être vus conduit dans cette pièce pour y être menottés aux murs comme de vulgaires... non je ne trouvais rien de semblable à ce qui était entrain de se produire. Cependant, j'avais appris une chose dans ma minuscule cage, je plus tenter de se libérer de ces entraves de métal sous peine de se faire mal. Debout, je sentais le sang affluant dans les veine sous le plâtre et cela faisait un mal de chien. Alors mon pied bousillé, ms mains abîmées aussi, je n'allais pas prendre le risque de foutre en l'air mes poignets, même si ma vie se terminait aujourd'hui. Alors je restais calme, le plus possible immobile, silencieuse, tentant de penser à autre chose que ces personnes passant un à un sur la table de torture. Tentant de faire abstraction du bruit horrible des perceuses pénétrant dans les os de mon peuple. Oui, je tentai l'impossible, tout comme de ne plus regarder. Mais il était difficile de ne pas regarder si une fois le bruit arrêté, le corps était encore en vie. Malheureusement cela n'était encore jamais arrivé. Ils nous prenait, nous attachait, nous vidait sous une torture que même un animal ne se voyait plus infligée depuis des siècles, avant de nous jeter comme de vulgaires déchets. Même un natif devait avoir plus de respect pour les animaux qu'ils chassaient... Attendez, venais-je vraiment de penser aux natifs? Ok, je perdais complètement la tête que machinalement je tournai en direction de deux nouvelles voix venant de faire irruption dans la salle.
Deux montagnards. Qui d'autre en même temps que ces deux putains de fils de putains de montagnards encore plus laid que des pieds pourris. Non sérieux, l'un de ces enculés osa nous saluer... Une haine jamais acquise jusqu'à aujourd'hui brûlait avec ardeur en moi mais je me devais de la refouler. De la contenir pour ne pas nuire à mon prochain ou qu'ils ne décident de faire encore plus souffrir le pauvre homme sur la table. Bien qu'il devait être difficile de faire pire torture que celle-ci... Ainsi était leur façon de nous vider de notre sang... Mais bien que je ne sois pas infirmière, je savais que ce qui se trouvait dans nos os était de la moelle et non pas du simple sang. Non, ces salauds devaient avoir trouvé une autre solution pour sortir définitivement de leur prison de pierre. Moi qui ne pensais pas plus maléfique que les natifs, je revoyais clairement mon jugement. Et encore plus lorsque les deux nouveaux se dirigèrent vers Abbigail. Etait-elle la prochaine sur la liste? Non!
Faire diversion pour sauver Abby? Le voulais-je vraiment? Weylan avait regardé les autres autour de lui mais n'avait pas posé les yeux sur moi, en ce que je pouvais comprendre vu mon handicape infligé par ma propre personne. Peut-être pensait-il que j'allais péter un autre câble ou que je n'étais pas en état de faire quoi que ce soit. Ce qui pour l'incapacité, ce n'était pas totalement faux vu mon pied plâtré. Un des nôtre était encore entrain de se faire charcuter sur la table au centre de la pièce et de ce qu'on avait pu entendre et voir, les barbares n'en avaient pas encore terminés avec lui donc pourquoi le glandu c'était approché aussi rapidement de la chancelière? Barton semblait savoir un truc que j'ignorais et ses paroles ne firent que confirmer ce que je pensais. Durant mon petit voyage à l'infirmerie il s'était passé quelque chose qui avait changer la Griffin. Et cela devait être quelque chose d'horrible vu son état pitoyable, elle qui de base se montrait forte en toute circonstance. Je ne voyais qu'une seule chose possible pour mettre la chancelière dans un état comme celui-ci... La perte de sa fille. Je chassa rapidement cette idée de ma tête, Clarke avait réussit à sortir de cet endroit et était du genre coriace donc ils auraient eu du mal à la tuer. Du moins j'espérai, sincèrement, pour la chancelière qu'elle n'ait pas perdu la seule famille encore en vie lui restant. Du peu que j'avais compris, l'une était le roc de l'autre, alors les deux devaient rester en vie, pour le bien de notre peuple. Enfin... de ce qui resterait de notre peuple après cette journée ou nuit. Alors il était hors de question qu'Abby soit la prochaine, malgré la colère que j'avais pour elle en moi. Mais dire cela aux montagnards ne ferait que précipiter la chute de la brune, non il fallait que je trouve comment attirer les gardes ailleurs que sur Abby. Et quoi de mieux que d'être moi-même. Méchante, bien qu'au fond je ne penserais pas le moindre de mes mots, malgré mon aversion pour la chancelière.
"Hey du con! Tu t'adresse au meilleur medecin encore en vie de ce monde. Personne ne l'égal pas même parmi ton peuple de sauvage..." Je regardai Abby et Weylan avec dédain telle l'actrice que je voulais être, bien que je m'inquiète pour eux, oui, même pour ce gros connard de Weylan. Je repris alors la parole "Tu sais ce qui briserait cette sorcière? De voir son peuple se faire torturer et vider de son sang devant ses yeux en attendant que son tour vienne. Tu ne trouveras pas meilleure façon de la bousiller." Mon but n'était pas de sacrifier le moindre de mes semblables, non, mais de laisser une chance et du temps à mon collègue pour qu'il trouve une solution pour libérer tout le monde d'ici même si cela était peine perdue.
Moi, avec mon pied en compote, j'étais foutue, alors ouais... cela me faisais mal de l'admettre mais j'étais prête à me sacrifier pour offrir une possible chance aux autres de s'en sortir. Tout cela pourrait fonctionner si à l'extérieur l'alliance était encore en place mais il y avait peu de chances que ce soit le cas... En gros on était foutu et... oui il y avait une pointe d'égoïsme, une énorme pointe d'égoïsme. Vouloir passer avant tout le monde sur cette table de la mort car entendre plus de cris me rendrait folle. J'ignorais réellement si j'agissait avec bravoure ou par lâcheté, tout était flou dans ma tête. Les supplices infligés par ces hommes en tenue blanches étaient d'une extrême barbarie qu'il était devenu impossible de ne pas se perdre ni de paniquer. Je ne savais plus rien hormis le fait que je voulais laisser plus de temps à la chancelière.
Deux montagnards. Qui d'autre en même temps que ces deux putains de fils de putains de montagnards encore plus laid que des pieds pourris. Non sérieux, l'un de ces enculés osa nous saluer... Une haine jamais acquise jusqu'à aujourd'hui brûlait avec ardeur en moi mais je me devais de la refouler. De la contenir pour ne pas nuire à mon prochain ou qu'ils ne décident de faire encore plus souffrir le pauvre homme sur la table. Bien qu'il devait être difficile de faire pire torture que celle-ci... Ainsi était leur façon de nous vider de notre sang... Mais bien que je ne sois pas infirmière, je savais que ce qui se trouvait dans nos os était de la moelle et non pas du simple sang. Non, ces salauds devaient avoir trouvé une autre solution pour sortir définitivement de leur prison de pierre. Moi qui ne pensais pas plus maléfique que les natifs, je revoyais clairement mon jugement. Et encore plus lorsque les deux nouveaux se dirigèrent vers Abbigail. Etait-elle la prochaine sur la liste? Non!
Faire diversion pour sauver Abby? Le voulais-je vraiment? Weylan avait regardé les autres autour de lui mais n'avait pas posé les yeux sur moi, en ce que je pouvais comprendre vu mon handicape infligé par ma propre personne. Peut-être pensait-il que j'allais péter un autre câble ou que je n'étais pas en état de faire quoi que ce soit. Ce qui pour l'incapacité, ce n'était pas totalement faux vu mon pied plâtré. Un des nôtre était encore entrain de se faire charcuter sur la table au centre de la pièce et de ce qu'on avait pu entendre et voir, les barbares n'en avaient pas encore terminés avec lui donc pourquoi le glandu c'était approché aussi rapidement de la chancelière? Barton semblait savoir un truc que j'ignorais et ses paroles ne firent que confirmer ce que je pensais. Durant mon petit voyage à l'infirmerie il s'était passé quelque chose qui avait changer la Griffin. Et cela devait être quelque chose d'horrible vu son état pitoyable, elle qui de base se montrait forte en toute circonstance. Je ne voyais qu'une seule chose possible pour mettre la chancelière dans un état comme celui-ci... La perte de sa fille. Je chassa rapidement cette idée de ma tête, Clarke avait réussit à sortir de cet endroit et était du genre coriace donc ils auraient eu du mal à la tuer. Du moins j'espérai, sincèrement, pour la chancelière qu'elle n'ait pas perdu la seule famille encore en vie lui restant. Du peu que j'avais compris, l'une était le roc de l'autre, alors les deux devaient rester en vie, pour le bien de notre peuple. Enfin... de ce qui resterait de notre peuple après cette journée ou nuit. Alors il était hors de question qu'Abby soit la prochaine, malgré la colère que j'avais pour elle en moi. Mais dire cela aux montagnards ne ferait que précipiter la chute de la brune, non il fallait que je trouve comment attirer les gardes ailleurs que sur Abby. Et quoi de mieux que d'être moi-même. Méchante, bien qu'au fond je ne penserais pas le moindre de mes mots, malgré mon aversion pour la chancelière.
"Hey du con! Tu t'adresse au meilleur medecin encore en vie de ce monde. Personne ne l'égal pas même parmi ton peuple de sauvage..." Je regardai Abby et Weylan avec dédain telle l'actrice que je voulais être, bien que je m'inquiète pour eux, oui, même pour ce gros connard de Weylan. Je repris alors la parole "Tu sais ce qui briserait cette sorcière? De voir son peuple se faire torturer et vider de son sang devant ses yeux en attendant que son tour vienne. Tu ne trouveras pas meilleure façon de la bousiller." Mon but n'était pas de sacrifier le moindre de mes semblables, non, mais de laisser une chance et du temps à mon collègue pour qu'il trouve une solution pour libérer tout le monde d'ici même si cela était peine perdue.
Moi, avec mon pied en compote, j'étais foutue, alors ouais... cela me faisais mal de l'admettre mais j'étais prête à me sacrifier pour offrir une possible chance aux autres de s'en sortir. Tout cela pourrait fonctionner si à l'extérieur l'alliance était encore en place mais il y avait peu de chances que ce soit le cas... En gros on était foutu et... oui il y avait une pointe d'égoïsme, une énorme pointe d'égoïsme. Vouloir passer avant tout le monde sur cette table de la mort car entendre plus de cris me rendrait folle. J'ignorais réellement si j'agissait avec bravoure ou par lâcheté, tout était flou dans ma tête. Les supplices infligés par ces hommes en tenue blanches étaient d'une extrême barbarie qu'il était devenu impossible de ne pas se perdre ni de paniquer. Je ne savais plus rien hormis le fait que je voulais laisser plus de temps à la chancelière.
(c) DΛNDELION
Nyssa, attachée comme tout le monde au mur, évite d'observer l'horreur qui se déroule devant le groupe d'archéens tout en essayant de ne pas écouter les cris des sacrifiés. Lorsque deux montagnards dont elle ignore le nom entrent dans la pièce et s'approchent d'Abby, elle fait tout pour qu'ils se désintéresse elle.
