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Josephine Morningstar — Kripakru — Si coelum attingere nequeo, infernum inferam.Ascende Superius :: Who are you ? :: Fiches :: fiches Terminées
# Dim 2 Jan - 23:54
Josephine MorningstarKripa
PersonnageRécompenses
Messages : 66
Date d'inscription : 02/01/2022
Date d'inscription : 02/01/2022
Premiers pas !
Félicitations ! Tu as passé l’étape cruciale de la validation. Bon jeu parmi nous !
Petit écrivain
Félicitations, tu as posté 10 rps ! Continue de vivre de belles aventures avec nous !
Joueur ancien
Bon anniversaire ! Tu es sur le forum depuis 2 ans !
Josephine Morningstar
Feat. Sara Thompson.
Feat. Sara Thompson.
Josephine Morningstar a 22 ans. C'est une extraordinaire biologiste au sein du peuple de la Montagne que les autres appellent Kripakru par manque de culture. Ses armes de prédilection sont les couteaux et autres courtes armes blanches.
Son but est de pacifier les menaces, contrôler son environnement.
On la reconnait facilement grâce à son visage d'ange et sa verbe de démon.
Son but est de pacifier les menaces, contrôler son environnement.
On la reconnait facilement grâce à son visage d'ange et sa verbe de démon.
À quoi tu penses ?
— Sociopathe — Impulsive — Manipulatrice — Froide — Sarcastique — Intelligente —
Joséphine présente les symptôme principaux de la sociopathie. Elle surévalue son importance dans l'ordre des choses ainsi que l'étendu de ses droits et de ce qui doit lui revenir. Son empathie fonctionne sous un filtre différent de celui de la plupart des gens et elle ne s'attache que rarement et superficiellement à de nouvelles personnes, elle est cependant très manipulatrice et n'a aucun mal a feinter ces attachements pour arriver à ses fins.
Elle a la mauvaise habitude de tortiller ses cheveux avec son index quand elle recherche le calme et la solitude. Être en position de faiblesse ou de dépendance l'horripile et elle fera tout ce qu'elle peut pour briser cet équilibre ou le renverser. Elle est assez froide envers ceux qu'elle ne veut pas manipuler et sait faire preuve d'un humour sarcastique dont l'objet est davantage a la moquerie qu'à la communication d'une bonne humeur. La jeune femme a aussi eu la chance de suivre une éducation complète et variée, elle a des connaissances transversales en biologie, histoire et linguistique. Sa langue est bien pendue mais elle sait aussi user d'une prose étoffée et brosser ses cibles dans le sens du poil au besoin.
Il lui faudrait peu pour être une calculatrice froide et redoutable mais le destin et son passé lui ont malheureusement doté d'un sang chaud qu'elle camoufle comme elle peut mais parfois la peur ou la rage font ressurgir cette impulsivité profonde qui pourrait causer sa perte.
Mais quelque chose se cache-t-il donc sous cette prison de givre, tel un animal acculé au cul-de-sac d'une caverne, ou est-ce que le gout de la manipulation a-t-il totalement consumer cet âme ?
Joséphine présente les symptôme principaux de la sociopathie. Elle surévalue son importance dans l'ordre des choses ainsi que l'étendu de ses droits et de ce qui doit lui revenir. Son empathie fonctionne sous un filtre différent de celui de la plupart des gens et elle ne s'attache que rarement et superficiellement à de nouvelles personnes, elle est cependant très manipulatrice et n'a aucun mal a feinter ces attachements pour arriver à ses fins.
Elle a la mauvaise habitude de tortiller ses cheveux avec son index quand elle recherche le calme et la solitude. Être en position de faiblesse ou de dépendance l'horripile et elle fera tout ce qu'elle peut pour briser cet équilibre ou le renverser. Elle est assez froide envers ceux qu'elle ne veut pas manipuler et sait faire preuve d'un humour sarcastique dont l'objet est davantage a la moquerie qu'à la communication d'une bonne humeur. La jeune femme a aussi eu la chance de suivre une éducation complète et variée, elle a des connaissances transversales en biologie, histoire et linguistique. Sa langue est bien pendue mais elle sait aussi user d'une prose étoffée et brosser ses cibles dans le sens du poil au besoin.
Il lui faudrait peu pour être une calculatrice froide et redoutable mais le destin et son passé lui ont malheureusement doté d'un sang chaud qu'elle camoufle comme elle peut mais parfois la peur ou la rage font ressurgir cette impulsivité profonde qui pourrait causer sa perte.
Mais quelque chose se cache-t-il donc sous cette prison de givre, tel un animal acculé au cul-de-sac d'une caverne, ou est-ce que le gout de la manipulation a-t-il totalement consumer cet âme ?
Retour dans le passé...
"Arrête avec tes cheveux!"
Sa respiration se stoppa un instant. La gamine rachitique retira son index de cette mèche rebelle et reprit une droite posture.
"Oui, papa."