# Jeu 30 Avr - 2:16
Charles Pike
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Une fois dans l’infirmerie, Cage laissa Emerson prendre les devants et se diriger vers la Chancelière du Peuple du ciel. Au premier coup d’œil, elle ne semblait pas avoir la force de caractère pour gérer un peuple entier. Carl avait bien vu en lui faisant croire à la mort de Clarke et des autres du camp commun. Un point pour eux. Certes, ça avait tué leurs chances de négocier, mais aujourd’hui, ils n’avaient plus besoin de négocier. La moelle osseuse des Skaikrus fonctionnait. Les montagnards avaient leur billet de sortie, ils n’avaient plus besoin de qui que ce soit. Dans un premier temps, la châtaine ne réagit pas aux paroles d’Emerson. Elle semblait complètement dans un autre monde. C’est le grand gaillard près d’elle qui réagit en hurlant sa haine contre Emerson. Cage ne dit rien, son visage était complètement fermé et il fixait l’homme qui menaçait son collègue et ami. Si Emerson voulait lui en coller une, c’était dans son droit. Tant qu’il ne le tuait pas. L’attention du président de la montagne dévia sur la Chancelière qui réagit enfin. « Tu n’as plus rien à dire. Nous, nous allons parler. » Le brun avait le talkie-walkie d’Emerson entre ses mains qu’il rangea dans un premier temps à sa ceinture. Il voulut se retourner afin de s’adresser aux médecins qui vidaient les Skaikrus lorsqu’une nouvelle voix agaçante s’éleva.
Le président ferma doucement les yeux pour maîtriser la colère qui prenait place en lui. Il se devait de rester calme. Perdre le contrôle ne serait bon pour personne. Son regard sombre se posa sur la jeune femme qui s’adressait à eux. Ses sourcils s’étaient froncés. Était-elle en train de dévoiler les faiblesses de leur Chancelière ? Ce n’était pas très brillant de sa part. Un demi-sourire se dessina sur son visage alors qu’il avançait vers elle.« Est-ce ta manière de nous demander sa place ? Ne t’inquiète pas, chacun d’entre vous aura son tour. Le tien viendra bien assez vite. » Il avait terminé sur un ton de provocation en observant la femme dans les yeux. Finalement, le président se retourna vers l’équipe qui venait de terminer avec leur dernier patient. « Attachez-moi ces deux là. » dit-il en désignant avec mépris sa nouvelle meilleure amie (Nyssa) et la Chancelière. Sans perdre une seconde, les gardes se dirigèrent vers les deux femmes qui n’eurent aucune chance d’éviter la suite. Elles furent détachées du mur pour être traînées de force vers deux lits médicaux sur lesquels elles furent attachées avec des sangles en cuir. « Tu n’auras pas eu le temps d’apprendre à la fermer lorsque c’est le moment. Tant pis. » cracha-t-il à l’endroit de la blondinette avant de s’éloigner pour retourner auprès de la Chancelière. L’homme attrapa la radio qu’il porta à ses lèvres et sans aucune hésitation, il s’exprima : « Bonjour Clarke. Nous avons avec nous une personne à qui tu tiens particulièrement. Il serait vraiment dommage qu’on soit dans l’obligation de lui faire du mal, car nous n’arrivons pas à nous entendre, n’est-ce pas ? » Avait-il réellement l’intention de négocier ? Peut-être. Il était en train d’improviser et il laissait son instinct le guider. « Demande à ton armée et à celle des sauvages de partir et nous pourrons négocier. Ils ont 5 minutes pour s’éloigner. Je veux voir uniquement tes dirigeants et la Commandante native. » L’homme se pencha vers la Chancelière qu’il observa un court moment avant de faire signe aux médecins. Entre temps, il n’avait pas lâché le bouton du talkie-walkie ne donnant pas la chance à Clarke ou tout autre de s’exprimer. Les différents sons dans la pièce étaient bien perceptibles dans la radio. « 5 minutes Clarke. » ajouta-t-il en approchant la radio de la Chancelière, mais le seul son qui sortit de sa bouche fut un cri d’horreur et de douleur tandis que l’instrument de ses scientifiques transperçait à froid sa cuisse droite. Lorsqu’il fut certain que Clarke et les autres eurent bien compris ce qui se passait, il relâcha finalement le bouton de communication.
Le président ferma doucement les yeux pour maîtriser la colère qui prenait place en lui. Il se devait de rester calme. Perdre le contrôle ne serait bon pour personne. Son regard sombre se posa sur la jeune femme qui s’adressait à eux. Ses sourcils s’étaient froncés. Était-elle en train de dévoiler les faiblesses de leur Chancelière ? Ce n’était pas très brillant de sa part. Un demi-sourire se dessina sur son visage alors qu’il avançait vers elle.
La vie de Cage en quelques lignes : Cage ne réagit pas aux insultes de Weylan laissant le plaisir à son partenaire de lui en mettre une. Il tente de se concentrer sur la Chancelière, mais Nyssa ne le laisse pas faire. Énervé, il demande à ses soldats de détacher les deux femmes du mur pour les rattacher sur les lits médicaux. Elles seront les prochaines. Après une remarque méprisante à l'endroit de Nyssa, Cage attrape le talkie-walkie d'Emerson afin de demander à Clarke d'éloigner son armée pour négocier. Il lui donne 5 minutes pour le faire et s'assure que ceux du dehors puissent bien entendre l'horrible cri d'Abigail lorsqu'elle se fait prélever sa moelle.
# Jeu 30 Avr - 18:15
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EVENT N°2 - WEYLAN BARTON
Les prunelles de Weylan parcourent la salle, se posant sur chacun de ses collègues encore vivant afin de leur insuffler la rage suffisante pour qu’ils se dégagent de leur bourreau le moment venu. Les Montagnards dans leur quête punitive priorisant davantage les hommes de sa carrure dans le but d’éliminer la menace qu’ils pouvaient encore représenter. Mais c’est un échec pour le garde, car s’il puise dans ses dernières ressources, ce n’est pas le cas de la majorité des Skaikru enchaînés autour de lui. De quoi l’énerver d’autant plus, même s’il a conscience que ce n’est pas leur faute. Après autant de temps dans des cages, il ne pouvait en attendre davantage de la part de ses collègues. Il ne prête d'ailleurs aucune attention au poids mort se trouvant à côté de lui, Nyssa avec son pied dans le plâtre ne constituant aucune forme de menace pour l'ennemi, ni pour qui que ce soit d'ailleurs. Que pouvait-elle faire de plus dans son état ? Weylan étant encore très loin d'avoir de bons sentiments à son égard depuis son pétage de plomb dans les cages. Celle-ci s'étant blessée elle-même sur le coup de la colère. Pour Weylan, qui avait été son formateur sur l'Arche, ce manque de mental constituait une faiblesse évidente quant au maintien de son statut de garde, même si pour le moment la question ne se posait pas. Devant la situation, il n'avait pu retenir sa langue afin d'interpeller, ou raisonner les médecins se trouvant dans la pièce et se livrant à cette tâche des plus barbare. Rien à faire bien évidemment et il le comprend bien vite. Ce n'est qu'à l'entrée des deux hommes qu'il réalise plus dramatiquement encore l'étendue de la situation, se résignant à penser qu'ils étaient tous dans une merde insurmontable. Cependant, il ne désire pas en rester là, en plus de ne pas supporter de voir ce connard d'Emerson s'intéresser à la Chancelière. Lui est son pote, qui doit assurément être son supérieur ayant une idée bien précise en ce qui concerne la châtaine. Rien qui n’inspire Barton, ni même le rassure. Allait-elle être la prochaine à passer sur la table ? Il faillait sans doute s’y attendre et c’est devant cette seule supposition qu’il ne put retenir sa langue de lâcher un tas de saloperies à la gueule d’Emerson. Dans le but premier de capter son attention. Cela ne semble pas le faire réagir, bien au contraire, cependant, c'est Abigail qui semble refaire surface. Sa voix prononçant son nom comme pour le dissuader de continuer dans cette voie. Barton s'exécute malgré lui, son crâne lui martelant pourtant avec force de continuer son cirque pour capter l'attention des deux hommes, mais c'est comme viscérale, il doit suivre les consignes de sa supérieure, même dans un moment aussi particulier que celui-ci.
Elle répond elle-même aux deux hommes, très courageusement malgré son état faiblard. Laissant le loisir à Weylan de se renfermer sur lui-même pour s’effacer. Mais c’est sans compter l’intervention maladive de la blonde non loin de lui. Bordel ne pouvait-elle pas se la boucler plus de cinq minutes ? Pourquoi fallait-il toujours qu’elle se fasse remarquer de la sorte et surtout dans son état ? Les mots qu’elle profère étant bien loin des paroles que Weylan aurait pu utiliser, pire encore, elle livre aux deux hommes le point faible de la Chancelière. À savoir ; son peuple et donc les hommes, femmes ou gamins se trouvant dans la pièce. Sa mâchoire se contracte avec plus de force à chaque mot ayant le malheur de sortir de sa bouche. Sa manœuvre étant certes utile afin de détourner les deux Montagnards d'Abigail, mais pas suffisante cependant. De plus, certains étaient bien trop jeunes pour mourir face à un tel traitement.
Un fort pressentiment vient glacer le sang de l'Archéen, Emerson et son pote ne semblant plus vouloir reculer ou perdre leur temps inutilement. « Ferme ta gueule Nyssa… » Souffle-t-il à l’attention de la blonde afin qu’elle retrouve le silence, il ne la regarde même pas d’ailleurs, ce n’est pas le moment pour se prendre la tête avec elle. Pourtant, le mal semble fait, car l’autre type – après avoir maîtrisé ses nerfs – focalise son attention sur elle avant de lui répondre avec un sourire aux lèvres. Lui demandant si c’était là, sa manière de demander à prendre sa place, non sans la rassurer que chacun d’entre eux auraient droit au même traitement dans un futur immédiat. Le ton provocateur de l’homme donnant des envies de meurtre à Weylan dont les mains toujours entravées se crispent sur les lanières de cuir comme pour éprouver leurs résistances. Le pire arrivant tout aussi vite quand il demande à ses hommes de se saisir des deux femmes pour les installer au centre de la pièce sur ces lits de torture. « Ne les touchez pas bande de connards ! Prenez quelqu'un de votre taille ! Prenez-moi à leur place ! » Grogne-t-il non sans s'agiter dans tous les sens. Éprouvant les lanières retenant ses poignets pour tenter de faire céder l'attache les maintenant au mur. Y mettant tout son poids et ses dernières forces pour les arracher. L'énergie du désespoir en quelques sortes, même si une information des plus utile vient lui donner un regain d'énergie. Car le brun ne perd pas plus de temps pour utiliser la radio et s'adresser à la fille de la Chancelière. Lui demandant de faire déguerpir l'armée et les sauvages présents devant les portes de la montagne, sans quoi il ferait du mal à la chancelière. Bordel ! Alors, l'alliance était toujours d'actualité, cela étant à la fois aussi génial que déplaisant pour le Skaikru. Cependant, il poursuit ses efforts, mettant un peu plus de hargne à vouloir se libérer alors qu’Abby pousse déjà un cri déchirant sous la torture de l’instrument déchirant sa cuisse droite. Armée ou pas, elle ne serait d'aucune utilité ici, il fallait que l'un d'eux arrive à se défaire de ses liens et si Weylan avait la moindre chance de le faire, il n'hésiterait pas à foutre un beau massacre dans cette pièce. Pourtant, les liens lui résistaient toujours. Et les sentiments d'inutilité et d'impuissance face à la situation, n'étaient d'aucun secours face au chaos agitant ses nerfs.
Elle répond elle-même aux deux hommes, très courageusement malgré son état faiblard. Laissant le loisir à Weylan de se renfermer sur lui-même pour s’effacer. Mais c’est sans compter l’intervention maladive de la blonde non loin de lui. Bordel ne pouvait-elle pas se la boucler plus de cinq minutes ? Pourquoi fallait-il toujours qu’elle se fasse remarquer de la sorte et surtout dans son état ? Les mots qu’elle profère étant bien loin des paroles que Weylan aurait pu utiliser, pire encore, elle livre aux deux hommes le point faible de la Chancelière. À savoir ; son peuple et donc les hommes, femmes ou gamins se trouvant dans la pièce. Sa mâchoire se contracte avec plus de force à chaque mot ayant le malheur de sortir de sa bouche. Sa manœuvre étant certes utile afin de détourner les deux Montagnards d'Abigail, mais pas suffisante cependant. De plus, certains étaient bien trop jeunes pour mourir face à un tel traitement.