Aussi loin que Josephine puisse s'en rappeler, son enfance ne lui avait jamais été agréable. Sa mère est morte en couche quelques minutes après l'arrivée au monde de la fille qu'elle eut a peine le temps de tenir. Héritière de la famille Morningstar du côté paternel, les jeux et la sociabilisation ont très vite laissé place à l'étiquette et l'éducation stricte de son père. Ce dernier étant petit-fils du dernier Président élu, Gerald Morningstar, avant que la famille Wallace ne décrète l’État d'urgence et la mort de la Démocratie avec l'hérédité paternelle du titre de Président, rêvait d'un jour revoir sa famille au commande du Mont Weather et de rétablir les anciennes valeurs que ce nouveau système monarchique voulait enterrer.
Le père vieillissant, Josephine était son plus grand espoir en cette optique et il l'avait ainsi élevé pour qu'il puisse un jour profiter d'une crise et renverser ce pouvoir d'usurpateurs pour y installer le produit de son travail. Toute empathie à l'égard de sa fille semblait avoir quitté son être, noyé entre la déchéance de son passé, la mort de sa femme et les ravages de l'alcool.
Sept jour sur sept, Josie était ainsi formé à la parole mais aussi les littératures et langues anciennes afin qu'elle puisse tirer du meilleurs de tout ces soit-disant philosophes, chefs de guerres et politiciens de l'ancien monde. Les sciences dures, qui étaient davantage le domaine de sa mère, lui furent inculquées par son père également et avec une rudesse et exactitude recherchant la perfection. Il ne lui était pas permit de se tromper, quand elle était encore une jeune enfant elle était simplement privée de dîner ou enfermer dans l'obscurité pendant une heure mais en grandissant son père devint de moins en moins "compatissant".
Le fruit de cette formation au fer rouge réussit cependant à laisser ses marques chez la jeune femme qui rapidement développa un sentiment de supériorité et de défiance qu'elle camouflait envers son père dans un premier temps. Cependant, les personnes la côtoyant lui semblaient de plus en plus simples, ignorantes et insignifiantes. Son âme d'enfant s'était volatilisée avec son savoir, tout autour d'elle lui semblait fade et ridiculement décevant. Son esprit était affuté aux mathématiques, à la biologie, elle était capable de parler plusieurs langue dont le latin et le mandarin et elle connaissait l'histoire de l'Occident sur le bout des doigts. Rien ne semblait en dehors de sa portée pourtant elle se savait étouffée et ces liens invisibles finirent par éliminer ses dernières traces d'innocence.
Les espaces d'évasions lui étaient rares et précieux. Un jour elle découvrit l'ancienne collection de couteau de son père, cachée dans un coffre à code dont elle n'avait eu aucun mal à résoudre : la date de naissance de sa mère. Josephine avait tout soigneusement replacé à sa place avec une exactitude surprenante et s'était mise alors a examiner et catégoriser les habitudes de son père. Une fois qu'elle connaissait cette routine par cœur et les moments de répits dont elle disposait, Josie rouvrit cette collection. La variété des styles, rustiques, modernes, baroques, tactiques ou même à gravure. La jeune femme ressentit quelque chose de viscéral à l'instant même où elle posa la main sur le pommeau de l'une de ces armes. Non seulement elle empiétait sur la propriété de son père, la faisait sienne mais elle se sentait également pour la première fois puissante, en contrôle de sa vie pendant ces courtes périodes. Un rictus apparu sur son visage avant d'éclater en un rire malsain, elle adorait cette sensation.
A chaque fois toute trace de ces exactions naissantes avaient disparu au retour du père et la jeune femme était revenu à son rôle de gentille fille obéissante. Mais cela faisait longtemps que ce petit jeu n'était plus sincère pour elle. Lors de ses rares sorties Josephine se débrouillait pour ramener de petites chutes de bois de la menuiserie dans sa chambre sans être vu. Elle passait quelque un de ses temps de répit à les graver au couteau en divers petits totems, apprenant et raffinant son geste sur le tas. Elle allait ensuite se débarrasser de presque la totalité de ses créations afin qu'elles ne soient pas découvertes, mais elle en avait gardée quelques unes en les cachant dans la doublure de son matelas, la plus frappante d'entre elle était certainement une petite fille tenant la main d'un homme décapité.
Un jour son ego et l'ennui de la routine la poussa a tester ses talents d'observation sur un échantillon plus varié que son père. Elle se mit alors à examiné d'un œil lointain les tours de gardes lors de ses sorties, cherchant à mémoriser ce qui était protégé ou non et à quel moment. Bientôt, elle se mit à sortir de ses appartements dans la nuit dans le plus grand des secrets. Suivant les chemins qu'elle s'était tracé dans son esprit pour éviter les gardes dans le seul but d'atteindre la salle d'entrainement des recrues et soldat. Cette dernière ressemblait à un stand de tir de l'ancien monde avec divers mannequins pour prendre le rôle de l'ennemi et encaisser les coups, les balles ou les poignards. Se retrouve seule ici, enfin libre pour plusieurs heures explosa le taux de dopamine montant à son cerveau pour la première fois de sa vie. Un large sourire idiot ne voulait pas s'effacer de son visage alors qu'elle se sentait invincible, si elle pouvait se rendre ici en dupant tout le monde, elle pouvait accomplir n'importe quoi.