Un fort pressentiment vient glacer le sang de l'Archéen, Emerson et son pote ne semblant plus vouloir reculer ou perdre leur temps inutilement. « Ferme ta gueule Nyssa… » Souffle-t-il à l’attention de la blonde afin qu’elle retrouve le silence, il ne la regarde même pas d’ailleurs, ce n’est pas le moment pour se prendre la tête avec elle. Pourtant, le mal semble fait, car l’autre type – après avoir maîtrisé ses nerfs – focalise son attention sur elle avant de lui répondre avec un sourire aux lèvres. Lui demandant si c’était là, sa manière de demander à prendre sa place, non sans la rassurer que chacun d’entre eux auraient droit au même traitement dans un futur immédiat. Le ton provocateur de l’homme donnant des envies de meurtre à Weylan dont les mains toujours entravées se crispent sur les lanières de cuir comme pour éprouver leurs résistances. Le pire arrivant tout aussi vite quand il demande à ses hommes de se saisir des deux femmes pour les installer au centre de la pièce sur ces lits de torture. « Ne les touchez pas bande de connards ! Prenez quelqu'un de votre taille ! Prenez-moi à leur place ! » Grogne-t-il non sans s'agiter dans tous les sens. Éprouvant les lanières retenant ses poignets pour tenter de faire céder l'attache les maintenant au mur. Y mettant tout son poids et ses dernières forces pour les arracher. L'énergie du désespoir en quelques sortes, même si une information des plus utile vient lui donner un regain d'énergie. Car le brun ne perd pas plus de temps pour utiliser la radio et s'adresser à la fille de la Chancelière. Lui demandant de faire déguerpir l'armée et les sauvages présents devant les portes de la montagne, sans quoi il ferait du mal à la chancelière. Bordel ! Alors, l'alliance était toujours d'actualité, cela étant à la fois aussi génial que déplaisant pour le Skaikru. Cependant, il poursuit ses efforts, mettant un peu plus de hargne à vouloir se libérer alors qu’Abby pousse déjà un cri déchirant sous la torture de l’instrument déchirant sa cuisse droite. Armée ou pas, elle ne serait d'aucune utilité ici, il fallait que l'un d'eux arrive à se défaire de ses liens et si Weylan avait la moindre chance de le faire, il n'hésiterait pas à foutre un beau massacre dans cette pièce. Pourtant, les liens lui résistaient toujours. Et les sentiments d'inutilité et d'impuissance face à la situation, n'étaient d'aucun secours face au chaos agitant ses nerfs.
Face à la situation Weylan n'est pas en mesure de faire grand-chose. Mise à part hurler et s'agiter inutilement, il essaie malgré tout d'éprouver la résistance de ses liens afin de s'en défaire. Vainement, malheureusement pour lui.
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# Sam 2 Mai - 2:11
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Évent n°2
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Dès leur arrivée dans la salle, la tension était montée d'un cran, alors que le chaos semblait déjà régner pour les prisonniers. Ils voyaient les leurs passer les uns après les autres sur cette table d'opération, et en mourir. S'il s'agissait de son peuple, le soldat aurait certainement été choqué par une telle vision d'horreur, mais ce n'était pas le cas, et il se satisfaisait de leurs cris. Les sauvages ainsi que les bons à rien venus du ciel allaient périr, tandis qu'eux fouleraient bientôt librement la surface. Pour y parvenir, il ne leur restait plus qu'à vaincre ou à chasser cette armée qui menaçait leur porte, et les deux montagnards avaient une bonne idée pour au moins gagner un peu de temps. Ainsi, Emerson avait immédiatement rejoint la Chancelière, lui adressant quelques paroles peu rassurantes. Si la Skaikru n'eut pas de réaction immédiate, c'est un autre homme qui se mit à lui hurler dessus depuis l'autre côté, le faisant hausser les épaules. Cela semblait enrager Cage, mais le soldat n'avait pas de raison de laisser les insultes de ce prisonnier l'atteindre. Après un échange pathétique avec sa Chancelière, celui-ci sembla au moins décidé à se taire, la laissant enfin lui répondre avec un détachement certain. Était-ce là sa manière de gérer la souffrance et la peur ? Peu importe. La radio dans les mains de Cage, Emerson se contenta de souffler à sa victime, qui ne voulait pas croire aux merveilleuses retrouvailles qui allaient suivre.
Voyant l'autre homme s'agiter à nouveau, Carl souffla et se détourna de son supérieur pour aller à la rencontre du prisonnier. C'était un grand gaillard, qui aurait dans un autre temps pu convenir au projet Cerbère. Mais il n'était plus question de cela, la seule chose qui pouvait désormais leur être utile était sa moelle. En attendant son tour, Emerson voulait qu'il se taise et ne dérange pas Cage qui n'allait pas tarder à s'exprimer à la radio. Le brun était resté à bonne distance de lui jusqu'ici, l'air presque serein, mais le coup qu'il asséna en plein dans l'estomac du Skaikru fut aussi vif qu'inattendu. Ou du moins, s'il s'y était attendu, l'autre homme n'avait pu l'esquiver de part sa mauvaise posture. Gardant son point bien enfoncé dans le ventre du brun, il en profita pour glisser à son oreille.
Ses pas le menèrent enfin, et de nouveau, au côtés de l'autre montagnard. Il n'avait laissé que cinq minutes à Clarke pour réagir, mais le soldat doutait qu'elle fasse quoi que ce soit. En revanche, il pourrait être bon d'utiliser ce temps à d'autres fins.
Pour faire court : Emerson adresse quelques dernières paroles à Abigail, ignorant pour le moment les insultes de Weylan tout en s'amusant des mesures prises par Cage à l'encontre des deux femmes. Lorsque Wey' se manifeste à nouveau, il lui donne un coup dans l'estomac tout en le menaçant de faire durer le calvaire des deux autres Skaikrus, ce qu'il finit par faire. Il revient vers Cage lorsque celui-ci en a fini avec Clarke, et tente de mettre à profit le temps gagné.
« halloween »
# Mar 5 Mai - 4:10
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Abigail ne put retenir un sursaut lorsque Nyssa se mit à hurler sans précédent. Qu’est-ce qui lui prenait ? Elle était suicidaire ou quoi ? Les sourcils de la Chancelière s’étaient immédiatement froncés sous les paroles de la blonde. Tantôt gentille, tantôt méchante, Abby avait du mal à suivre ce qui se passait dans la tête de Nyssa. La blondinette ne savait pas pour Clarke, car elle comprendrait que la Chancelière était déjà bousillée. Même si le reste était horrible, ce n’était rien à côté du vide et de la douleur qu’elle ressentait en ce moment. Ces barbares avaient tué sa fille. C’était son unique pensée depuis des jours au point où elle arrivait à se détacher de tout le reste. C’était un comportement égoïste de se centrer sur sa propre souffrance, mais elle ne savait pas faire autrement. Abigail avait réagi de la même manière après la mort de Jake au point d’oublier des jours entiers. Elle s’était renfermée sur elle-même. Comme en ce moment. La châtaine n’avait rien pu répondre. Déjà Weylan avait demandé très gentiment à sa partenaire de la fermer et celui qui semblait être le supérieur d’Emerson surenchérit. Comme le pensait le montagnard, était-ce une manière de la part de Nyssa de vouloir prendre la place de la Chancelière ? Mais pour quelle raison ? Qu’est-ce qu’elle avait derrière la tête ?
# Sam 9 Mai - 17:59
Charles Pike
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Sa main était refermée contre la radio d’Emerson et son visage était complètement neutre. Il n’avait pas grand espoir de voir l’armée des natifs reculés et au fond, il agissait surtout pour perturber Clarke dans l’espoir de la voir commettre une erreur. Cage ne voulait pas négocier. Il n’y avait rien à négocier. L’extérieur était à eux et rien ni personne ne pourrait le faire changer d’avis à ce sujet. Il n’en avait rien à faire de sacrifier la mère de Clarke et Chancelière de leur peuple. À ses yeux, elle était qu’une humaine comme les autres qui allaient donner sa moelle et souffrir pour le faire. Elle allait mourir et il avait bien l’intention de faire partager cette souffrance et cette mort à Clarke. Petit par petit. Pour se venger d’elle et de tous les problèmes qu’elle avait causés à la montagne. Son regard s’était posé sur son ami et collègue lorsque ce dernier s’était approché pour savoir si le président avait quelque chose en tête. Pour l’instant, non. Il avait été pris de court et il improvisait. La curiosité prit place dans le regard du Président lorsque Carl parla de laisser une surprise derrière la porte à Clarke et ses amis. Un demi-sourire se dessina sur ses lèvres. « Positionne ton équipe. Nous n’avons pas une minute à perdre. » Les deux hommes avaient été élevés ensemble et ils avaient toujours eu une mentalité sensiblement identique. Cage faisait confiance à Emerson. Il allait défendre cet endroit jusqu’au bout de sa vie, exactement comme le président Wallace. Le brun voulait croire que la porte n’allait pas céder, mais il préférait ne prendre aucune risque. Clarke avait de la ressource contrairement aux natifs. Il fallait planifier quelque chose pour les arrêter.
« Il n’y a aucun mouvement à l’extérieur Monsieur. » Sa propre radio, en communication avec la salle des contrôles, venait de s’allumer. Le Président pinça les lèvres et il se dirigea vers la Chancelière. Il voulut lui faire une remarque, mais il constata qu’elle était évanouie. Le brun roula des yeux. Elle était faible.« Elle peut encore nous être utile. Réveillez-la. » ordonna-t-il aux médecins qui hochèrent la tête. L’un des médecins attrapa l'ammoniac afin de faire respirer les vapeurs à la châtaine. « Passez à l’autre. » Ses hommes hésitèrent un instant n’ayant pas pour habitude d’alterner entre les patients. Sauf que cette fois, la situation était différente. La Chancelière allait leur servir plus tard, contrairement à la blondinette qui n’avait aucune importance à leurs yeux. Le Président s’approcha de la jeune femme qu’il dévisagea de haut en bas. Son regard s’attarda sur le plâtre de la femme qu’il n’avait pas remarqué avant. « Qui a osé la soigner ? On ne soigne pas les prisonniers avec nos précieuses ressources. » Cracha-t-il à l’endroit des personnes présentes qui baissèrent la tête sous l’innocence. Personne ne semblait avoir la réponse et c’était mieux comme ça. Sous l’énervement, une balle aurait pu se perdre. On ne soignait pas les prisonniers. Ce n’était pas nouveau. « Virez-moi ça et commencez par cette jambe. » Il le faisait retirer uniquement pour qu’elle souffre davantage. Autant, les autres, il n’en avait rien à faire de leur douleur, mais celle-ci avait eu le malheur de l’énerver. Elle ne méritait pas mieux. Sans utiliser des méthodes douces, le plâtre de la blonde fut retiré, arraché serait un meilleur terme. Directement après, on s’attaqua à sa rotule afin de la prélever. Le brun l’observa de longues secondes. Malgré son visage neutre, il ressentait une certaine satisfaction. Un moment plus tard, il s’éloigna pour laisser son équipe agir et il dévisagea longuement l’homme qui se débattait contre le mur. « Ne sois pas aussi pressé, tu seras le prochain. » L’homme se retourna de manière à observer la blondinette se faire prélever sa moelle osseuse. Il croisa ses bras sur son torse en attente des nouvelles d’Emerson ou de la salle de contrôles.
« Il n’y a aucun mouvement à l’extérieur Monsieur. » Sa propre radio, en communication avec la salle des contrôles, venait de s’allumer. Le Président pinça les lèvres et il se dirigea vers la Chancelière. Il voulut lui faire une remarque, mais il constata qu’elle était évanouie. Le brun roula des yeux. Elle était faible.