Elle avait apporté avec elle un bon nombre de couteau de combat de son père, bien que dans son esprit ils lui appartenaient depuis bien longtemps. Sans attendre elle s'était mise à les essayer sur ces mannequins dans des mouvements assez hasardeux. Elle n'avait jamais été entrainé au combat et se laissait surtout guider par ses connaissances en biologie et sa rage intérieure. Un de ses coups, propulsé par cette dernière, enfonça entièrement la lame d'un khukuri au dessus de la clavicule d'une de ses reproduction d'humains. Surprise par sa propre action, Josephine tenta de tirer l'arme mais elle restait coincé et son énervement grandissant n'y changeait rien.
"Tu te tiens mal, tu n'arriveras à rien comme ça."
La voix, assez calme, qui s'était fait entendre depuis l'entrée derrière elle fit bondir le rythme cardiaque de la jeune femme qui se retourna pour dévisager cet inconnu qui ne pouvait exister. Comment ne l'avait-elle pas vu venir ?
"Qu-Qui est tu ?! J'ai le droit d'être là! Si, je peux tout expliquer!
— Du calme, du calme. Je ne dirais rien. Tu es la fille de Morningstar, c'est bien ça ? dit la voix avec un léger rire avant de s'approcher.
— ... Oui. Josephine.
— Enchanté Josie, moi c'est Gabriel. Tu devrais te tenir mieux sur tes appuis et tirer sur le côté, ton arme partira d'un coup sûr comme ça.
— Oui... Bien sûr, je le savais." s'indigna Josephine en levant les yeux au ciel rapidement, se sentant un peu humiliée qu'on lui indique quoi faire.
Elle dut bien reconnaitre, intérieurement bien sûr, que les conseils de ce garçon étaient bon et elle réussit à retirer le khukuri du premier coup. Son animosité envers le jeune homme disparu instantanément quand elle observa l'arme à nouveau dans sa main. Un rire lui monta à la gorge. Elle apprit que Gabriel était une toute nouvelle recrue encore en formation mais elle décida tout de même de profiter de sa compagnie pour apprendre toujours plus. Cette capacité à emmagasiner du savoir et des compétence, elle savait désormais que ce serait sa salvation. Même si elle devait écouter et suivre les conseil de Gabriel, elle s'exécuta, et puis... cette compagnie était loin d'être désagréables. Les deux jeunes gens se virent ainsi presque tout les soirs à la même heure dans cette grande salle vide de toute autre vie. Elle s'entraina au lancer de couteau, à la visée des points vitaux, certains domaines semblèrent lui venir bien plus rapidement et elle apprit également à Gabriel comment tenir un balisong ou couteau papillon, à sculpter mais aussi à fabriquer un surin avec presque rien.
Rapidement leur relation devint flou, même pour la jeune femme, habituée à tout classer dans des cases, de vastes bibliothèques mentales aux intitulés toujours parfaitement exacts et organisés aec une finesse exemplaire. Un soir, Josephine croisa son regard alors qu'ils étaient assis côte à côte. Elle se pencha un peu en avant, scrutant ses réaction. Puis leurs lèvres se touchèrent et elle ferma les yeux.
Cette routine continua plusieurs mois sans que rien ne vienne perturber les plans ou la vie de la jeune montagnarde. Elle se sentait cependant de plus en plus indépendante et remettait en question l'autorité de son père. Après l'une de ces énièmes sessions d'éducation à la dure, ce dernier lui demanda de lui ramener la bouteille d'alcool qu'il gardait. Josephine se rendit en cuisine pour s'exécuter. Mais ses yeux se stoppèrent sur cette bouteille pendant un instant. Elle l'agrippa fermement du poing puis fracassa le verre contre le comptoir pour en faire un tesson. Son père, alerté par le bruit se leva avec empressement et couru vers la cuisine. Son élan vu coupé par le froid tranchant du verre s’immisçant dans la chair de sa gorge alors qu'il tombait à la renverse, s'étouffant dans son propre sang.
Josephine laissa le corps de son père au milieu de la cuisine et alla se laver les mains en sifflant un air enjoué. Une fois cela fait, elle sortit avec le tesson et suivi un chemin non gardée pour s’immiscer dans les quartiers d'un gardes et glisser l'arme dans ses affaires. Une fois rentrée chez elle, les habitants du Mont Weather furent alertés par les cris de la jeune Morningstar, traumatisée alors qu'elle venait de trouver son gentil père assassiné. Il ne fut pas longtemps pour que le tesson soit retrouvé et le gare punis.
Plusieurs mois passèrent à nouveau et pour la première fois de sa vie Josephine se sentait réellement libre et en contrôle de sa vie et de son environnement. Elle décidait ce qu'elle y autorisait et elle écrasait les éléments indésirables. Elle était heureuse. Enfin, elle croyait et c'était bien suffisant.
[...]
"Tu ne parles jamais de ton père... Tu es sûre que ça va ? s'inquiéta Gabriel.
— Oh... Oui, la vie continue j'imagine. répondit-elle en jouant une inspiration difficile.
— Bordel... C'est si injuste et malsain...
— Tu m'étonnes, tuer quelqu'un avec une bouteille d'alcool..."
Un silence dérangeant pris cette pièce vide lors de cette nuit qui avait pourtant débuté comme toutes les autres de leur petite routine habituelle. Gabriel dévisagea sa petite amie quelque seconde avant de demander d'une voix tremblotante.
"Comment sais tu que c'était une bouteille d'alcool ? C'est une information qui est resté secrète dans l'enquête interne de la garde.
— Je... Eh bien... Le cœur de Josephine s'emballa alors qu'elle peinait à trouver sa verbe traditionnelle, elle se sentait comme acculée contre un mur.
"Non... Non, ce n'est pas possible... On n'a jamais pu expliquer comment ce garde a pu rentrer dans vos quartiers... C'était toi, c'est ça ? Dis moi la vérité Josephine !"
C'était la première fois qu'il ne l’appelait pas Josie. Le regard perdu, le sang glacé et des sanglots montants, la jeune femme tenta de retrouver sa voix. Mais elle ne pouvait plus retenir cette tempête qu'elle avait elle même déclenchée.
"Tu... Tu ne peux pas comprendre...
— Non... Ne- ne m'approche pas ! Tu me révulse !
— NON ! Gabiel ! Attends !
Elle s'élança à la poursuite de la seule personne qu'elle aimait et réussit à l'agripper dans son dos avant qu'il ne sorte. Instinctivement elle bloqua ses jambes autour de sa taille et couvrit sa bouche pour l'empêche de crier alors que les deux jeunes gens tombèrent sur leurs dos. Malgré sa résistance, Gabriel n'arrivait pas à se libérer.
"Ecoute moi! Je... Je peux tout expliquer ! TOUT !"
Mais aucune réponse ne pouvait traverser les mains de Josephine qui recouvraient la bouche et le nez du jeune homme. Elle continua à parler dans le vide, pensant toujours trouver le mot qui réglera cette crise avant qu'il ne soit trop tard. Bientôt Gabriel arrêta de se débattre et Josephine le relâcha avec un sourire apaisé, pensant qu'il s'était calmé. Elle l'appela avec une voix douce, puis elle poussa son épaule. Mais il ne bougeait plus.
"Gabriel ? Gabriel ?? GABRIEL !! Réponds moi ! NON ! Ne me laisse pas ! Tu n'a pas le droit !!!"
Ce soir là, les lamentations et les pleurs de la jeune femme ne furent entendus et le lendemain le corps de la jeune recrue fut retrouvé seul dans la salle d'entrainement. Une partie de Josephine était parti avec lui.
Pour la première fois depuis longtemps, elle douta d'elle même. Comment les choses avaient-elles put déraper si vite ? Qu'avait-elle raté ? Comment le contrôle lui avait échapper. L'histoire apparu comme une réponse devant elle. Face aux échecs de Dante puis de Cage Wallace face à la coalition de sauvages et des spatiaux elle sût ce qu'il lui manquait. Le contrôle ne pouvait que lui échapper si elle n'avait pas d'influence sur chacun des facteurs de sa vie. Finalement son vieux père avait raison sur un point, les Wallace n'avait rien été d'autres que des imposteurs inutiles et incompétents. Il lui fallait de la sécurité et de la stabilité et si pour cela elle devait se dresser toujours plus haut, peu importe les conséquences des autres alors elle utiliserait les pierres de l'enfer pour se hisser jusqu'aux cieux.
Alors que l'alarme résonnait dans toute la montagne, que les soldats courraient dans tout les sens comme une vulgaire fourmilière que l'on aurait défoncé d'un revers de botte et que la coalition approchait pour les tuer, Josephine était sereine. Elle marchait au milieu des couloirs qu'elle avait connu pendant toute sa vie, attenant la première personne qui viendrait à sa rencontre. Bientôt un soldat blessé à la jambe, du sang d'autrui sur le visage et les traits tirés par la fatigue et la désolation apparu devant elle. Ce dernier était assez jeune et la foudroya du regard.
"Toi... Toi !"
L'intéressée haussa les sourcils, vaguement intriguée.
"Tu es Josephine! Je... Je sais ce que tu as fait! Tu as tué mon ami ! Gabriel m'a parlé de toi... Ahah... De toute façon on est tous foutu. Tu entends ces pas au loin ? Ils vont tous nous tuer, et quand je leur dirait qui tu es et ce que tu as fait, ils ne te laisseront pas partir non plus."
Josephine cligna des yeux quelques instants. C'était comme si elle n'avait pas écouté ce flot de parole. Elle s'approcha calmement de ce soldat sur la défensive et lui offrit son plus beau sourire.
"Si c'est bien terminé... Autant partir en beauté, tu ne penses pas ?"