La vie de Cage en quelques lignes : Cage fait confiance à Emerson et même sans savoir tout le plan, il lui demande de positionner ses équipes. Le temps est précieux. Ensuite, il se dirige vers Abby, évanouie, et exige qu'on la réveille. Il va l'utiliser plus tard. Encore. Cage demande à ce que la Chancelière soit mise de côté et qu'on prélève Nyssa. Il s'énerve légèrement en voyant son plâtre. On ne soigne pas les prisonniers. Qui a osé ? Après le retrait du plâtre, les médecins se mettent au boulot et commencent les prélèvements sur la jeune femme.
# Lun 11 Mai - 18:00
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EVENT 2 : #5: Infirmerie
Mes paroles avaient causés mon arrêt de mort. Je le savait. Tel en était le but. Une partie de l'objectif. J'avais ouvert ma gueule pour que ce fils de chien laisse Abigail en paix. Jamais je n'avais vu la chancelière aussi perturbée, elle qui semblait toujours solide comme un roc. Notre peuple avait besoin d'elle bien plus qu'il n'avait besoin de moi. Des soldats, il y en avait d'autre, en aurait d'autres une fois cette fichue guerre terminée. Alors oui, mon regard plongé dans celui du connard de la montagne en chef de ce qui paraissait, je lui souris, dans un silence de marbre avant de lui cracher à la gueule. On devait me prendre pour une folle, mais je n'en avais plus rien à foutre. Mon but était de protéger Abby sauf que ce chacal nous détacha toute deux du mur. Quelle idiote! J'aurais du penser à cette éventualité. Je me maudissais intérieurement alors que l'on me détachais du mur. Je n'émis aucune résistance, me contentant de lancer un "Réfléchis un peu, connard!" à l'intention de mon cher collègue Weylan. Les insultes, voici tout ce qui nous rapprochais lui et moi. Marcus avait eu la mauvaise idée de nous mettre en binôme et autant dire qu'une salve de noms d'oiseaux s'étaient fait entendre au Camps Jaha ainsi que dans la forêt. C'était notre façon de nous 'apprécier' sans doute. En tout cas, peu importa ce que nous trouverions derrière le voile de la mort, j'espérais de tout mon coeur ne pas recroiser ce débile profond.
J'étais certes dans mes pensées mais je mis toute mes forces pour me débattre lorsqu'on essaya de m’attacher contre cette table de la mort. Des coups de points furent donnés, ainsi qu'un coup de pied, ou plutôt de plâtre bien placé à un docteur Jekyll en vain. Bworf ils étaient en surnombre donc je fut vite bloquée, alors que Hyde prit sa radio pour parler à ... Clarke. Je tournais machinalement la tête vers la chancelière, mais celle-ci était aussi choquée que quiconque ici. Jusqu'à ce qu'un cri sortit de sa bouche à la suite d'un bruit de perceuse. Putain ces gars étaient vraiment tarés. Des sadiques de plus haut niveaux. Cependant, une lueur d'espoir avait prit place dans ma tête lorsque l'acolyte d'Hyde avait parlé de porte qu'on tentait d'ouvrir. Alors Clarke était vivante, et l'armée était devant les portes de cette maudite montagne. Ça c'était de l'espoir. Bien qu'il était étrange qu'après l'attaque du camps commun, Clarke ait réussit à réunir natifs et peuple du ciel. Si elle avait bel et bien réussit, alors cette gamine était bien plus intelligente que je l'avais cru jusqu'ici et alors peut-être devais-je revoir mon jugement sur les Griffin avant mon trépas. Les autres avaient donc une chance de survivre à ce calvaire. Je devais partir avec cette pensée là, mais entendre crier Abby me mit en hors de moi. Putain mais il cherchais quoi à la torturer de la sorte? A punir Clarke pour s'être échappé... Tout était clair. A croire qu'à l'approche de la mort nous devenions plus intelligents...
Les cris cessèrent, alors je me m'agitait sur la table de torture. "Abigail? Abby!" Aucune réponse mais Hyde indiqua à un Jekyll qu'il fallait la réveiller. Elle était donc en vie. Un faible sentiment de soulagement avant que ce psychopathe ne porte son attention sur moi. "Tu brûleras en enfer pour ce que tu as fais, fils de putain!" Ce n'étais pas la meilleure approche pour supplier qu'on me laisse en vie, mais rien ne les détourneraient de leur but, celui de nous prendre de la moelle osseuse, de nous vider comme des porcs jusqu'à ce qu'il ne reste que des cadavres de notre peuple. Tout ça pour quoi? Pour voir l'extérieur. Je me mis nerveusement à rire. "Vous allez vous faire massacrer". Je n'entendis pas ce que le cinglé venait de dire mais je me mis à hurler de douleur. Presque identique à celle que j'avais ressentie en me cassant le pied. Venait-ils vraiment de retirer mon plâtre? Qu'est-ce que ça pouvait leur foutre que j'ai cela puisqu'ils comptaient me vider? Oh... Juste de la torture. Il ne s'agissait plus que de ça à présent. Cela se voyait sur son visage. Il me regardait, j'en faisais de même et étais alors préparé à recevoir la douleur dans mon genoux. Si bien que malgré la douleur qui m'envahissait, je me contentais de serrer des dents et des poings pour ne pas hurler mais mon visage lui trahissait ce que je ressentais tout comme les larmes coulant sur mon visage. Je ne crierais pas. Je ne donnerais pas cette satisfaction. Non. Au final, les natifs étaient des anges à côtés du peuple de la montagne...
J'étais certes dans mes pensées mais je mis toute mes forces pour me débattre lorsqu'on essaya de m’attacher contre cette table de la mort. Des coups de points furent donnés, ainsi qu'un coup de pied, ou plutôt de plâtre bien placé à un docteur Jekyll en vain. Bworf ils étaient en surnombre donc je fut vite bloquée, alors que Hyde prit sa radio pour parler à ... Clarke. Je tournais machinalement la tête vers la chancelière, mais celle-ci était aussi choquée que quiconque ici. Jusqu'à ce qu'un cri sortit de sa bouche à la suite d'un bruit de perceuse. Putain ces gars étaient vraiment tarés. Des sadiques de plus haut niveaux. Cependant, une lueur d'espoir avait prit place dans ma tête lorsque l'acolyte d'Hyde avait parlé de porte qu'on tentait d'ouvrir. Alors Clarke était vivante, et l'armée était devant les portes de cette maudite montagne. Ça c'était de l'espoir. Bien qu'il était étrange qu'après l'attaque du camps commun, Clarke ait réussit à réunir natifs et peuple du ciel. Si elle avait bel et bien réussit, alors cette gamine était bien plus intelligente que je l'avais cru jusqu'ici et alors peut-être devais-je revoir mon jugement sur les Griffin avant mon trépas. Les autres avaient donc une chance de survivre à ce calvaire. Je devais partir avec cette pensée là, mais entendre crier Abby me mit en hors de moi. Putain mais il cherchais quoi à la torturer de la sorte? A punir Clarke pour s'être échappé... Tout était clair. A croire qu'à l'approche de la mort nous devenions plus intelligents...
Les cris cessèrent, alors je me m'agitait sur la table de torture. "Abigail? Abby!" Aucune réponse mais Hyde indiqua à un Jekyll qu'il fallait la réveiller. Elle était donc en vie. Un faible sentiment de soulagement avant que ce psychopathe ne porte son attention sur moi. "Tu brûleras en enfer pour ce que tu as fais, fils de putain!" Ce n'étais pas la meilleure approche pour supplier qu'on me laisse en vie, mais rien ne les détourneraient de leur but, celui de nous prendre de la moelle osseuse, de nous vider comme des porcs jusqu'à ce qu'il ne reste que des cadavres de notre peuple. Tout ça pour quoi? Pour voir l'extérieur. Je me mis nerveusement à rire. "Vous allez vous faire massacrer". Je n'entendis pas ce que le cinglé venait de dire mais je me mis à hurler de douleur. Presque identique à celle que j'avais ressentie en me cassant le pied. Venait-ils vraiment de retirer mon plâtre? Qu'est-ce que ça pouvait leur foutre que j'ai cela puisqu'ils comptaient me vider? Oh... Juste de la torture. Il ne s'agissait plus que de ça à présent. Cela se voyait sur son visage. Il me regardait, j'en faisais de même et étais alors préparé à recevoir la douleur dans mon genoux. Si bien que malgré la douleur qui m'envahissait, je me contentais de serrer des dents et des poings pour ne pas hurler mais mon visage lui trahissait ce que je ressentais tout comme les larmes coulant sur mon visage. Je ne crierais pas. Je ne donnerais pas cette satisfaction. Non. Au final, les natifs étaient des anges à côtés du peuple de la montagne...
(c) DΛNDELION
Comme à son habitude, Nyssa ne peux pas fermer sa gueule et lance un dernier message à Weylan, espérant qu'il comprenne son action. Une fois sur la table, la torture ne fait que commencer, mais Nyssa tente de rester forte. Jusqu'à quand?
# Mar 12 Mai - 20:31
Carl EmersonCompte PNJ
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Évent n°2
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Le sourire du soldat s'agrandit quand il reçut l'autorisation de Cage d'agir, étant fier de constater que son supérieur lui faisait suffisamment confiance pour le laisser agir sans dévoiler son plan. Il serait risqué, et éventuellement coûteux au niveau matériel, mais protégerait les leurs et c'était ce qui comptait le plus à présent. Ce ne serait de plus qu'une mesure préventive. Emerson espérait ne pas en arriver là, mais ne souhaitait pas sous estimer ses ennemis lorsque la survie de son peuple était en jeu.
Emerson quitte l'infirmerie pour rejoindre les couloirs.
Pour faire court : Emerson laisse Cage à ses occupations et donne ses ordres pour protéger la porte. Il quitte l'infirmerie pour rejoindre les couloirs.
« halloween »
# Dim 17 Mai - 19:14
BibiJe suis à la retraite
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Ça faisait combien de temps qu’elle ne s’était pas sentie aussi bien et aussi sereine ? Beaucoup trop longtemps. Le stress, la nervosité, la peur, la culpabilité et la souffrance faisaient partie d’elle depuis plus d’un an maintenant. Depuis qu’elle avait fait exécuter son mari en faisant confiance à la mauvaise personne. Derrière la montagne de roches qu’elle tentait d’être, Abby était une femme blessée et torturée qui ne demandait rien d’autre que du repos. Repos qu’elle avait enfin. Après des mois et des mois à se battre, elle se sentait apaisée. Même si elle avait l’impression d’entendre son prénom, elle n’y fit pas attention. Elle n’avait pas envie de se battre, elle n’avait pas envie d’ouvrir les yeux. Elle avait atteint le maximum qu’une femme pouvait supporter. Un peu de repos ne pouvait lui faire de tort. L’inconscience la berçait et elle était alliée la plus réconfortante pour le moment. Sauf que sa tranquillité d’esprit fut de courte durée, une forte vapeur pénétra dans ses narines pour la réveiller brusquement. Son corps eut le réflexe de vouloir se relever, mais les attaches la maintinrent en place lui arrachant un gémissement de douleur. Tout de suite, elle put ressentir toute la douleur revenir. Son corps tremblait tandis que des larmes roulaient sur ses joues. Elle n’avait même pas remarqué qu’elle avait commencé à pleurer. L’un des médecins s’activait sur sa cuisse afin d’arrêter l’hémorragie tandis que les autres s’occupaient de Nyssa. C’était son tour. La Chancelière ferma fortement les yeux lorsqu’elle entendit la perceuse s’actionner. Elle s’attendait à entendre hurler la garde d’une seconde à l’autre, mais rien. Un simple coup d’œil vers cette dernière lui permit de voir que la jeune femme se battait pour ne pas leur donner satisfaction. Ne pouvant en voir davantage, le médecin tourna la tête de l’autre côté pour observer Wey toujours contre le mur. Elle lui lança un regard désolé. Tout ceci était de sa faute et uniquement de sa faute.
# Lun 18 Mai - 22:44
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EVENT N°2 - WEYLAN BARTON
La tension est à son comble au sein de l'infirmerie, plongeant les lieux dans une atmosphère de vive agonie. Les cris venant percer ses tympans de manière atroce en plus de mettre sa raison au supplice. Il s'agite, il force comme un rustre sur ses liens, mais rien ne bouge malgré les à-coups répétés pour les éprouver. Ils ne céderont pas et de ce fait, il demeurerait impuissant face à la situation dramatique s'opérant sous ses yeux. Ce connard d'Emerson semble même s'en amuser, venant à son contact pour le toiser de manière sinistre et semblant même l'évaluer du regard quelques secondes. Mais devant le bruit qu'il fait et s'évertue à faire jusqu'à présent, il ne se montre plus aussi tolérant. Ne trouvant mieux que de lui asséner son poing en direction de son estomac sans la moindre retenue et sans qu'il le voit venir. Le coup est douloureux en plus de lui couper le souffle, ce connard le laissant même enfoncé quelques instants supplémentaires dans son abdomen pour faire durer le plaisir. Il serre les dents devant ses mots, stoppant ses tentatives (inutiles et épuisantes) de faire céder ses liens. Ne s’empêchant pas cependant de croiser le regard de son adversaire non sans y glisser toute la rage et le dégoût pouvant voiler sa vision. Les mains libres, il l’aurait certainement déjà achevé de manière sanglante. « Parce que si, je me calme, vous allez arrêter de vous conduire comme des connards ? Tu me prends vraiment pour un con ! » Lui crache-t-il au visage sans dissimuler la colère qui le submerge. Il pose la question, mais n'attend aucune réponse, il la connaît déjà. D'ailleurs, le Maunon ne tient nul compte de ses paroles, préférant nicher sur ses lèvres un léger rictus avant de s'éloigner en direction de son collègue. Les deux hommes poursuivants leur immonde session de torture sur la chancelière afin de faire réagir sa fille. Perçant sa chair pour la faire hurler de manière glaçante, la vision de la perceuse creusant sa cuisse n'étant pas une vision qu'il oublierait de sitôt. Il pourrait détourner le regard, mais il ne le fait pas, reprenant instinctivement sa guerre contre les liens entravant toujours ses poignets pour les faire céder, comme si c'était le seul moyen pour lui de se montrer utile dans cette histoire. Aucune réaction n'émane de la radio et cela ne l'étonne même pas, les forces en présence à l'extérieur ne voulant et ne pouvant plus reculer pour mettre à mal la montagne ayant déjà fait tant de mal. Ils ne retireraient pas les forces en présence et de toute manière – qu'ils le fassent ou non – Weylan ne doutait pas que rien ne change pour eux. Ils voulaient cette moelle et ne se priveraient pas pour l'obtenir. Et pour ce clan ou pour l'autre, il n'y avait aucune issue favorable pour les quelques Skaikrus présents dans la pièce, mais il pouvait encore tenir bon pour leur laisser le temps de rentrer dans le bunker.
Devant l’horreur de la situation Weylan perd légèrement pied, lui pourtant habitué à voir des horreurs. Mais de la torture comme celle-ci, assurément pas, surtout sur des personnes de sa connaissance, qu’il les apprécie ou pas. Il est de même totalement démuni devant le mal fait à Abigail puis à Nyssa. Le léger black-out venant le surprendre mélangeant les événements dans un ordre totalement irrationnel et confus dans son pauvre esprit. Il secoue la tête pour laisser passer la vague, celle-ci laissant pourtant une chape de plomb sur ses épaules, lui donnant l’impression de peser une tonne. Il reprend consistance quand le second connard semble s’adresser à lui, promettant qu’il serait le prochain à subir toute cette merde. Il envisage les deux femmes, hurlant ou vacillant dans un état de semi-conscience qui fait peine à voir. Combien de temps pourrait-il encore subir cela ? Pourquoi n'était-il pas sur cette table à leur place ? Il observe Emerson se barrer de la pièce, donnant des ordres afin d'organiser la suite des événements. Pour sa part, il ne cesse toujours pas de s'évertuer à bouger, captant néanmoins le regard d'Abigail qui dans un sursaut revient à elle. Il ne cache pas un visage totalement anéanti devant la Chancelière, l'impuissance qu'il ressent est en passe de le rendre fou. Pourtant, la châtaine semble vouloir lui confier une mission, son regard l'implorant d'une manière désolée, tandis que sa bouche articule avec difficulté quelques mots. Il tend l'oreille malgré le chaos initié par le bruit strident des perceuses se frayant un chemin dans les os des siens, parvenant à capter ce qu'elle semble vouloir lui demander. « Aide Clarke. » Répète-t-il pour lui-même, son cerveau encore bouillonnant cherchant à vive allure un moyen de se rendre utile. Mais il a beau réfléchir rien ne semble être suffisamment utile pour démêler le sac de nœuds se présentant à lui. Il tente néanmoins quelque chose, même s’il sait déjà que sa manœuvre n’aura sans doute aucun poids sur les événements. « Si tu butes sa mère, tu n’auras jamais gain de cause ! Si elle meurt, ils tueront tous les habitants de la montagne et tout ça n’aura servi à rien ! C’est vraiment ce que tu veux ? Prends la moelle des volontaires et sauve ton peuple, pourquoi prendre quelque chose de force alors que tu peux l’avoir sans violence ? » Cela ne lui ressemble pas de parler ainsi, mais s’il ne tente pas quelque chose, les deux femmes allaient mourir sous ses yeux et ça il n'était pas prêt à le vivre. « Prends ma moelle, je te la donne espèce d’enfoiré ! »
Devant l’horreur de la situation Weylan perd légèrement pied, lui pourtant habitué à voir des horreurs. Mais de la torture comme celle-ci, assurément pas, surtout sur des personnes de sa connaissance, qu’il les apprécie ou pas. Il est de même totalement démuni devant le mal fait à Abigail puis à Nyssa. Le léger black-out venant le surprendre mélangeant les événements dans un ordre totalement irrationnel et confus dans son pauvre esprit. Il secoue la tête pour laisser passer la vague, celle-ci laissant pourtant une chape de plomb sur ses épaules, lui donnant l’impression de peser une tonne. Il reprend consistance quand le second connard semble s’adresser à lui, promettant qu’il serait le prochain à subir toute cette merde. Il envisage les deux femmes, hurlant ou vacillant dans un état de semi-conscience qui fait peine à voir. Combien de temps pourrait-il encore subir cela ? Pourquoi n'était-il pas sur cette table à leur place ? Il observe Emerson se barrer de la pièce, donnant des ordres afin d'organiser la suite des événements. Pour sa part, il ne cesse toujours pas de s'évertuer à bouger, captant néanmoins le regard d'Abigail qui dans un sursaut revient à elle. Il ne cache pas un visage totalement anéanti devant la Chancelière, l'impuissance qu'il ressent est en passe de le rendre fou. Pourtant, la châtaine semble vouloir lui confier une mission, son regard l'implorant d'une manière désolée, tandis que sa bouche articule avec difficulté quelques mots. Il tend l'oreille malgré le chaos initié par le bruit strident des perceuses se frayant un chemin dans les os des siens, parvenant à capter ce qu'elle semble vouloir lui demander. « Aide Clarke. » Répète-t-il pour lui-même, son cerveau encore bouillonnant cherchant à vive allure un moyen de se rendre utile. Mais il a beau réfléchir rien ne semble être suffisamment utile pour démêler le sac de nœuds se présentant à lui. Il tente néanmoins quelque chose, même s’il sait déjà que sa manœuvre n’aura sans doute aucun poids sur les événements. « Si tu butes sa mère, tu n’auras jamais gain de cause ! Si elle meurt, ils tueront tous les habitants de la montagne et tout ça n’aura servi à rien ! C’est vraiment ce que tu veux ? Prends la moelle des volontaires et sauve ton peuple, pourquoi prendre quelque chose de force alors que tu peux l’avoir sans violence ? » Cela ne lui ressemble pas de parler ainsi, mais s’il ne tente pas quelque chose, les deux femmes allaient mourir sous ses yeux et ça il n'était pas prêt à le vivre. « Prends ma moelle, je te la donne espèce d’enfoiré ! »
Face à la situation Weylan n'est pas en mesure de faire grand-chose. (encore une fois) Mais devant la tournure des événements, il invite Cage à changer sa façon de faire. Lui signifiant que tuer Abigail (ou même les autres personnes) serait une grave erreur. Il lui propose ainsi de prendre sa moelle de façon volontaire en étant persuadé que d'autres de ses collègues gardes puissent être en mesure de se proposer pour épargner les plus jeunes.
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# Jeu 21 Mai - 4:43
Charles Pike
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Toujours sans le moindre remord, il demanda le retrait du plâtre de la blondinette. Elle n’aurait jamais dû l’avoir. Qu’est-ce qu’il s’était passé et qui avait osé la prendre en charge ? Il ferait sûrement ses recherches après cette guerre. Là, Wallace avait autre chose à penser qu’un plâtre sur une pauvre fille qui allait uniquement leur servir à donner sa moelle. Son regard dévia vers la Chancelière lorsque le grand brun se mit à parler d’elle. Carl poussa un profond soupir. Il n’avait pas encore compris qu’il n’en avait rien à faire de Clarke et d’avoir gain de cause ? Tout ce qu’il voulait était de gagner du temps afin de récupérer un maximum de moelle osseuse.
***Cage Wallace quitte l’infirmerie pour la salle de contrôle***
Une fois dans le couloir, Cage attrapa sa radio personnelle connectée à la fréquence du Bunker pour dire à Carl :
La vie de Cage en quelques lignes : Cage confie à Weylan que l'extérieur sera à eux sans natifs et sans Skaikrus. Il n'a pas l'intention de prendre la moelle des volontaires. Il la veut tout de suite. Il dit à ses hommes de finir Nyssa et de s'occuper de Weylan avant de quitter pour la salle des contrôles. Dans le couloir, il ordonna à Emerson de préparer son équipe extérieur. Ensuite, dans la salle des contrôles, il veut mettre dehors la père Cromwell qui s'est incrustré. Ce dernier lui confit comment affaiblir la porte de Bunker, mais affirme pouvoir l'aider à ce qu'elle n'ouvre jamais. Cage accepte cet aide.
# Mar 26 Mai - 17:36
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EVENT N°2 - WEYLAN BARTON
L'enfer... Si le Montagnard pensait pouvoir sortir de cet enfer, ce n'était pas sans le leur faire vivre à eux. Skaikru était dans la merde jusqu'au cou et rien ne pourrait changer cette sinistre constatation. En si peu de temps la vision de Weylan s'était voilée d'une pellicule rougeâtre venant troubler le moindre de ses sens. Les cris de ses comparses lui déchirant les tympans, le sang jaillissant accablant ses prunelles tandis que les entraves à ses poignets lacèrent sa peau de façon atroce sous ses assauts répétés pour s'en dégager. Le goût métallique dans sa bouche ne laissait plus douter qu'il s'était mordu la langue jusqu'au sang et l'odeur déplaisante engendrée par les perceuses sur les os d'Abigail et Nyssa, était en passe de lui consumer entièrement les poumons t'en elle lui soulevait le cœur. Si les choses devaient encore durer, elle aurait probablement raison de sa capacité à faire preuve de pitié à l'encontre de ce peuple. C'est pour cette raison que le Skaikru tente une dernière approche à l'intention du connard en face de lui. Lui proposant une énième fois de se raviser afin d'avoir la chance de faire le bon choix. Mais c'est là encore, un bel échec. Celui-ci le narguant une nouvelle fois, non sans lui rappeler que dans tous les cas il aurait sa moelle de gré ou de force. Mais surtout que leur avenir se ferait à l’extérieur sans que Natifs ou Skaikru ne soient présents pour nuire à ce nouveau mode de vie. Ne lui accordant pas un seul regard alors qu’il lui répond avec toute la froideur qui le distingue.