Dit-elle alors qu'elle déposa délicatement une main sur la joue de cette bleusaille. Ce dernier hésita avant d'hocher la tête nerveusement. Josephine se rapprocha encore, appuyant son corps contre le siens. sa main défila le long de son visage et elle se pencha pour lui murmurer à l'oreille.
"Personne ne prononce son nom."
Un coup de feu éclata et la tête de ce soldat partit en arrière, entrainant son corps dans une lourde chute alors qu'une gerbe de sang peignit un coin du visage de la meurtrière. Lui subtiliser son arme avait été un jeu d'enfant. Des bruits de pas accoururent dans sa direction et quand deux soldats du peuple de l'espace apparurent ils tombèrent sur un tableau désolant.
"Il... Il m'a agressée ! J'ai... Je me suis défendu et le coup... Le... le... c'est partit tout seul !..."
Expliqua alors la jeune femme au sol dans des sanglots d'une crédibilité glaçante. Elle fut 'rassurée' et escortée par ces Skaikru naïfs et arbora un rictus malsain à l'abri de leurs regards. Ses meurtres inconnus du public, Josephine reçu le on de moelle. Elle emporta avec elle une bonne partie de la collection de couteaux de son père, gardant les utilitaires comme les couteaux à sculpture ans une boite et dissimulant les moins acceptables dans la doublure de sa veste. Elle aida à la construction u camps grâce à ses connaissance en sculpture et en biologie et réussit même à se faire assez apprécier. Mais cette allure de petit ange est elle vraiment réelle ?
Sa respiration se stoppa un instant. La gamine rachitique retira son index de cette mèche rebelle et reprit une droite posture.
"Oui, papa."
Aussi loin que Josephine puisse s'en rappeler, son enfance ne lui avait jamais été agréable. Sa mère est morte en couche quelques minutes après l'arrivée au monde de la fille qu'elle eut a peine le temps de tenir. Héritière de la famille Morningstar du côté paternel, les jeux et la sociabilisation ont très vite laissé place à l'étiquette et l'éducation stricte de son père. Ce dernier étant petit-fils du dernier Président élu, Gerald Morningstar, avant que la famille Wallace ne décrète l’État d'urgence et la mort de la Démocratie avec l'hérédité paternelle du titre de Président, rêvait d'un jour revoir sa famille au commande du Mont Weather et de rétablir les anciennes valeurs que ce nouveau système monarchique voulait enterrer.
Le père vieillissant, Josephine était son plus grand espoir en cette optique et il l'avait ainsi élevé pour qu'il puisse un jour profiter d'une crise et renverser ce pouvoir d'usurpateurs pour y installer le produit de son travail. Toute empathie à l'égard de sa fille semblait avoir quitté son être, noyé entre la déchéance de son passé, la mort de sa femme et les ravages de l'alcool.
Sept jour sur sept, Josie était ainsi formé à la parole mais aussi les littératures et langues anciennes afin qu'elle puisse tirer du meilleurs de tout ces soit-disant philosophes, chefs de guerres et politiciens de l'ancien monde. Les sciences dures, qui étaient davantage le domaine de sa mère, lui furent inculquées par son père également et avec une rudesse et exactitude recherchant la perfection. Il ne lui était pas permit de se tromper, quand elle était encore une jeune enfant elle était simplement privée de dîner ou enfermer dans l'obscurité pendant une heure mais en grandissant son père devint de moins en moins "compatissant".
Le fruit de cette formation au fer rouge réussit cependant à laisser ses marques chez la jeune femme qui rapidement développa un sentiment de supériorité et de défiance qu'elle camouflait envers son père dans un premier temps. Cependant, les personnes la côtoyant lui semblaient de plus en plus simples, ignorantes et insignifiantes. Son âme d'enfant s'était volatilisée avec son savoir, tout autour d'elle lui semblait fade et ridiculement décevant. Son esprit était affuté aux mathématiques, à la biologie, elle était capable de parler plusieurs langue dont le latin et le mandarin et elle connaissait l'histoire de l'Occident sur le bout des doigts. Rien ne semblait en dehors de sa portée pourtant elle se savait étouffée et ces liens invisibles finirent par éliminer ses dernières traces d'innocence.
Les espaces d'évasions lui étaient rares et précieux. Un jour elle découvrit l'ancienne collection de couteau de son père, cachée dans un coffre à code dont elle n'avait eu aucun mal à résoudre : la date de naissance de sa mère. Josephine avait tout soigneusement replacé à sa place avec une exactitude surprenante et s'était mise alors a examiner et catégoriser les habitudes de son père. Une fois qu'elle connaissait cette routine par cœur et les moments de répits dont elle disposait, Josie rouvrit cette collection. La variété des styles, rustiques, modernes, baroques, tactiques ou même à gravure. La jeune femme ressentit quelque chose de viscéral à l'instant même où elle posa la main sur le pommeau de l'une de ces armes. Non seulement elle empiétait sur la propriété de son père, la faisait sienne mais elle se sentait également pour la première fois puissante, en contrôle de sa vie pendant ces courtes périodes. Un rictus apparu sur son visage avant d'éclater en un rire malsain, elle adorait cette sensation.