« Tu ne passeras même pas la porte espèce de sale con. » Lui lance-t-il, conscient que quoi qu'il dise cela n'avait plus la moindre importance. « Et quoi ? Tu vas buter tout le monde ? » Il voudrait comprendre, mais surtout lui tenir tête afin de le confronter, mais son interlocuteur est bien trop aveuglé par sa propre convoitise pour se soucier de lui. C'est pourtant après quelques longues secondes qu'il lui accorde enfin un regard, le fixant tout en portant la radio à ses lèvres afin de s'adresser une nouvelle fois à Clarke. Le message qu'il lui délivre n'est absolument pas plus plaisant lui non plus, même s'il accorde un délai supplémentaire à la Chancelière dont il est censé prendre la place sur le siège de torture. À moins bien entendu, que ce ne soit un destin plus sinistre encore qui l'attende. La mâchoire de Weylan se contracte devant cette constatation, mais au moins ce n'est pas un autre que lui qui est visé par ce funeste projet. Il hurle cependant une bonne flopée de gentillesse à l'encontre du brun alors qu'on se saisit de lui. Wallace disparaissant sans se faire prier de l'infirmerie. Laissant Weylan se débattre de toutes ses forces au contact de ses bourreaux, arrivant même à envoyer un médecin au pays des rêves alors qu'une matraque vient s'abattre de façon punitive sur le sommet de son crâne à deux ou trois reprises. Ses jambes l'abandonnant un instant sous le choc, le laissant choir au sol pour se retrouver à genoux. Le quel est vite relevé par des mains inconnues venant le saisir puis l'installer. Il est à demi conscient quand on l'attache à côté de Nyssa, les sangles venant une nouvelle fois mordre sa chair pour l'empêcher de bouger. Sa tête ou plutôt sa vision tournant de façon déplaisante, alors qu'un bruit qu'il connaît déjà bien maintenant, vient siffler à ses oreilles. Il est pourtant de courte durée, car il est tout aussi vite étouffé au moment où la mèche entre en contact avec son genou, perçant son os afin de lui retirer la moelle tant désirée. Il ne peut retenir bien longtemps le râle de douleur voulant s'échapper de sa bouche, le moindre de ses muscles tremblant alors que la tige s'enfonce plus profondément encore.
« Tu ne passeras même pas la porte espèce de sale con. » Lui lance-t-il, conscient que quoi qu'il dise cela n'avait plus la moindre importance. « Et quoi ? Tu vas buter tout le monde ? » Il voudrait comprendre, mais surtout lui tenir tête afin de le confronter, mais son interlocuteur est bien trop aveuglé par sa propre convoitise pour se soucier de lui. C'est pourtant après quelques longues secondes qu'il lui accorde enfin un regard, le fixant tout en portant la radio à ses lèvres afin de s'adresser une nouvelle fois à Clarke. Le message qu'il lui délivre n'est absolument pas plus plaisant lui non plus, même s'il accorde un délai supplémentaire à la Chancelière dont il est censé prendre la place sur le siège de torture. À moins bien entendu, que ce ne soit un destin plus sinistre encore qui l'attende. La mâchoire de Weylan se contracte devant cette constatation, mais au moins ce n'est pas un autre que lui qui est visé par ce funeste projet. Il hurle cependant une bonne flopée de gentillesse à l'encontre du brun alors qu'on se saisit de lui. Wallace disparaissant sans se faire prier de l'infirmerie. Laissant Weylan se débattre de toutes ses forces au contact de ses bourreaux, arrivant même à envoyer un médecin au pays des rêves alors qu'une matraque vient s'abattre de façon punitive sur le sommet de son crâne à deux ou trois reprises. Ses jambes l'abandonnant un instant sous le choc, le laissant choir au sol pour se retrouver à genoux. Le quel est vite relevé par des mains inconnues venant le saisir puis l'installer. Il est à demi conscient quand on l'attache à côté de Nyssa, les sangles venant une nouvelle fois mordre sa chair pour l'empêcher de bouger. Sa tête ou plutôt sa vision tournant de façon déplaisante, alors qu'un bruit qu'il connaît déjà bien maintenant, vient siffler à ses oreilles. Il est pourtant de courte durée, car il est tout aussi vite étouffé au moment où la mèche entre en contact avec son genou, perçant son os afin de lui retirer la moelle tant désirée. Il ne peut retenir bien longtemps le râle de douleur voulant s'échapper de sa bouche, le moindre de ses muscles tremblant alors que la tige s'enfonce plus profondément encore.
La tentative de faire changer d’avis Cage échoue lamentablement. Pire encore Weylan est maintenant désigné pour prendre la place d’Abby dont le sort s’annonce plus funeste encore. Barton tente de se soustraire à ses bourreaux ou moment où ils se saisissent de lui pour l’installer, mais il échoue une nouvelle fois et reçoit plusieurs coups au niveau de la tête. Installé sur le siège de torture, il subit le même sort que Nyssa.
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# Mar 26 Mai - 20:07
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Son regard planté dans celui de Weylan était neutre. Elle donnait l’impression d’être ailleurs, mais elle n’avait pas perdu le nord. La douleur était bien présente dans son corps pour lui rappeler ce qui se passait ici. L’impuissance présente sur le visage du garde était là pour garder les idées en place de la Chancelière. N’ayant aucune solution, Abby avait supplié Wey’ d’aider sa fille. Il ne devait plus porter son attention sur Abigail ou sur Nyssa. C’était terminé. Il devait trouver une manière d’aider tous les autres et surtout l’extérieur. Ce que l’homme ne tarda pas à faire en essayant de trouver un arrachement avec celui qui semblait être le patron de la place. Pendant ce temps, le médecin continuait de laisser aller ses poignets contre les bandes de cuir qui la retenait. Elle avait serré les dents ensemble pour s’empêcher de gémir sous la douleur qu’elle se provoquait. Heureusement, toute l’attention était sur Nyssa. On s’était éloigné de la Chancelière après avoir bandé sommairement sa cuisse pour qu’elle ne se vide pas de son sang dans les prochaines minutes.
Abigail sentait la fatigue l’envahir. Ses yeux se fermaient d’eux-mêmes et elle remarqua à peine lorsqu’on s’approcha à nouveau d’elle pour lui retirer ses attaches. Elle revint à elle lorsqu’on la souleva de son lit médical pour la poser sur une civière non loin. Qu’est-ce qu’ils faisaient ?
Et maintenant ? La tension montait chez la Chancelière qui avait de la difficulté à coordonner ses pensées. Les râlements de douleur de Weylan s’étaient mêlés à tous les bruits présents dans la pièce et ne l’aidaient pas à se concentrer. Sa main tremblait légèrement sur l’arme qu’elle possédait. Dans ses mains, un scalpel devenait dangereux. Abigail avait conscience qu’elle ne pourrait pas se lever. Sa jambe blessée ne pourrait pas supporter son poids. Elle devait agir d’ici, elle devait attendre qu’une occasion se présente à elle. La patience serait de mise. Abigail avait fermé les yeux et elle avait arrêté de respirer. L’effet fut presque instantané. « Docteur Tsing. » La Chancelière put entendre des pas s’approcher d’elle et des doigts se poser dans son cou. « Toujours vivante. » cracha le médecin en tournant les talons dans l’optique de retourner auprès de Weylan. Sauf qu’Abby ne lui laissa pas cette chance. La Chancelière se mit en position assise et se saisit de la chevelure brune de la femme afin de l’attirer vers elle, la lame du scalpel trouva le chemin de son cou.
# Ven 5 Juin - 18:10
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EVENT 2 : #5: Infirmerie
Je faisais tout pour ne pas leur donner la satisfaction de m'entendre hurler de douleur, j'essayais de tout mon être mais lorsqu'on perça ma peau, ma chaire et mes os pour le seconde fois, ce fut trop. Mes cris rejoignirent ceux d'Abby pour le plus grand bonheur de ces sadiques de montagnards. Bien que leurs ambitions étaient légitimes; sortir enfin de cette montagne dans laquelle ils étaient enfermés depuis des générations, avec l'extérieur tout proche. Si vivre sur l'Arche avait été une sorte de torture pour nous, je pouvais éventuellement comprendre que cela en soit une aussi pour eux. Mais pas de là à cautionner leur pratiques barbares. D'abord ils avaient enlevé des natifs pour les vider de leur sang pour renouveler le leur, en avaient transformer certains en monstres, avaient recueillit nos enfants dans le seul but d'utiliser aussi leur sang plus puissant, avant de nous kidnapper pour nous éradiquer. Dans le seul but de pouvoir respirer l'air frais et vivre à l'extérieur. Difficile de trouver la cause noble. Les pratiques semblaient sortir d'un autre temps. Même sur l'Arche personne n'avait fait subir pareil sort à autrui. Nous n'avions pas de voisins, alors cela aidait. Et à ce moment précis, allongée sur cette table de torture, hurlant de douleur, les larmes coulant sans mon autorisation le long de mes joues, je tournais la tête pour regarder Abby. La décision du conseil d'envoyer les enfants prisonniers sur Terre n'était rien comparer à ce que faisait subir la Montagne aux natifs. Si nous venions à sortir en vie de cette endroit, sans doute que je discuterais longuement avec la chancelière pour mieux comprendre le choix qui avait été voté. Cette Montagne me changerai peut-être, remettrai mes causes, mes idées et mes pensées en question. Peut-être que je pourrai comprendre les décisions du conseil. Celles que j'avais trouvé horrible. Celle d'envoyer des enfants à une mort presque certaine. Et au final, des morts il y en avait de nombreuses, parmi les jeunes mais parmi ceux étant sur l'Arche durant la descente et l’atterrissage.
Me perdre dans mes pensées me permettais de ne pas perdre totalement pied, de rester éveiller. Je fixais le plafond, laissant mes cris résonner dans la pièce à mesure que l'on perçait mon corps. La douleur dans mon pied n'existait plus à présent, tout mon être souffrait. Mon âme aussi. J'étais devenue faible au moment même où je m'étais réveillée dans cette maudite cage. Je tournai la tête pour regarder Abby, voir si elle étais encore en vie et fus surprise de voir Weylan allongé à sa place. Je cherchais Abby du regard sans la voir, alors je me mis à offrir un sourire à mon collègue, sans doute pour la première et dernière fois avant de m'adresser faiblement à lui. "Tiens le coup Barton. Ils ont besoin de toi." Il ne m'entendais sans doute pas, mais au moins j'aurai dis quelque chose de gentil pour la dernière fois avant de mourir. Car oui, persuadée de rendre mon dernier souffle sur cette table ensanglantée jusqu'à ce que j'aperçoive Abby, derrière Wey, assise et menaçant une femme brune. Mon âme toute entière voulait lui crier d'égorger cette garce une bonne fois pour toute mais une nouvelle douleur vint et me fit me perdre dans les abîmes. Le noir total, tout en entendant le bruit autour. Etais-je morte ou seulement inconsciente? Mon corps venait-il juste de me lâcher, si vite? En tout cas la douleur était toujours présente.
Me perdre dans mes pensées me permettais de ne pas perdre totalement pied, de rester éveiller. Je fixais le plafond, laissant mes cris résonner dans la pièce à mesure que l'on perçait mon corps. La douleur dans mon pied n'existait plus à présent, tout mon être souffrait. Mon âme aussi. J'étais devenue faible au moment même où je m'étais réveillée dans cette maudite cage. Je tournai la tête pour regarder Abby, voir si elle étais encore en vie et fus surprise de voir Weylan allongé à sa place. Je cherchais Abby du regard sans la voir, alors je me mis à offrir un sourire à mon collègue, sans doute pour la première et dernière fois avant de m'adresser faiblement à lui. "Tiens le coup Barton. Ils ont besoin de toi." Il ne m'entendais sans doute pas, mais au moins j'aurai dis quelque chose de gentil pour la dernière fois avant de mourir. Car oui, persuadée de rendre mon dernier souffle sur cette table ensanglantée jusqu'à ce que j'aperçoive Abby, derrière Wey, assise et menaçant une femme brune. Mon âme toute entière voulait lui crier d'égorger cette garce une bonne fois pour toute mais une nouvelle douleur vint et me fit me perdre dans les abîmes. Le noir total, tout en entendant le bruit autour. Etais-je morte ou seulement inconsciente? Mon corps venait-il juste de me lâcher, si vite? En tout cas la douleur était toujours présente.
(c) DΛNDELION
Nyssa qui avait tout fait pour ne pas hurler finit par craquer. Elle souffle de dernière paroles à son collègue et sombre après avoir vu Abby menacer le Docteur Tsing.
# Lun 8 Juin - 16:31
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EVENT N°2 - WEYLAN BARTON
En règle, générale, le garde Barton n'est pas de ceux qui se retrouvent impressionnés devant la moindre forme de douleur. En tant que formateur sur l'Arche, il était habitué et préparé à ce genre de désagrément. Quand une blessure survenait, à la suite d'une bagarre et que l'un de ses membres craque d'encaisser sans broncher et sans montrer la moindre faiblesse à la vue des siens. Mais pas cette fois, car la tige métallique s'insinuant et creusant sa chair puis son os était une douleur au combien inconnu de l'Archéen. L'une de celles qu'on ne peut pas outrepasser tant elle se trouve constante et proche de la torture. Le bruit strident de l'appareil n'ayant plus aucune importance pour lui, la douleur surpassant le reste de ses sens pour faire trembler de spasmes incontrôlés la moindre partie de son être. Son coup à la tête n'est pas pour l'aider non plus, l'empêchant grandement de pouvoir observer ce qu'il se passe autour de lui. Le laissant dans un état semi-inconscient en passe de lui faire perdre le fil de la raison. Il entend à peine la voix faiblarde de Nyssa sur le siège voisin. Vient-elle de lui dire quelque chose de gentil ? Lui demandant de tenir le coup parce qu’on avait encore besoin de lui ? Une telle gentillesse serait suspecte en d’autres circonstances, mais cela n’avait plus la moindre importance désormais. La montagne les avait certes divisés pendant cette captivité, mais ils étaient unis dans ce même enfer. Il se concentre pour ne pas montrer sa faiblesse face à la douleur, sans y parvenir. Les quelques minutes qui défilent semblant devenir des heures, mais étrangement un certain répit semblé lui être accordé. Vont-ils s’attaquer à l’autre jambe ? Bordel, non pas l’autre genou ! Il secoue la tête inutilement pour retrouver une vision claire. Constatant que le médecin creusant sa rotule vient de cesser subitement son entreprise morbide. Son attention étant captée par ce qu’il se passe dans un coin de la pièce. Cela laisse le temps à Weylan de pouvoir souffler, la douleur irradiant toujours son genou ensanglanté. Sa vue revenant enfin à la normale, il ne perd pas un instant avant de poser ses prunelles sur ce qui perturbe le médecin à ses côtés pour comprendre ce qu’il se passe vraiment.
Les perceuses ne sifflent plus leur macabre symphonie et les cris se sont maintenant tus. Laissant place aux paroles des Skaikru les entourant, mais surtout de la voix faiblarde de la chancelière dans le coin de la pièce. Elle est toujours de la partie, elle qu'il croyait quelques minutes plus tôt avoir passé l'arme à gauche. La créature insignifiante n'était finalement pas un être faible, il ne pouvait le nier sur ce coup-là. Et devant les silhouettes s'affairant autour de lui et détachant les liens des siens, il comprend qu'Abigail Griffin possède un moyen de pression efficace. Il lui faut quelques secondes avant de réaliser que ses liens sont défaits, lui permettant de se mouvoir à loisir bien que sa jambe soit dans un sale état. Il se retourne ainsi plus efficacement en direction d'Abby, celle-ci tenant en joue le "docteur horreur" à l'aide d'un scalpel. Un retournement des plus inespérés, le poussant à vouloir lui aussi bouger, trop désireux de quitter ce siège de malheur. Il se hisse hors du fauteuil, mettant tout son poids sur sa jambe valide, agrippant le médecin à sa hauteur par le col avant de le rapprocher de sa collègue sans ménagement. « Soigne ses blessures, où je te jure que je t'éclate la gueule espèce de connard ! » ça le démange d'ailleurs, mais il ne doit pas perdre son sang-froid. Il se munit lui-même d’un scalpel qu’il loge de la même manière sur la gorge du doc s'affairant à panser les plaies de Nyssa. Tournant ses prunelles en direction du premier garde croisant son regard. Il a la main sur son arme, mais ne bronche pas, semblant attendre l’ordre du médecin en chef présentement menacé (et entaillé par Abigail). « Les armes au sol, TOUTES les armes, et vous les faites glisser vers moi ! » dit-il avant de s’adresser à Abby sans la regarder. « Si un seul d’entre eux joue au plus malin… Tu butes le médecin Abby. » Il doute que la chancelière soit en mesure de s’acquitter d’une telle tâche, mais il espère que la situation est assez dramatique pour elle, pour supprimer une vie si d’aventure l’un d’eux bougeait une oreille dans le mauvais sens. Tsing était importante pour la montagne et ils ne devaient pas hésiter à se servir d’elle pour sortir de cet enfer ou simplement la supprimer s'ils étaient grillés.
Les perceuses ne sifflent plus leur macabre symphonie et les cris se sont maintenant tus. Laissant place aux paroles des Skaikru les entourant, mais surtout de la voix faiblarde de la chancelière dans le coin de la pièce. Elle est toujours de la partie, elle qu'il croyait quelques minutes plus tôt avoir passé l'arme à gauche. La créature insignifiante n'était finalement pas un être faible, il ne pouvait le nier sur ce coup-là. Et devant les silhouettes s'affairant autour de lui et détachant les liens des siens, il comprend qu'Abigail Griffin possède un moyen de pression efficace. Il lui faut quelques secondes avant de réaliser que ses liens sont défaits, lui permettant de se mouvoir à loisir bien que sa jambe soit dans un sale état. Il se retourne ainsi plus efficacement en direction d'Abby, celle-ci tenant en joue le "docteur horreur" à l'aide d'un scalpel. Un retournement des plus inespérés, le poussant à vouloir lui aussi bouger, trop désireux de quitter ce siège de malheur. Il se hisse hors du fauteuil, mettant tout son poids sur sa jambe valide, agrippant le médecin à sa hauteur par le col avant de le rapprocher de sa collègue sans ménagement. « Soigne ses blessures, où je te jure que je t'éclate la gueule espèce de connard ! » ça le démange d'ailleurs, mais il ne doit pas perdre son sang-froid. Il se munit lui-même d’un scalpel qu’il loge de la même manière sur la gorge du doc s'affairant à panser les plaies de Nyssa. Tournant ses prunelles en direction du premier garde croisant son regard. Il a la main sur son arme, mais ne bronche pas, semblant attendre l’ordre du médecin en chef présentement menacé (et entaillé par Abigail). « Les armes au sol, TOUTES les armes, et vous les faites glisser vers moi ! » dit-il avant de s’adresser à Abby sans la regarder. « Si un seul d’entre eux joue au plus malin… Tu butes le médecin Abby. » Il doute que la chancelière soit en mesure de s’acquitter d’une telle tâche, mais il espère que la situation est assez dramatique pour elle, pour supprimer une vie si d’aventure l’un d’eux bougeait une oreille dans le mauvais sens. Tsing était importante pour la montagne et ils ne devaient pas hésiter à se servir d’elle pour sortir de cet enfer ou simplement la supprimer s'ils étaient grillés.
Grâce à l’intervention d’Abby, Weylan est maintenant détaché. Il se hisse donc hors de son siège afin de menacer le médecin qui précédemment le torturait. L’obligeant à soigner Nyssa tout en se servant de lui pour menacer les gardes présents dans la pièce. Il leur demande de remettre les armes en leur possession, invitant Abby à tuer Tsing si jamais l’un d’entre eux tente quoi que ce soit.
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# Dim 14 Juin - 4:15
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Le sang du Docteur Tsing coulait régulièrement au sol tandis que la Chancelière observait les soldats de la Montagne retirer les liens de Weylan et de Nyssa. « S’il te plait » souffla le médecin qui devait se sentir faible à présent. Abigail conserva sa main avec le scalpel sous la gorge de la brune tandis que son autre main rejoint le poignet blessé du Docteur. La Griffin commença à faire pression pour ralentir l’hémorragie. Son regard ne se détachait pas de la scène devant elle. Elle avait beaucoup de mal à réaliser que ça avait fonctionné et que les siens étaient en train d’être libérés. Heureusement pour la Chancelière, Weylan réussit à prendre la situation en main et à diriger les choses. Elle se sentait de plus en plus faible. Elle avait du mal à tenir la pression sur la blessure de la brune. « Tu butes le médecin Abby… » Les mots de Weylan tournaient en boucle dans sa tête. Est-ce qu’elle serait en mesure de faire ça ? Tuer quelqu’un de sang froid ? Elle était médecin. Sa formation lui enseignait complètement le contraire. Elle devait sauver à tout prix. Tuer ? Assassiner ? Et pourtant, elle n’avait pas hésité à entailler le poignet de cette femme sans remord.
La Chancelière observa les soldats déposer lentement les armes. Certains hésitaient, mais ils finissaient par suivre le mouvement. Weylan n’était pas le genre de type avec qui on rigolait et ils l’avaient bien compris. Plus personne ne tenait Abigail en joue, elle se déplaça pour attraper un bandage sur la table. Rapidement, mais avec précision, elle s’occupa de la blessure de la brune. Certes, ce n’était que temporaire. Elle était encore en danger et elle le savait.