A chaque fois toute trace de ces exactions naissantes avaient disparu au retour du père et la jeune femme était revenu à son rôle de gentille fille obéissante. Mais cela faisait longtemps que ce petit jeu n'était plus sincère pour elle. Lors de ses rares sorties Josephine se débrouillait pour ramener de petites chutes de bois de la menuiserie dans sa chambre sans être vu. Elle passait quelque un de ses temps de répit à les graver au couteau en divers petits totems, apprenant et raffinant son geste sur le tas. Elle allait ensuite se débarrasser de presque la totalité de ses créations afin qu'elles ne soient pas découvertes, mais elle en avait gardée quelques unes en les cachant dans la doublure de son matelas, la plus frappante d'entre elle était certainement une petite fille tenant la main d'un homme décapité.
Un jour son ego et l'ennui de la routine la poussa a tester ses talents d'observation sur un échantillon plus varié que son père. Elle se mit alors à examiné d'un œil lointain les tours de gardes lors de ses sorties, cherchant à mémoriser ce qui était protégé ou non et à quel moment. Bientôt, elle se mit à sortir de ses appartements dans la nuit dans le plus grand des secrets. Suivant les chemins qu'elle s'était tracé dans son esprit pour éviter les gardes dans le seul but d'atteindre la salle d'entrainement des recrues et soldat. Cette dernière ressemblait à un stand de tir de l'ancien monde avec divers mannequins pour prendre le rôle de l'ennemi et encaisser les coups, les balles ou les poignards. Se retrouve seule ici, enfin libre pour plusieurs heures explosa le taux de dopamine montant à son cerveau pour la première fois de sa vie. Un large sourire idiot ne voulait pas s'effacer de son visage alors qu'elle se sentait invincible, si elle pouvait se rendre ici en dupant tout le monde, elle pouvait accomplir n'importe quoi.
Elle avait apporté avec elle un bon nombre de couteau de combat de son père, bien que dans son esprit ils lui appartenaient depuis bien longtemps. Sans attendre elle s'était mise à les essayer sur ces mannequins dans des mouvements assez hasardeux. Elle n'avait jamais été entrainé au combat et se laissait surtout guider par ses connaissances en biologie et sa rage intérieure. Un de ses coups, propulsé par cette dernière, enfonça entièrement la lame d'un khukuri au dessus de la clavicule d'une de ses reproduction d'humains. Surprise par sa propre action, Josephine tenta de tirer l'arme mais elle restait coincé et son énervement grandissant n'y changeait rien.
"Tu te tiens mal, tu n'arriveras à rien comme ça."
La voix, assez calme, qui s'était fait entendre depuis l'entrée derrière elle fit bondir le rythme cardiaque de la jeune femme qui se retourna pour dévisager cet inconnu qui ne pouvait exister. Comment ne l'avait-elle pas vu venir ?
"Qu-Qui est tu ?! J'ai le droit d'être là! Si, je peux tout expliquer!
— Du calme, du calme. Je ne dirais rien. Tu es la fille de Morningstar, c'est bien ça ? dit la voix avec un léger rire avant de s'approcher.
— ... Oui. Josephine.
— Enchanté Josie, moi c'est Gabriel. Tu devrais te tenir mieux sur tes appuis et tirer sur le côté, ton arme partira d'un coup sûr comme ça.
— Oui... Bien sûr, je le savais." s'indigna Josephine en levant les yeux au ciel rapidement, se sentant un peu humiliée qu'on lui indique quoi faire.
Elle dut bien reconnaitre, intérieurement bien sûr, que les conseils de ce garçon étaient bon et elle réussit à retirer le khukuri du premier coup. Son animosité envers le jeune homme disparu instantanément quand elle observa l'arme à nouveau dans sa main. Un rire lui monta à la gorge. Elle apprit que Gabriel était une toute nouvelle recrue encore en formation mais elle décida tout de même de profiter de sa compagnie pour apprendre toujours plus. Cette capacité à emmagasiner du savoir et des compétence, elle savait désormais que ce serait sa salvation. Même si elle devait écouter et suivre les conseil de Gabriel, elle s'exécuta, et puis... cette compagnie était loin d'être désagréables. Les deux jeunes gens se virent ainsi presque tout les soirs à la même heure dans cette grande salle vide de toute autre vie. Elle s'entraina au lancer de couteau, à la visée des points vitaux, certains domaines semblèrent lui venir bien plus rapidement et elle apprit également à Gabriel comment tenir un balisong ou couteau papillon, à sculpter mais aussi à fabriquer un surin avec presque rien.
Rapidement leur relation devint flou, même pour la jeune femme, habituée à tout classer dans des cases, de vastes bibliothèques mentales aux intitulés toujours parfaitement exacts et organisés aec une finesse exemplaire. Un soir, Josephine croisa son regard alors qu'ils étaient assis côte à côte. Elle se pencha un peu en avant, scrutant ses réaction. Puis leurs lèvres se touchèrent et elle ferma les yeux.