# Jeu 18 Juin - 16:12
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EVENT N°2 - WEYLAN BARTON
C'est avec un certain plaisir que le garde Barton constate la situation s'inverser. Le vent décidant subrepticement de changer de cap et de souffler dans la bonne direction afin de leur être favorable. Il lui faut un court instant avant de le réaliser, mais ne plus entendre le bruit strident des perceuses est un véritable soulagement, de même que voir les siens être débarrassé tour à tour des liens les retenant captif. Son regard se reporte machinalement sur la chancelière, qui par son coup de génie, venait sans nul doute de lui sauver la vie. En plus de posséder le seul moyen de pression leur ouvrant sans nul doute les portes en direction de la sortie. Il fallait pourtant se montrer d'une extrême prudence et c'est dans cet unique but que le garde maintenant hissé sur ses jambes, décide de procéder par étapes. Il ne perd pas de temps à attraper le premier outil tranchant afin de menacer le médecin présent à ses côtés. Intimant a ce dernier de soigner sa collègue en même temps que de promettre sa mort si les gardes présents dans la salle ne se débarrassaient pas rapidement de leurs armes pour les faire glisser jusqu'à lui. Si un seul d'entre eux hésite, le docteur malheur y passera, même si intérieurement Weylan doute de voir Abigail s'acquitter aussi facilement d'une tâche aussi horrible. Elle ne se montre pourtant pas réfractaire à l'idée, même si Barton sait pertinemment qu'elle n'a pas d'autre choix pour affirmer sa détermination. Très bien, il n'était pas temps de faire preuve de doute ou même de faiblesse. Devant cet aplomb, les hommes s'exécutent aussi rapidement que possible, les doutes poussant certains d'entre eux à prendre plus de temps pour obéir que d'autres. Les armes glissent en sa direction, tandis que les Skaikru maintenant libres s'appliquent à menotter les Montagnards de la même façon qu'ils l'étaient précédemment. Laissant Weylan se saisir d'un des flingues courant encore sur le sol et d'attribuer le reste aux autres Skaikru, les attribuant aux meilleurs tireurs afin qu'aucune balle ne soit perdue si d'aventure, ils devaient être utilisés. Ce n'était pas terminé, Abigail avait raison, il fallait encore pouvoir sortir de la montagne. « Non, il faut encore sortir d’ici sans se faire buter… » Souffle-t-il non sans attraper des bandages qu'il vient nouer énergiquement autour de la plaie béante sur son genou. Ce dernier pissé le sang, mais fort heureusement pour lui, les médecins n'avaient pas eu le temps de creuser trop en profondeur dans sa rotule. Initiant chez lui un léger boitement qui même s'il l'incapacité ne l'empêchait pas de pouvoir se déplacer. Il reporte finalement ses prunelles sur Abby, chancelante et faible, mais toujours de la partie. Il l'aide à se maintenir debout un instant, son regard ne trahissant pas l'inquiétude qu'il ressent pour elle. Certes, ils ne sont pas les meilleurs amis au monde et ne le seraient sans doute jamais, mais faisant partie du même peuple, ils étaient de leur devoir de survivre ensemble Aujourd'hui. Il l'écoute donc attentivement quand elle s'adresse à lui sur un ton moins audible aux oreilles extérieures. Lui livrant des informations importantes sur la conduite à tenir dans les minutes à venir. L'alliance était bel et bien aux portes de la montagne, menaçant ses résidents afin qu'ils libèrent ceux, y étant retenu contre leur volonté. Il fallait donc rejoindre le niveau trois afin de rejoindre Bellamy et les natifs s'acheminant en direction des tunnels. « Okay, ne perdons pas de temps alors ! » Dit-il simplement en armant son fusil. « Ça va, j'en ai vu d'autres... » Répond-il avant de désigner les Skaikru qui lui emboîteraient le pas afin d'ouvrir un chemin suffisamment sécurisé permettant aux plus jeunes et mal en point de pouvoir les suivre. Il jette un regard à la blonde, toujours entre les mains du médecin Maunon. Weylan agrippant l'homme sans la moindre forme de ménagement afin de l'envoyer en direction de ses semblables. « Décrochez la grognasse en chef et attachez celui-ci à la place. » On lui tend une nouvelle arme, un revolver de plus faible calibre dont il vérifie la qualité. Attrapant la main de la chancelière pour l'y glisser, ses prunelles s'ancrant dans celles de la châtaine sans taire le feu vengeur émanant des siennes. « Prends ça par simple mesure de précaution ! » Souffle-t-il avant de se hisser avec plus de consistances sur ses deux jambes. Prenant la tête du petit groupe formé en maintenant Tsing en joue. Il ouvre la porte afin de sortir en direction du couloir.
Sur les ordres de la chancelière, Weylan prend la tête d’un petit groupe ouvrant la marche dans les couloirs. Mais avant cela, il s’assure que tous les maunons soient menottés dans l’infirmerie, donnant également une arme entre les mains d’Abigail.
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# Mar 23 Juin - 1:28
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Toutes ses pensées se bousculaient dans la tête d’Abigail qui réalisa trop tard qu’elle avait enchaîné les questions pour Weylan. Chaque seconde comptait et ça la rendait particulièrement nerveuse. S’ils échouaient maintenant, ils allaient tous mourir. C’était leur dernière chance, la Chancelière le savait. Et pour l’instant, elle transposa cette pression que les épaules de Weylan. Malgré leurs nombreux différends et conflits, il restait celui dans cette pièce à qui elle faisait le plus confiance pour cette mission. À aucun moment Weylan n’abandonnerait les siens, elle en était persuadée. En espérant qu’il n’allait pas craquer une fois dehors contre les natifs, ça ne serait pas le moment. Sauf qu’il ne fallait pas s’attarder là-dessus pour l’instant, il fallait penser à sortir. Ce qui poussa la Chancelière à parler du plan à Weylan. Si l’armée était réellement devant la porte, les chances étaient élevées que Bellamy soit en train de mener à bien la deuxième portion du plan. Il fallait croiser les doigts. L’homme n’hésita pas et il ne posa aucune question. Ce n’était pas le temps de discuter ou de se prendre la tête sur les détails. Weylan prit les choses en main et il suivit les ordres de la châtaine.
Lorsque Wey s’éloigna d’elle et qu’elle perdit son appui, elle réalisa à quel point elle était chancelante et tremblante. Elle avait mis le peu d’énergie qu’elle avait pour menacer le Docteur Tsing et pourtant, elle n’était pas encore prête à s’effondrer. Elle n’avait pas fini. Son peuple n’était pas libre. Non sans peine, Abby se dirigea vers le lit médical où se trouvait Nyssa tout en s’assurant de ne pas poser sa jambe endolorie par terre. Intérieurement, elle pesta contre les médecins qui n’étaient pas allés de main de morte dans sa cuisse. Mais ça aussi ce n’était pas le moment. Elle devait mettre sa douleur de côté et elle devait arrêter de trembler. Brusquement, la Chancelière se retourna lorsqu’on attrapa sa main et elle soupira de soulagement à la vue de Weylan. Son regard dévia vers l’arme qu’il lui avait donnée. Elle déglutit avant d’hocher la tête.
Maintenant son attention se posa totalement sur Nyssa qui était toujours inconsciente. Abigail prit ses constantes et elle pinça les lèvres pour retirer un juron. Elle n’était pas en forme. C’était une question de minutes. Attrapant les instruments de la Montagne, le médecin commença à panser les blessures ouvertes de Nyssa. Habituellement, elle n’avait pas le cœur sensible, mais voir ces blessures lui tortura le cœur. C’était de sa faute. Tout ceci était de sa faute. Elle aurait beaucoup de mal à s’en remettre.
# Ven 26 Juin - 17:21
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EVENT 2 : #5: Infirmerie
La douleur restait présente. Je pouvais entendre tout ce qui se passait autour, le bordel qu'avait engendré le geste d'Abby; la voix horrible de Barton ainsi que le soulagement de ceux que l'on semble détacher. Le bruit d'armes que l'on pose sur le sol bétonné, les ordres que Barton lance aux autres, à ces ordures. J'essaie de bouger mais je n'y arrive pas, rien ne semble se passer et mes yeux refusent de s'ouvrir. Je rois que je rate des passages, je ne comprends plus rien à ce qui se passe. J'ignore pourquoi mon corps ne répond plus, est-il a ce point meurtri? Les Montagnards ont-ils réussit à le détruire, à le rendre inutile? Il n'y a plus que bourdonnement dans ma tête. Un silence étrange, effrayant. Pas de sensation de chaleur, qu'une légère brise fraiche près de mon visage. Cela ne peut être qu'un rêve. Puis des mots. « Reste avec moi, s’il te plait… Ça va aller maintenant. On va te sortir de là. » La chancelière. Non, elle ne doit pas s'occuper de moi. Elle peut s'en sortir avec les autres, elle doit fuir. J'ai la sensation de hurler intérieurement. "Partez. Allez-vous-en! Laissez-moi ici. Sauvez votre peau et celle de votre peuple." Je ne pense qu'à cela, ces phrases se répètent dans ma tête mais aucun son ne semble sortir de ma bouche. Mon corps est engourdis, je crois. Je ne le sens pas. Plus. Même la douleur commence à s'effacer à mesure que le temps semble passer. Il n'y a que mes oreilles qui semblent fonctionner encore puisque j'entends la voix de la chancelière encore et encore mais de plus en plus faiblement. Pourquoi elle s'éloigne de moi alors qu'elle me dis de rester avec elle? Ce n'est pas logique. Mes forces finissent par m'abandonner entièrement et je sombre dans les abysses sombres. Pas de lumière, de lévitation au dessus de mon propre corps. Juste le néant. Suis-je morte? Je sens une piqûre dans mon bras. Etrange. Une hallucination? Un espoir de survie?
(c) DΛNDELION
Aucun changement chez Nyssa. Elle est incapable d'ouvrir les yeux, la bouche ou de bouger. Cependant elle entends la moitié de ce qui se passe autour et qu'Abby essaie de la sauver. Elle crois être morte jusqu'à ce qu'elle sente qu'on lui pique le bras.
# Mer 1 Juil - 2:06
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Abby s’éloigna légèrement de sa patiente pour laisser le champ libre à la jeune Skaikru qui lui avait proposé son aide. Elle n’avait pas le choix. Plus les secondes avançaient et plus la Chancelière se sentait faible. Encore une fois, elle s’était crue plus forte de ce qu’elle était vraiment. Abigail avait cru pouvoir tout gérer, mais les montagnards l’avaient vidé de toutes ses forces. L’adrénaline était bien présente, mais l’épuisement commençait à être plus fort. Continuant de donner ses explications, la Griffin observa la femme s’exécuter. Elle se retint de la reprendre sur sa technique, ce n’était pas le moment. Cette Skaikru n’était pas son assistante. « Et maintenant ? » La question eut beaucoup de mal à atteindre la cerveau de la Chancelière qui fixait Nyssa d’un regard vitreux. « Chancelière Griffin ? » Une main se posa sur son épaule ce qui la fit sursauter. Elle tourna la tête vers la Skaikru et lui souffla péniblement les instructions suivantes. La jeune femme secoua la tête et pointa la cuisse de la Chancelière : « Vous saignez madame. » La châtaine pencha la tête pour observer le passement qui avait perdu sa couleur blanche. Sa blessure avait été soignée sommairement et les nombreux pas qu’elle avait fait avaient suffi à rouvrir la plaie. Ce qui expliquait pourquoi elle se sentait aussi mal soudainement. Son sang s’accumulait lentement au sol la faisant trembler de plus en plus.
Abigail se sentit agrippée par les siens alors qu’elle était en train de tomber. Sa chute lui parut douce et elle se retrouva allongée au sol où elle refusa de rester. La femme tenta de se redresser, mais en vain. Elle réussit seulement à se remettre en position assise, adossée contre le lit médical en face de celui de Nyssa. Elle ne pouvait pas l’abandonner.
# Lun 13 Juil - 2:03
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Elle pouvait bien se permettre quelques minutes de repos, non ? Elle avait tellement donné dans les derniers mois, mais surtout dans les dernières heures. Son corps entier réclamait du repos. De toute façon, même si elle avait voulu lutter davantage, elle n’aurait pas pu. Abby put sentir qu’on la secouait légèrement, mais elle ne réagit pas. Tout lui semblait si lointain et pour une fois depuis des semaines, elle se sentait bien. Elle avait commencé à ressentir ce calme après s’être évanouie une heure plus tôt, mais cet instant avait été trop court. Elle espérait, que cette fois, elle pourrait en profiter davantage. Abigail sombra au plus profond d’elle-même au point de ne plus avoir conscience de ce qui se passait dans la pièce. Abigail n’entendit pas la native pénétrer dans la salle afin de les aider. Elle ne l’entendit pas non plus lui parler, ni ne sentit sa main sur son épaule. « Vous allez pouvoir l’aider ? » demanda la jeune Skaikru qui avait pris en charge Nyssa, mais qui ne savait pas quoi faire de plus. Elle avait besoin d’être guidée, ce n’était pas son boulot. « Nous avons besoin d’elle. C’est notre Chancelière et notre médecin. » précisa la jeune femme à la native qui s’était déjà activée sur la blessure du médecin.
Abigail avait perdu la notion du temps, même si elle avait l’impression d’avoir dormi des heures, c’est uniquement quelques minutes plus tard qu’elle poussa un faible gémissement. Elle bougea légèrement la tête avant d’ouvrir les yeux. Elle papillonna à plusieurs reprises de manière à stabiliser sa vue qui était floue. Son regard se posa dans les yeux clairs et si rassurant d’une inconnue. La Chancelière leva une main tremblante qu’elle posa délicatement sur la joue de la jeune femme et souffla :
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#5 : InfirmerieAscende Superius :: Who are you ? :: Missions & Intrigues :: Intrigues :: Événements :: Event n°2
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