Cette routine continua plusieurs mois sans que rien ne vienne perturber les plans ou la vie de la jeune montagnarde. Elle se sentait cependant de plus en plus indépendante et remettait en question l'autorité de son père. Après l'une de ces énièmes sessions d'éducation à la dure, ce dernier lui demanda de lui ramener la bouteille d'alcool qu'il gardait. Josephine se rendit en cuisine pour s'exécuter. Mais ses yeux se stoppèrent sur cette bouteille pendant un instant. Elle l'agrippa fermement du poing puis fracassa le verre contre le comptoir pour en faire un tesson. Son père, alerté par le bruit se leva avec empressement et couru vers la cuisine. Son élan vu coupé par le froid tranchant du verre s’immisçant dans la chair de sa gorge alors qu'il tombait à la renverse, s'étouffant dans son propre sang.
Josephine laissa le corps de son père au milieu de la cuisine et alla se laver les mains en sifflant un air enjoué. Une fois cela fait, elle sortit avec le tesson et suivi un chemin non gardée pour s’immiscer dans les quartiers d'un gardes et glisser l'arme dans ses affaires. Une fois rentrée chez elle, les habitants du Mont Weather furent alertés par les cris de la jeune Morningstar, traumatisée alors qu'elle venait de trouver son gentil père assassiné. Il ne fut pas longtemps pour que le tesson soit retrouvé et le gare punis.
Plusieurs mois passèrent à nouveau et pour la première fois de sa vie Josephine se sentait réellement libre et en contrôle de sa vie et de son environnement. Elle décidait ce qu'elle y autorisait et elle écrasait les éléments indésirables. Elle était heureuse. Enfin, elle croyait et c'était bien suffisant.
[...]
"Tu ne parles jamais de ton père... Tu es sûre que ça va ? s'inquiéta Gabriel.
— Oh... Oui, la vie continue j'imagine. répondit-elle en jouant une inspiration difficile.
— Bordel... C'est si injuste et malsain...
— Tu m'étonnes, tuer quelqu'un avec une bouteille d'alcool..."
Un silence dérangeant pris cette pièce vide lors de cette nuit qui avait pourtant débuté comme toutes les autres de leur petite routine habituelle. Gabriel dévisagea sa petite amie quelque seconde avant de demander d'une voix tremblotante.
"Comment sais tu que c'était une bouteille d'alcool ? C'est une information qui est resté secrète dans l'enquête interne de la garde.
— Je... Eh bien... Le cœur de Josephine s'emballa alors qu'elle peinait à trouver sa verbe traditionnelle, elle se sentait comme acculée contre un mur.
"Non... Non, ce n'est pas possible... On n'a jamais pu expliquer comment ce garde a pu rentrer dans vos quartiers... C'était toi, c'est ça ? Dis moi la vérité Josephine !"
C'était la première fois qu'il ne l’appelait pas Josie. Le regard perdu, le sang glacé et des sanglots montants, la jeune femme tenta de retrouver sa voix. Mais elle ne pouvait plus retenir cette tempête qu'elle avait elle même déclenchée.
"Tu... Tu ne peux pas comprendre...
— Non... Ne- ne m'approche pas ! Tu me révulse !
— NON ! Gabiel ! Attends !
Elle s'élança à la poursuite de la seule personne qu'elle aimait et réussit à l'agripper dans son dos avant qu'il ne sorte. Instinctivement elle bloqua ses jambes autour de sa taille et couvrit sa bouche pour l'empêche de crier alors que les deux jeunes gens tombèrent sur leurs dos. Malgré sa résistance, Gabriel n'arrivait pas à se libérer.
"Ecoute moi! Je... Je peux tout expliquer ! TOUT !"
Mais aucune réponse ne pouvait traverser les mains de Josephine qui recouvraient la bouche et le nez du jeune homme. Elle continua à parler dans le vide, pensant toujours trouver le mot qui réglera cette crise avant qu'il ne soit trop tard. Bientôt Gabriel arrêta de se débattre et Josephine le relâcha avec un sourire apaisé, pensant qu'il s'était calmé. Elle l'appela avec une voix douce, puis elle poussa son épaule. Mais il ne bougeait plus.
"Gabriel ? Gabriel ?? GABRIEL !! Réponds moi ! NON ! Ne me laisse pas ! Tu n'a pas le droit !!!"
Ce soir là, les lamentations et les pleurs de la jeune femme ne furent entendus et le lendemain le corps de la jeune recrue fut retrouvé seul dans la salle d'entrainement. Une partie de Josephine était parti avec lui.
Pour la première fois depuis longtemps, elle douta d'elle même. Comment les choses avaient-elles put déraper si vite ? Qu'avait-elle raté ? Comment le contrôle lui avait échapper. L'histoire apparu comme une réponse devant elle. Face aux échecs de Dante puis de Cage Wallace face à la coalition de sauvages et des spatiaux elle sût ce qu'il lui manquait. Le contrôle ne pouvait que lui échapper si elle n'avait pas d'influence sur chacun des facteurs de sa vie. Finalement son vieux père avait raison sur un point, les Wallace n'avait rien été d'autres que des imposteurs inutiles et incompétents. Il lui fallait de la sécurité et de la stabilité et si pour cela elle devait se dresser toujours plus haut, peu importe les conséquences des autres alors elle utiliserait les pierres de l'enfer pour se hisser jusqu'aux cieux.
Alors que l'alarme résonnait dans toute la montagne, que les soldats courraient dans tout les sens comme une vulgaire fourmilière que l'on aurait défoncé d'un revers de botte et que la coalition approchait pour les tuer, Josephine était sereine. Elle marchait au milieu des couloirs qu'elle avait connu pendant toute sa vie, attenant la première personne qui viendrait à sa rencontre. Bientôt un soldat blessé à la jambe, du sang d'autrui sur le visage et les traits tirés par la fatigue et la désolation apparu devant elle. Ce dernier était assez jeune et la foudroya du regard.
"Toi... Toi !"
L'intéressée haussa les sourcils, vaguement intriguée.
"Tu es Josephine! Je... Je sais ce que tu as fait! Tu as tué mon ami ! Gabriel m'a parlé de toi... Ahah... De toute façon on est tous foutu. Tu entends ces pas au loin ? Ils vont tous nous tuer, et quand je leur dirait qui tu es et ce que tu as fait, ils ne te laisseront pas partir non plus."
Josephine cligna des yeux quelques instants. C'était comme si elle n'avait pas écouté ce flot de parole. Elle s'approcha calmement de ce soldat sur la défensive et lui offrit son plus beau sourire.
"Si c'est bien terminé... Autant partir en beauté, tu ne penses pas ?"
Dit-elle alors qu'elle déposa délicatement une main sur la joue de cette bleusaille. Ce dernier hésita avant d'hocher la tête nerveusement. Josephine se rapprocha encore, appuyant son corps contre le siens. sa main défila le long de son visage et elle se pencha pour lui murmurer à l'oreille.
"Personne ne prononce son nom."
Un coup de feu éclata et la tête de ce soldat partit en arrière, entrainant son corps dans une lourde chute alors qu'une gerbe de sang peignit un coin du visage de la meurtrière. Lui subtiliser son arme avait été un jeu d'enfant. Des bruits de pas accoururent dans sa direction et quand deux soldats du peuple de l'espace apparurent ils tombèrent sur un tableau désolant.
"Il... Il m'a agressée ! J'ai... Je me suis défendu et le coup... Le... le... c'est partit tout seul !..."
Expliqua alors la jeune femme au sol dans des sanglots d'une crédibilité glaçante. Elle fut 'rassurée' et escortée par ces Skaikru naïfs et arbora un rictus malsain à l'abri de leurs regards. Ses meurtres inconnus du public, Josephine reçu le on de moelle. Elle emporta avec elle une bonne partie de la collection de couteaux de son père, gardant les utilitaires comme les couteaux à sculpture ans une boite et dissimulant les moins acceptables dans la doublure de sa veste. Elle aida à la construction u camps grâce à ses connaissance en sculpture et en biologie et réussit même à se faire assez apprécier. Mais cette allure de petit ange est elle vraiment réelle ?
Présentation du joueur Eh bien déjà j'ai trouvé ce forum après un coup de nostalgie, j'étais sur un ancien forum The 100 qui est mort il y a plusieurs années maintenant... Snif. Un petit détail, je ne suis pas du même genre que Josephine mais dans le contexte du forum je me fiche un peu du pronom que vous utiliser pour me parler! ^^ Et sur ces mots... j'ai hâte de vous tourmenter et vous manipuler sous les traits de cette petite Peste.
# Lun 3 Jan - 2:49
BibiJe suis à la retraite
PersonnageRécompenses
Messages : 2645
Date d'inscription : 10/11/2019
Date d'inscription : 10/11/2019
Premiers pas !
Félicitations ! Tu as passé l’étape cruciale de la validation. Bon jeu parmi nous !
Event 1 :: Missile
Tu as participé à l'évent du missile, merci pour ta contribution !
Event 2 :: Attaque contre la Montagne
Tu as participé à l'évent de l'attaque contre la montagne, merci pour ta contribution !
Personnage attendu
Merci de jouer un personnage attendu sur le forum !
Grand écrivain
Félicitations, tu as posté 100 rps ! Continue de vivre de belles aventures avec nous !
Bébé voteur
Merci pour ton aide, tu as voté 10 fois en un mois !
Dinosaure du forum
Bon anniversaire ! Tu es sur le forum depuis 3 ans !
congrats Joséphine
te voilà validée
Rebienvenue par ici!
J'espère que cette fois sera la bonne !! N'hésite surtout pas à poster une absence la prochaine fois quand tu sens que ça va moins bien !
Amuse-toi biiiiien!
J'espère que cette fois sera la bonne !! N'hésite surtout pas à poster une absence la prochaine fois quand tu sens que ça va moins bien !
Amuse-toi biiiiien!
pour finaliser ton inscription, suis les liens !
Josephine Morningstar — Kripakru — Si coelum attingere nequeo, infernum inferam.Ascende Superius :: Who are you ? :: Fiches :: fiches Terminées
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